Je n'arrive pas à croire ce qui vient de se passer entre cette belle blonde au long cheveux et moi. J'ai toujours été contre cette surveillance, mais ma mère a cette seconde nature qui est de tout vouloir contrôlé je ne peux que l'accepter. Samira est chiante, énervante, spontanée, enfin tout ce que vous voulez on ne s'entend vraiment pas.
Ses beaux yeux verts me captive. Elle était belle dans sa robe moulante et j'ai un tout petit peu aimé le faite qu'elle m'ait crié dessus. On se voit que maintenant mais je l'apprécie, elle m'a tapper dans l'oeil. Son caractère de fille grande gueulle me plaît bien. Sans parler du baiser qu'on n'a échangé ce matin, elle était très naturelle avec ses gestes que j'ai pas résisté à la cloué sur le lit. Elle à aimer et répondu à mon baiser on dirait que je lui plaît, mais je ne veux pas précipité les choses parce que moi même ça me surprend je n'ai jamais été ainsi sauf pour ma défunte femme c'est pourquoi j'ai été dur en lui disant qu'on oublie ce baiser. Elle à été peiné mais s'est montré forte. j'apprécie cela chez une femme. Ses lèvres sont si délicieuses comme du bonbon à la fraise j'aimerais à nouveau l'embrasser et lui faire plusieurs câlins. la voix de ma sécrétaire me ramène à la réalité et j'oublie ces pensées.
- Monsieur Newman vous demande à son bureau.
-Très bien merci.
Je prends le dossier et me rend automatiquement chez Jack. A peine je franchis la porte que je le voit embrasser Samira qui se débat je la sauve des griffes de ce fou personnage.
- Qu'est ce qui ce passe ici? Dis je en colère.
- Rien de grave Tony, c'est Samira qui voulait me voler un baiser rien de plus dit-il un rictus au lèvres.
- Mais c'est du n'importe quoi réplique cette dernière.
- Arrête, ne te défile pas tu n'a rien à cacher, Tony n'est pas un idiot.
Elle est prête à le découper en morceau, pousse un soupir, prend une assurance et donne un violent coup de poingt à la mâchoire de Jack qui saigne du nez pour un coup elle sait envoyé cette fille je lui tire mon chapeau.
- Plus jamais je vous voit posé vos saletés de lèvres sur les miennes espèce de moins que rien. Dit-elle en se précipitant vers la sortie
Elle ne m'a pas jetter un regard et se massait la main pour atténuer la douleur. Je regarde Jack qui se tord de douleur et je lui dit le fond de ma pensée.
- Que ce soit la première et la dernière fois que je vous voit agresser un employé sinon je vous vire me suis je fais bien comprendre?
- Attends ce n'est pas ce que tu penses.
- Me suis je bien fais comprendre?
- Oui Monsieur Carter, dit-il en se nettoyant.
- Voilà qui est mieux, je repasserais après pour le dossier sur les importations.
Je tourne les talons pour aller la voir, sa collègue me dit qu'elle est partie et merde moi qui voulait savoir si elle allait bien. Comme je ne veux pas attiré l'attention, je fouille dans le registre pour trouver son adresse que je trouve sans difficulté. Je demande à ma sécrétaire d'annuler tout mes rendez vous et je me rend chez Samira.
Je sonne et rien, j'insiste encore une fois en avalant difficilement ma salive parce que je stresse un peu avec Samira on s'attend à tout. elle m'ouvre dans un pyjama de barbie qui me fait sourire un tout petit peu. Ses cheveux sont attaché dans un élastique, Vu sa tête elle a dû pleurer je décide donc de la faire rire. Elle me regarde longuement, sa petite bouche s'ouvre pour me parler mais je la dévance.
- Drôle de pyjama surtout quand il est porter en pleine matinée.
- Tu peux parler, que fais tu ici? Dit-elle sèchement.
- Ooh pas la peine d'être dur je venais te voir.
- Pourquoi?
- Pour te changer les idées, change toi je t'invite.
- Merci monsieur. Dit-elle en me laissant devant la porte.
- C'est sympa l'accueil dis je en la retrouvant dans la cuisine.
- Tu as soif ?
- Qu'est ce que tu me propose?
- Une bière où tu veux du vin?
- Non la bière me va.
Tout se bouscule dans ma tête, on n'a l'impression qu'on se connait depuis belle lurette. On se chamaille, on se tutoie et vouvoie, on veut se protéger je ne comprend plus rien pourtant on sait vu qu'hier seulement. Elle me lance la bouteille de bière en main, prend une et m'indique un siège.
- Crache le morceau que fais tu ici?
- Écoute moi avant de crier d'accord?
- Ok parle Tony s'impatiente t-elle.
- J'ai vu l'état dans lequel tu était avec jack je suis passer te voir mais on m'a dit que tu étais rentré.
- Alors en bon gentlemen tu es venu chez moi c'est ça?
- Pas dans ton sens, je suis venu parce que....
- Parce que...?
- Parce que je m'inquiètais pour toi.
Elle est partie dans un fou rire que je commence a regrètté d'être venu. Je garde mon sang froid et j'attends qu'elle se calme.
- Tu m'excuse Tony mais j'ai dû mal à croire ce que tu me dis. T'inquièté pour moi et depuis quand?
-Depuis qu'on fait du mal à mon personnel.
- Ne me l'a fait pas s'il te plait. Tu veux me faire croire que tu t'intéresse á tout ceux qui travaille pour toi?
- Oui Samira c'est difficile de me croire mais je m'inquiète.
- Jusqu'à te rendre à leur domicile?
- J'appelle d'habitude mais il est rare que je me déplace.
- Pourquoi tu le fais avec moi? Demande t-elle en soutenant mon regard.
Elle me rend fou avec ces questions je sais qu'elle me fait payer mon comportement d'après le baiser. Je vais quand même pas lui dire qu'elle m'attire inexplicablement.
- Arrête avec tes questions merde Samira si tu n'aimes pas ma présence je m'en irais. Dis je en me levant
- Non reste, je suis désolée.
- Je ne suis pas un monstre, un arroguant irespectueux comme tu peux le croire Samira.
-Je peux te serrer dans mes bras pour un câlin d'ami ?
Je lui ouvre les bras pour toute réponse. Sa tête dans mon cou je respire sa douce odeur de fleurs des champs. Je la caresse du dos pour lui montrer ma bonne foi.
- Tu peux compter sur moi même si on ne se comprends pas souvent. Ne t'inquiète pas pour jack je m'en suis occupé.
- Merci. souffle t-elle
- J'ai une idée, change toi on sort manger.
- j'ai pas envie, commandons plutôt. Dit-elle en souriant.
- Comme tu voudras, des lasagnes, des pizzas?
-Les deux pour t'avouer j'ai une faim de loup.
On rit comme si rien ne s'était passer, elle est belle quand elle rit. Je commande pendant qu'elle parle au téléphone, la causerie est très chaleureuse á l'entendre je crois qu'elle parle á ses parents. Mais ce que j'entends á la fin me coupe toute envie de manger. Elle vient de dire je t'aime moi aussi mon chéri. A t-elle un amoureux? Quel idiot de penser qu'une si belle fille puisse être seule? Je me sent idiot et de trop je me lève, en prétextant avoir une réunion et la laisse en plan malgré ses questions. C'est enfantin de ma part mais je ne peux pas accepter de penser et fantasmer sur une fille qui appartient á un autre. J'aurais pas dû écouter mon coeur. Je suis déçu, on s'entendait si bien. J'ai mal de m'êttre laisser séduire par sa beauté. Je savais que c'était trop tôt, on se connaît á peine.
** TONY en média.

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GARDE DU CORPS
Romancej'ai toujours aimé faire ce métier j'en rêvais depuis petite, ayant travaillé pour plusieurs fortunés aucun ne m'avait attiré sauf celui ci.