Chapitre 5.

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PDV V :

Son corps tomba mollement au sol, sans vie. J'ai pu voir, son dernier souffle, sa dernière expression. De le peur, de la tristesse, de l'incompréhension et de la douleur. Tout ça, ce mélangeait sur un visage où je n'avait connu que douceur et amour. Je brandis mon arme qui ne paye pas de mine face a son couteau et m'avance en courant, plein de rage, vers lui. Hyun-Yoo est camper sur ses position, sans doute sur que je n'ai aucune chance, qu'il pourra m'attraper, me garder et me faire encore plus souffrir. C'est lorsqu'il reçu le talon de la chaussure dans la joue qu'il perdit son air arrogant. Il crache un peu de sang et s'avance vers moi en jetant son couteau. Mon seul avantage, je dirais que c'est le fait qu'il me sous estime. Les sourcils froncé, il vient vers moi tandis que je recule, la boule au ventre. Je veux que Nam-Joon soit là, mais ça ne faisait même pas une heure que nous étions séparer, il ne reviendrait sans doute pas maintenant. Je ne peux pas compter sur lui. Je me sens misérable, sans lui, je ne serais sans doute pas capable de grand-chose. Mais bon, après ce qu'il vient de me faire, il n'y a que la rage qui me mène. Je cours vers lui, le talon levé, je donne un coup en fermant les yeux. Il me bloque le poignet sans grande difficulté. J'effectue un rapide mouvement de recule, libérant mon arme, je redonne un coup en gardant les yeux bien ouvert. Cette fois, c'est son nez qui reçoit le coup. Il titube et s'écrase au sol, il est sonné. Je m'acharne alors sur son visage, lui crevant violemment les yeux, faisant le sang giclé un peu partout. A bout de souffle, je m'arrête, laissant le talon enfoncer dans les chaires meurtris de son visage. Il est en vie, mais souffre. Il est défigurer, des morceaux de peaux et de chaires pendaient de sa figure. Sa poitrine se soulevait difficilement, sans doute, le sang qui obstruait ses voix respiratoires. Il mourait surement par asphyxie. Je me relève et me dirige alors vers le corps écroulé de ma mère. Je m'agenouille a coter d'elle, laissant les larmes coulés s'écrasant sur la peau de ma défunte mère. Je rentre chez moi, abandonnant ce carnage quelques instant et redescend rapidement avec mon portable. J'appel l'ambulance et attend au coté de ma maman. Une fois le camion en vu, je dépose doucement au sol sa tête que j'avais prise sur mes genoux. Je me lève et part.

PDV RAPMON :

La tête dans les nuages, je pensais fortement a Tae-Hyung lorsque mon portable c'est mis à sonner. Emmêler dans les draps, a sa recherche, je n'ai pas le temps de décrocher. Au moment ou j'allais abandonner, il se remet a sonné. Je continue et fini par le trouver, dans la hâte, je décroche sans regarder le nom, de peur de perdre trop de temps et de perdre à nouveau l'appel.

-Allo ?

-...

Je n'ai pas de réponse, j'entends des reniflements, des gémissements étouffé, des pleurs. Inquiète, je regarde rapidement le nom qui s'affiche sur mon téléphone. Découvrant ''Tae'', je m'empresse d'insister.

-Réponds moi, qu'est-ce qu'il y a ? Tae... Tu m'inquiète...

-...

-Ne fait pas le con putain !

-Je... Suis en bas de chez toi... Tu peux venir m'ouvrir... ?

-J'arrive.

Je raccroche et sort du lit, sans prendre le temps d'enfiler quelques chose, je me précipite a la porte. Je crois qu'en l'ouvrant, même si je m'attendais a quelques que chose d'horrible, j'étais loin de m'imaginer ça. Tae-Hyung était couvert de sang, des torrents de larmes dévastait ses joues, ses vêtements étaient légèrement déranger, son visage affichais de la haine, de la peur, de la tristesse et une grande douleur filtrais par ses yeux. Je lui attrape le bras et le fait rentrer dans la maison. Je monte directement dans ma chambre, sans le lâcher. Une fois à l' abri, j'ai essayé de lui parler, de lui demander ce qu'il c'était passer, mais il ne disait rien, il ne répondait rien. Je l'ai pris dans mes bras, il ma serrer en retour, sans s'arrêter de pleurer. Il serrait les poings dans mon dos, je lui caressais doucement le sien. On est resté quelques heures comme ça. Sans rien dire. Puis finalement, il a essayé d'allonger quelques mots pour me demander de rester. Je l'ai assis sur le lit et je suis allé voir ma mère. ''Quelques jours, mais autant qu'il le faut.'' Ma mère est très compatissante. Bref, je suis remonté. Je me demande ce qu'il peut bien avoir, il ne parle pas, je ne peux pas deviner ce qui lui ai arrivé. Je suis déjà rassurer de savoir que le sang n'est pas le sien. Quoi que toujours un peu inquiet de ne pas savoir de qui il vient, de ne pas savoir pourquoi et comment il a atterrit sur lui. Il répondra peut-être a mes questions lorsqu'il sera un peut dans un meilleur état. En rentrant dans la chambre, je lui ai pris des vêtements de rechange, lui ai indiqué où était la douche et l'ai laissé y aller. Une demi-heure plus tard, il ressort, propre. Il est mignon avec mes vêtements un peu trop grands pour lui.

Tu seras mon idole.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant