Chapitre 19 Tony

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Je me réveille difficilement parce que mon corps ne répond plus.
J'ai de vague souvenir , je sais que Samira était au bar et qu'elle a vu Mia près de moi. Je suis dans de beau drap, elle me fait face assise dans le canapé de la chambre à ses pieds se trouve une valise. Je dois l'empêcher de faire cette connerie. Malgré son regard féroce je suis à ses pieds, la tête sur ses genoux.

- Mon amour, la femme de ma vie, celle pour qui mon coeur bat sans arrêt reste, ne me quitte pas. Dis je en l'implorant

- Enlève ta tête sur mes genoux. Rugit t-elle en soutenant mon regard.

- Pardonne moi, j'ai été égoiste en te gardant pour moi mais je veux prendre soin de vous.

- Qui était cette fille? Dit-elle maussade.

- C'est Mia, une fille du bar qui me tient compagnie.

Elle se redresse, prête à se lever, et je me rattrape aussitôt.

- C'était avant qu'on se connaisse Samy, depuis qu'on n'est en couple je ne la revoit plus on n'est juste amis.

- C'est pas ce qui m'avait semblé hier.

- Je te suis pas.

- Pendant que tu étais dans les nuages, tu avais vomi, elle s'était collé à toi pour te nettoyé la bouche. Pour moi tu la fréquente encore, qui c'est tu étais avec elle l'autre soir quand le chauffeur t'avais ramené. Continue t-elle en colère

- Tu imagine tout, c'est toi que je veux quand va tu comprendre cela dis je en me levant à bout de nerfs.

- Je veux rentré à mon appartement Tony.

- Parce que tu crois que je te trompes?

- Non, je veux être chez moi c'est tout.

Elle commence à mentir et j'ai horreur de ça. La contrariété que je lis dans ses yeux la trahie.

-Dis moi la vérité Samy merde à la fin. Hurlais je

- Tu veux baissé d'un ton s'il te plaît? Je ne suis pas un enfant. Je fais ce que je veux d'accord?

- Je vais continuer de crier parce que l'homme ici c'est moi. Tu ne vas pas m'éloigné de mon enfant Samira je suis désolé tu reste ici.

- Empêche moi de sortir et tu le regrettera de toute ta vie. Dit-elle en me regardant durement.

On se dévisage, chacun éssaye de pousser son ami à bout. Une veine apparaît sur son front tellement elle à la rage. Je veux pas qu'elle parte vu son état. Tout compte fait je devrais la laisser partir pour ne pas envénimé la situation. Elle à besoin d'espace à elle, je la laisserais partir tout en lui promettant qu'elle sera la seule dans mon coeur.

- Très bien, rentre chez toi mais sache que jamais je t'ai trompé avec Mia c'était un malentendu.

Elle ne répond pas, au contraire prend sa valise et se dirige vers la porte et là s'en n'ai trop je ne résiste pas et court derrière elle pour l'enlacer fortement de dos. Je veux la retourner pour l'embrasser jusqu'à épuisement mais j'ai peur qu'elle me refoule alors je me contente de son odeur.

Mes mains sur son ventre je chuchote à son oreille un

reviens moi vite je t'aime chérie.

Malgré moi je me détache, elle ouvre la porte et sans m'adressé un regard, la referme. Je me contient plus et crie de colère dans la chambre tout se brise sous mon passage.

Foutu alcool m'a fait perdre Samira et aussi mon entêtement à vouloir en faire trop en la gardant près de moi. À cet instant j'ai besoin de ma mère, le téléphone sous mes yeux je compose son numéro.

- Mon bébé ça va?

Elle me demande si ça va comme si elle savait que j'étais annéanti.

- Samy est partie.

- Comment ça partie? Qu'est ce que tu as encore fait? Jure t-elle

Ma mère qui jure trop drôle, j'ai un mauvais éffet sur elle avec mes manies. Je souris rien qu'en y pensant.

- Tony je te parle enfin.

- Tu me connais, elle veut travailler dans les bureaux, avoir son espace à elle, faire ce qu'elle aime, j'ai pas supporté et je suis allé au bar. Elle m'a rejoint et a vu Mia nettoyé ma bouche dans les toillettes après que j'ai gerbé, on s'est disputé elle vient de partir.

- Vous avez rompu?

- Non, maman elle veut juste respirer.

- Elle ne se plaît pas avec nous quand elle m'accompagne au thé et va te voir à l'entreprise?

- Si, elle adore tout ça mais elle veut aller à l'agence être dans son monde d'arme à feu.

- Ne déprime pas mon bébé tu connais Samira, laisse lui digéré toute cette histoire. Je vais l'appelé, tu l'as au moins rassuré que Mia n'est pas avec toi?

- Ooh que oui maman, je lui ai dit qu'elle est la femme de ma vie.

- Et moi alors? Dit -elle en riant.

- Toi, tu es la lumière de ma vie maman.

- Et toi tu es mon tout, mon bébé tranquilise toi Samira reviendra vite car elle ne peut pas faire un pas sans toi.

- Merci maman tu rentre quand?

- Dans pas longtemps, mes copines de l'association sont très impliqués et tu sais que j'aime le travail bien fait.

- Je le sais maman, ajoutais je en riant.

- Va faire ce que tu as à faire, n'oubli pas de faire nettoiyé ta chambre parce que je sais que tu as foutu le borderl.

- D'accord, je remarque que j'ai pas besoin de te demander comment tu le sais.

- Exactement mon bébé, je t'aime et laisse Samira dans son coin un moment.

- Promis je t'aime.

- J'oubliais maman..

- Quoi mon fils.

- Arrête de jurer s'il te plaît.

- Je le ferais que quand tu le feras.

Nous rions tout les deux ensuite je raccroche, balaye ma chambre du regard c'est vraiment pas joli du tout.

J'appelle Porçia la jeune domestique et décide de prendre un bain pour aller à T.Carters. Ça me fera du bien de travailler c'est le meilleur remède pour ne pas être tenter d'appeler constament Samira où débarqué chez elle.

Ma mère à raison il faut que je la laisse faire ce qu'elle veut à partir de maintenant je me ferais à cette idée. Je dois admettre qu'elle se déplace très bien enceinte, elle ne s'épuise pas vite. Elle s'était même rendu au bar avec cette foule, rien ne l'arrête elle est coriace ma futur femme et je l'aime encore plus.

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