Chapitre 11 Tony

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Je reviens d'un voyage d'affaire imprévu ce qui avait fait qu'on n'avait pas pu expliqué à ma mère ce qu'on savait avec Samira. Je voulais être présent pour l'annoncer à ma mère.

Elle va tomber de haut quand on va lui annoncer la nouvelle et surtout être en colère. Tel que je la connais la sécurité va tripler en moins de deux. D'ailleurs elles m'attendent impatiement dans le canapé du salon car j'avais pris du temps pour mon bain. Tout beau pour les deux femmes de ma vie je dessends rapidement les marches de l'escalier et embrasse chacune tendrement.

- Le prince s'est fait désiré n'est ce pas Samira? Commence ma mère souriante

- Evidement que oui, et comme nous sommes toutes les deux folles de lui on prend sur nous. Ajoute Samira

- C'est très bien mes toutes belles c'est pourquoi je vous adore. Dit je en riant

- A l'avenir tu te dépêche mon grand, vas y crâche le morceau mon fils.

- Honneur aux femmes dit je en montrant à Samira qu'elle pouvait commencé.

- Voilà comme tu le sais Jeanne Tony et moi avions été attaqué et bien grâce à Dieu il ya eu un témoin qui avait assisté à toute la scène. Il nous a aidé à faire le portrait robot de celle qui aurait pu donner l'ordre d'attaqué.

- Et vous savez qui c'est?

- On n'avait du mal à trouver au Quartier Général, mais quand je l'ai montré à Tony il a tout de suite identifié.

Je demande à Samira de le lui montrer l'image et au vu de sa réaction je sais qu'elle sait.

- Ooh mon Dieu dis moi que c'est pas possible Tony. Demande t-elle stupéfaite

- Si c'est possible maman. Insistais je

- Pourquoi Chloé ferais t-elle ça? Elle travaille depuis longtemps pour toi. Pourquoi? Je l'ai toujours bien reçu quand je vais à ton bureau où quand elle viens ici à la maison expliqué moi les enfants.

- C'est ce qu'on éssaye de comprendre Jeanne, l'équipe avance dans les recherches on le saura bientôt. Marmone Samira

- Tony je veux que tu la vire, je veux pas qu'elle te fasse du mal mon bébé tu es tout ce qu'il me reste.

- Crois moi maman, que je voulais la tuer quand je l'avais su. Je voulais la viré dès que j'avais reconnu ce foutu portrait, mais Samira me la déconseillé.

-Pourquoi? Il est hors de question que je te perde aussi, j'ai déjà perdu ton père et crois moi j'en pleurs encore. Termine t-elle paniqué et bientôt en pleurs

Je me lève et la prends dans mes bras pour la calmer.

- Jeanne, je sais que c'est difficile, ça me tue de laisser l'homme que j'aime aux côtés de cette salope chaque jour mais on n'a pas le choix.

- Comment ? Questionne ma mère en se détachant de moi

- Si on la renvoie subitement, elle saura qu'il y a quelque chose qui cloche. Elle va se préparer à frapper plus fort encore, donc il est préférable de ne pas éveillé les soupçons.

- Maman l'enquête avance nous sommes prêt du but, tu peux être forte pour moi?

- Non, je suis désolée mais vous allez arrêté cette folle furieuse et la mettre en prison. Je refuse de te perdre tu m'entends? Je refuse. Je vous laisse jusqu'à demain sinon j'employerais mes méthodes. Hurle t-elle en montant vers  sa chambre.

Je savais qu'elle tomberais de haut, mais pas qu'elle réagirais de cette façon. Je la comprends aussi je suis la seule personne qui lui reste dans la vie je suis son  gamin chéri. 

Comme Samira aime bien le dire, elle me regarde tristement  je la tire de sorte qu'elle soit sur mes genoux. Ses yeux ont perdu leur éclats, je caresse sa joue tendrement et l'embrasse pour lui dire qu'on n'y arrivera quelque soit la difficulté on n'y arrivera. Elle me rend mon baiser et j'essuie une larme qui roule sur sa joue.

- Je suis avec toi ma chérie, ne pleure pas rien ne va m'arrivé ai confiance.

- Ta mère à raison on ferais mieux de l'arrêté c'est décidé demain j'irais parler au chef dit-elle en se levant.

- Non, procédons comme on la décidé dès le départ.

- Mais ..

- Pas de mais qui tienne, on le feras à ma manière.

- D'accord, je te promets de me tuer à la tâche ces deux jours pour qu'on n'en finisse. On devrais aller voir ta mère tu crois pas?

- Non, quand elle est comme ça je n'arrive pas à lui parler. Mieux vaut qu'on la laisse se calmer toute seule. Après je lui parlerais.

- C'est compris, bon je retourne au boulot c'est vrai que ta mère me paie pour assurer ta sécurité mais je veux accéléré les choses tu peux te débrouillé seul?

- Oui tu as intérêt à te bouger avec l'ultimatum de ma mère. Dis je en riant.

- Arrête de moquer s'il te plaît.

- T'en fais pas avec la multitude de garde posté ici je ne crains pas de m'ennuiyé.

- Tu feras quoi de ton après midi?

- Bouquiné un peu et travailler depuis mon bureau. Je veux voir ce qui s'est passé dans mes locaux durant ces deux jours.

-Au moins tu ne penseras pas trop à moi. Dit-elle en se collant à moi

- Je penses toujours à toi ma chérie, tu es ma raison de vivre si tu ne file pas maintenant je te ferais l'amour dans ce canapé.

- Maman ne vas pas apprécié dit-elle en m'embrassant.

Sa langue me manque à chaque fois, je me délecte de sa douce saveur sucrée qui me fait une bosse comme à toute les fois qu'on s'embrasse. J'empoigne ses fesses de mes deux mains et elle enroule ses jambes à ma taille. Son souffle chaud contre ma peau me fait perdre la tête.

- Que dirais tu si on montais faire ce que tu sais ?

- Je dirais oui sans hésiter.

Avec l'approbation de ma magnifique femme, je grimpe les marches comme un fou et la pose délicatement sur mon lit. Ma mère est là je ne devrais pas le faire sachant son état.

Mais je ne peux pas me contrôlé à la vue de son corps de déesse. Soudain on toque à ma porte Samira me fait de grand yeux quand elle entend la voix de la gouvernante. Rapidement elle boutonne sa chemise et met de l'ordre dans ses cheveux en bataille.

- Oui, dis je en mettant la tête dehors

- Excusez moi Monsieur de vous dérangez mais vous avez de la visite.

- Qui est ce?

- Vôtre sécrétaire Mlle Chloé.

Mes traits se durcissent immédiatement et Samira bout de colère. Je referme la porte, fais des aller et retour pour me calmer. Si ma mère sait qu'elle est dans le séjour elle fera une attaque c'est sûr.

J'appelle la gourvernante à partir de la ligne privé et lui demande de faire patir Chloé  que je me rendrais au bureau de ce pas. Samira m'enlace pour me signifier qu'elle est avec moi.

- Fais pas de bêtises, surtout contrôle toi. Je t'aime dit-elle en m'embrassant les lèvres tendrement.

- Je t'aime aussi.

Je mets une tenue décontractée, et décide d'aller voir ce que cette timbrée me veut. Je sais que sa venue chez moi est calculer parce que si c'est pour le boulot elle pouvait très bien m'appeler comme on n'avait toujours procédé.

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