GARDE DU CORPS

Chapitre 14 Samira

-Ma chérie enfin tu ouvres  les yeux.

Mes paupières s'ouvrent difficilement, ma tête tourne.
J'arrive à voir Tony et un homme. Je me redresse difficilement mais Tony m'aide.

- Qu...qu'est ce qui s'est passé?

- Tu es tombé dans les pommes j'ai dû donc appelé le mèdecin de famille. Tu as besoin de quelque chose?

- Oui j'ai faim et soif.

Il prends une assiette et me donne à manger. J'avale sans retenue, je me fou des grands yeux que me fait Tony.

- Dit donc tu avais drôlement faim. Bredouille t-il amusé

- J'avoue ne pas bien avoir manger ces derniers jours. J'étais absorbé par l'enquête.

- C'est ce qu'a constaté le mèdecin. Il m'a dit de faire attention a toi.

- Et pourquoi?

- Il t'a trouvé épuisée et t'a fait une prise de sang on n'aura les résultats demain. M'informe t-il

- Une prise de sang parce que j'étais inconsciente, mon chéri c'est riddicule. Retorquais je en buvant mon verre de lait.

- Dorénavent tu seras au repos. Tu laisseras l'agence boucler cette affaire. Tu n'imagine pas la peur que j'ai eu en te voyant au sol. Il n'y a rien de riddicule à savoir pourquoi tu étais dans cet état. Ton bien être est vrainent une priorité tu as fini de manger?

- Oui, chef

- Et bien il est l'heure de prendre un bain et dormir.

Il me porte et j'enroule mes mains autour de son cou. Il me fait assoir sur le lit et me déshabille.

- C'est bon je peux le faire toute seule.

- Non, laisse moi faire. Minaude t-il

- Et ta mère ? M'enquis je

- Je lui ai donné un somnifère pour qu'elle dorme tranquillement elle en a besoin.

- Oui, oui elle le mérite et toi tu as mangé?

- Non pas encore après notre bain oui.

- Va te nourrir, je peux le faire.

- Non, je termine de m'occuper de toi ensuite j'avelerais un bout j'ai pas tellement faim avec tout ce qui ce passe.

J'embrasse son front, ses yeux, ses joues pour ensuite m'attardé sur ces lèvres qui me manquent tout le temps. Il met fin à ce baiser langoureux et me pousse à la salle de bain.
L'eau coule sur ma peau et j'adore, Derrière moi Tony me savonne de partout j'en fais autant.

Tout en l'embrassant mais il refuse d'aller plus loin vexé je me rince rapidement, prend une serviette et sors de la salle de bain.

Pourquoi ne veut-il pas de mes baisers? Merde à la fin.

J'enfile juste un tee shirt de Tony et m'apprête à aller au lit quand ses mains enlacent ma taille, sa barbe naissante me pique dans le cou mais j'apprécie ce délice.

-Tu sais que tu es belle quand tu fais la tête?

- Je veux pas te parler.

- Pourquoi chérie ?

- Parce que je te dégoûte.

Rapidement il me retourne et plonge ses yeux dans les miens.

- Même dans ma viellesse j'aurais envie de toi. Tu es ma raison de vivre, ma moitié tu es ma côte Samy chérie.

- Alors pourquoi tu as refusé mes baisers tout à l'heure?

- Si je continuais j'allais te faire l'amour comme un malade alors que tu as besoin de repos s'il te plaît tu veux bien le faire pour moi?

- Oui, je peux.

Sans plus attendre il comble la distance qui nous sépare et m'embrasse passionnément.

Ses lèvres sont comment dire?

Appétissants et j'adore parce que sa langue est faite pour moi. On se complète trop je suis de plus en plus amoureuse. J'ai hâte qu'on règle l'affaire Chloé pour vivre pleinement notre amour.

Mon homme me met au lit et part se faire un sandwich, le pauvre il subit tant d'épreuve ces temps ci.

Qui aurait cru que Chloé serait sa soeur?

Une soeur qui n'en vaut pas la peine. Ça me fait de la peine pour mon collègue mais sa mort ne resteras pas inpuni.

Il a agit comme il le fallait et pourtant le destin en a décidé autrement. Des bras me serre et je profite de chaleur pour m'endormir car on n'en a tout les deux besoin.

La lumière du jour illumine la grande chambre de Tony. Je cherche a tâton la place de mon bellâtre, personne. La montre m'indique qu'il est 10h j'ai autant dormi? Je me lève le corps tout endolori et direction la salle de bain.

A mon retour je vois Tony avec un large sourire qui m'attends assis sur le lit. Il m'ouvre les bras comme pour me dire de venir lui rendre son étreinte. Je ne me fais pas prié c'est pas tout les matins qu'un homme est tout heureux. J'embrasse son cou et il me serre fort.

- Bonjour mon chéri, tu peux me dire pourquoi tu es tout joyeux?

- Je t'aime tu le sais? Dit-il la voix pleine de charme.

- Oui, je le sais et moi aussi.

- Sais tu que je ferais tout pour te rendre heureuse?

- Oui, tu me le démontre chaque jour.

- Sais tu que tu es la seule à m'avoir fait redonner goût à l'amour après la mort de ma femme?

- Oui je sais tout ça allez dis moi ce qui te rends gaga ce matin.

- Futur Madame Carter je suis très heureux de vous annoncez que vous êtes enceinte de 8 semaines. Dit- il les yeux pétillants.

- Tu blague oui? Ne joue pas avec moi?

- Je te promets que tu es enceinte chérie, le mèdecin qui t'a fait la prise de sang hier m'a fait parvenir les résultats. Il m'a dit de te reposer et crois moi que je vais te faire démissionné tu travailleras avec moi.

- Je suis enceinte? Pour de vrai?

- Pour de vrai ma chérie on va être parents. Ma mère est très contente et commence même à faire des projets.

- oh merci mon chéri d'avoir mis ce petit bout dans mon ventre. Mes parents seront très heureux. j'ai peur on n'a pas fini cette histoire et je suis enceinte.

- S'il faut déplacer une armée d'agent de sécurité pour notre sécurité je le ferais n'ai crainte. Chloé et sa bande seront bientôt épinglés et nous vivrons enfin comme on le souhaite.

Je saute dans ses bras et embrasse son visage de partout. Je suis heureuse. Je me détache et jette la serviette de bain au sol et par admirer ma silhouette dans la glace. tout en touchant mon ventre je parle à Tony.

- Je vais ressemblé à quoi quand mon ventre va s'arrondir et que mes seins vont grossir?

- Tu vas ressemblé à une déesse ma jolie.

- Parle pour toi oui, je serais moche et grosse avec des boutons et pleins de vergetures. Tu te lasseras de moi par la suite.

- Tu es folle de penser ça, que tu sois moche moi je t'aimerais encore plus. Tu seras belle dans ta grossesse, vivement que ton ventre grossisse pour que je sente les coups de pied du bébé. J'ai très très hâte.

- Et moi donc j'ai hâte de te faire enduré mes crises d'hormones.

- Je serais prêt à vous servir belle dame, cache ta nudité sinon je te dévore maintenant. Ajoute t-il en imitant les griffes d'un lion.

Nous rions encore et profitons de cette nouvelle qui vient renforcer notre amour.
Un enfant...