Tu seras mon idole.

Chapitre 6.

PDV V :

Je sais que je devais m'y attendre, je le savais. Mais ça, s'en était de trop. J'ai éclaté en sanglot. J'ai crié, j'ai pleuré, hurlant ma douleur dans tout l'hôpital. Nam-Joon ma pris dans ses bras, il me serrait fort, tentais de me calmer, mais rien n'y faisait. J'ai trop mal. Je n'arrive pas a croire qu'il s'en tire juste défigurer ! Je suis resté écrouler au sol a pleurer encore et encore, la dame de l'accueille faisait passer les gens en me contournant, comme ci je n'existais pas. Quelqu'un est mort, mais elle s'en fiche, elle fait son travail. Il c'est lever, et est allé remplir les papiers, me laissant juste la signature. Je suis surpris qu'il ait autant d'information sur ma famille... Bref, il m'apporte la feuille entièrement compléter, il glisse le stylo dans ma main, il tien ma mains avec la sienne et trace une quelconque signature contenant mon nom de famille. Je ne résiste pas. Il sait que je n'aurais pas la force de le faire moi-même alors il m'aide. Je dois lui être vraiment reconnaissant pour ça... Il est obliger de procéder ainsi, il n'a pas le droit de signer lui-même. Alors il se sert de ma main comme si c'était un pantin désarticuler.

PDV RAPMON :

Après avoir rempli les papiers et fait Tae signer, la dame nous a annoncer qu'il fallait qu'il descende pour une identification du corps avant l'adhésion final. Il n'a pas eu la force de se lever, il a les jambes tremblantes et la voix cassée. Je me suis donc proposer. J'ai beaucoup insisté pour qu'elle accepte. Elle ma indiquer le chemin, j'ai laissé Tae-Hyung a l'accueille, de sorte a ce qu'il ne se blesse pas. Je suis engagé sur le chemin qu'elle m'avait expliqué. Quelques secondes dans un ascenseur puis une longue allée froide. Je tourne a la porte entre-ouverte où est noter ''M3''. Je pose ma main sur la porte. Elle est faite de métal. Lourde et froide. Je pousse en exerçant une pression avec la paume de ma main, et c'est sans difficulté que la porte cède et s'ouvre en silence. Un homme traine là. Marchant, léger au milieu des corps posés sur des tables glacial. Il se dirige vers moi, presque en volant. Le bruit de ses pas résonnaient dans la pièce, mais ce sont stopper net lorsqu'il c'est arrêté face a une table. Sans rien dire, il découvrit le tas de chaires qui était caché par un fin drap blanc. Il le retire, me découvrant son buste. Le choc est violant. Voir la mère de mon meilleur ami ainsi coucher... Rien ne trahirait ça mort, si ce n'est son visage blafard et la large entaille recousue présente sur son cou. On dirait qu'elle dort. Oui, elle bénéficie d'un long repos après une énorme fatigue. L'échange ce fit en silence. Il remit le drap sur la pauvre femme et me regarde quelques instants. Je secoue la tête en termes de réponse. Il me tend un petit bout de papier et un stylo.

''NOM : ...

PRENOM : ... ''

Je rempli a contre cœur cette petit feuille. Je sais ce qu'il va en faire. Et rien que le fait de l'avoir moi-même écrit fait remonter doucement les larmes. L'homme, froid et sans âme, comme la pièce légèrement réfrigérée où il passe ses journée, pose sa main sur mon épaule. Sans doute un signe pour compatir. Et là, ça éclate, le tracé des larmes tache mes joues qui étaient enfin sèche. Je sors de la salle en courant. La porte claque derrière moi. Ce n'est pas vraiment un problème. Ils ne risquent pas de ce réveillés. Au bout du couloir, je m'effondre. Presque coucher au sol, je m'assois et remonte mes genoux contre ma poitrine. J'y refugie ma tête et reste là, silencieux, les yeux fermés. Une chaleur m'enveloppe. Une voix réconfortante résonne. J'ouvre doucement les yeux. Je suis dans ma chambre.

PDV V :

J'étais allonger derrière lui, a lui chuchoter des mots d'amours. Je sais qu'il a envi d'en entendre. Il se réveil lentement, avec le sourire, mais les yeux aussi gonflés que la veille.

-Tae... Comment ?

-Hier, en voyant que tu ne revenais pas, je suis venu te chercher. Et comme tu ne te réveillais pas, j'ai appelé un taxi et je t'ai ramené.