GARDE DU CORPS

Chapitre 16 Samira

Tony n'arrête pas de rugir,  pendant tout le trajet il m'a copieusement savonné comme une gamine. Son envie de tout dirigé reprend le dessus et je ne le supporte pas, alors là pas du tout.

Je vais devoir l'écouté pour qu'il se calme et arrêté le boulot pour un temps, après je travaillerais étant dans les bureaux. Je ne quitterais pas ce boulot pour rien au monde , c'est mon métier et Tony devrais se faire à cette idée.

- Viens avec moi que je nettoie tout ces bleues que tu as au visage. Déclare t-il

- Non c'est pas la peine.

- Samira Donell arrête de faire l'enfant et monte avec moi. Déja que tu as refusé d'aller aux urgences faire un examen de contrôle laisse moi te soigner.

- Laisse moi Tony, je peux le faire toute seule.

- Très bien, ne viens pas après me chercher. Dit-il en colère

- Compte sur moi, d'ailleurs je rentre chez moi.

- Fais comme tu veux, en plus tu ne m'écoute jamais viens pas pleurer après parce que je t'écouterais pas. Dit-il en claquant la porte d'entrée

C'est trés bien qu'il parte prendre l'air sinon on finira par se dire de vilaines choses. Je monte prendre un bain et Jeanne m'attrape le bras en me prenant dans ces bras. J'ai besoin de ce câlin maternel, la mienne me manque beaucoup C'est l'occasion de rentrer un peu en famille.

- Comprends Tony, il est amoureux. Son amour pour toi le surpasse c'est la première fois que ça lui arrive. Même avec sa défunte femme c'était pas ainsi. Il a envi de te protéger c'est plus fort que lui, n'oubli pas que cet envie de protection il le tient de moi. Ajoute t-elle en souriant

- Je sais mais fois je me sens opprèssé il faut qu'il me laisse respiré. Pas que j'aime pas ces attentions Jeanne, j'adore Tony, je l'aime mais ces derniers temps il en fait trop surtout avec la venue du bébé c'est trop je peux pas tenir.

- Je comprends, mais c'est pas de sa faute.

- Je crois que quelques jours chez mes parents me feront du bien. Murmurais je

- Bien vrai que tu vas me manqué et que Tony sera fou, je te conseille ce voyage mon enfant. Dit-elle en souriant

- Merci Jeanne, je vais aller me douché.

- D'accord tu as besoin d'aide?

- Non ça va merci Jeanne. Tu es adorable comme maman je t'aime.

- Moi aussi ma belle.

Je me laisse transporter par cette mélodie. Ce bain est relaxant comme la baignoire, je touche mon ventre qui ne se voit pas encore et remercie le bon Dieu d'avoir empêché cette folle de me donner des coups au ventre. Je craingnais cela, c'était sûr que j'allais le perdre et j'allais en mourir surtout Tony. En parlant de lui ça fait un moment qu'il ne revient pas et je m'inquiète. Je sors du bain pour l'appeler pas de réponse, j'insiste encore rien. Je mets un peignoir et crie le nom de Jeanne en regagnant sa chambre.

- Oui mon enfant.

- Tony ne décroche pas mes appels.

- Il est en route, le serveur du bar dans lequel il à l'habitude de fréquenté vient de m'appeler.

- Il a bu tant que ça ?

- Oui, j'en n'ai bien peur.

Le chauffeur l'aide à monter les marches malgré le refus de Tony et l'installe sur le lit. Je regarde mon homme tout épuisé les yeux mis clos ça va être difficile de lui donner un bain j'ai pas de force pour ces muscles mais je vais éssayé.
Je déboutonne sa chemise, puis le pantalon. Nu comme un vers de terre je monte sur lui en lui tapotant les joues.

- Ouvre les yeux chéri.

- Huuum.

- Tu es à la maison, ouvre les yeux.

- Je t'aime Samy chérie ne me quitte pas reste avec moi.

- Je n'irais nulle part, fais moi plaisir et ouvre les yeux. Il faut que tu te lave.

- Tu m'aideras?

- Enfin tu réponds, bien sûr que je vais t'aidé.

Je me lève pour l'attirer contre moi mais l'inverse se produit et je me retrouve sous lui plaquant ses lèvres contre les miennes. Ce goût d'alcool me fait du bien, je suce, mordille et lèche ses lèvres. je l'aime mon homme, ses mains caresse ma peau nue car il a denoué mon peignoir avec une rapidité surpprenante.

- Tu n'es plus ivre?

- Si, si , je suis ivre de toi, tu es celle qui me réveille même ivre.

- Pourquoi tu as autant bu?

- À la base c'était juste une sucrerie que j'avais acheté à l'épicerie, mais quand j'ai repensé à ta phrase qui disais que tu rentrais chez toi là j'ai pas supporté et je suis rentré dans un bar.

Il m'embrasse encore, mais cette fois c'est mon corps qui est couvert de baisers. Je rougis c'est trop mignon, voir cet homme me donner tout cet amour me submerge.

- Ta peau est douce, j'adore quand tu es receptive. Dit-il les mains entre mes jambes.

J'écarte un peu plus les jambes et le plaisir se multiplie. Mon corps se cambre de plaisir, je gémis de plus belle. Il dessend un peu plus et sa langue parcours mon entre jambe. Il aspire mes lèvres humides et excerce une pression avec ses doigts sur mon clitoris. Merde je ne tiens plus je suis au bord de l'explosion, je ressens de  violents spasmes et je jouis sous le regard déroutant de mon homme.

- Je ne vis que pour toi, je ne veux pas que notre histoire s'arrête. Ton corps m'appartiens et crois moi que je n'ai pas fini de te donner du plaisir. Dit-il en capturant mes lèvres.

Il s'enfonce en moi et souffle des jurons qui me font beaucoup d'éffet. Je me reconnais plus, on n'a l'habitude de faire l'amour mais cette fois c'est plus meilleur.

- Dis donc tu t'améliore chéri?

- C'est toi qui me fait cet effet.

Il enchaîne plusieurs coups de reins violents et doux à la fois. C'est magique ce que je ressents actuellement. Sa sueur contre ma peau me plaît et je ne saurais expliqué toute cette sensation Seigneur je l'aime tant .

- Je suis convaincue que notre amour dura et qu'on mourra ensemble.

Nous jouissons ensemble après cette phrase qui vient du plus profond de son coeur. Je suis comblée il ne reste plus que notre bébé.

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TONY en média

Coucou, je voudrais vous remercié pour ces vus et commentaires. Ça me fait énormément plaisir, merciii aussi à ceux qui s'abonnent vous êtes adorables. Xoxoxo

Natiove💗💗💗💗