Chapitre 7.

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PDV V :

Je me suis réveillé en plein milieu d'après midi. Nam-Joon étais assis a son bureau à faire je ne sais quoi en me tournant le dos. Je me suis relever et je me suis silencieusement approcher de lui avant de lui bondir sur le dos par surprise. Il n'a pas bougé d'un centimètre, il n'est pas normal... Qu'est ce qu'il a...

-Nam-Joon...

-...

Il ne répond pas... Je retourne sa chaise pour qu'il soit en face de moi. Je m'assois sur ses genoux et le prend dans mes bras. Les siens s'enroulent automatiquement autour de moi. Il ne dit rien ? J'ai bien envie de lui dire que c'est moi qui dois être triste, et que sa raison ne vaut sans doute pas la mienne. Mais ce serais un mensonge. Je sais que je ne peux rien y faire alors je me force à me résigner, même si c'est dur, je me dis que c'est comme ça. C'est peut-être ça être fort, pouvoir tout affronter même si ça nous déchire de l'intérieur. Je passe une main dans ses cheveux tandis qu'il serre son étreinte encore plus, laissant de chaude et humide tache sur mon haut. Il pleur.

-S'il te plait, si il y a quelque chose, surmontons le ensemble... Parle-moi...

-...

-Je t'en supplie...

-Ma mère... Elle nous a vus... Je ne sais pas si elle va parler à mon père... M... Mais elle la très mal prit... Je l'ai déçu... Elle doit sans doute me détester... Qu'est... Elle ne voudra assurément plus de moi... On va finir comment Tae... ? J'ai peur...

Il a articulé tout ça en se battant avec les larmes, et sa respiration saccader. Il ma toujours ''secouru'' et maintenant, je ne sais pas quoi faire alors que tout est de ma faute. Ce soir là, je n'aurais pas du aller chez lui, même si j'étais perdu, même si j'avais mal, même si je pleurais... Ce... Ce n'est pas le moment putain ! Je dois m'occuper de lui...

-Nam-Joon... Viens, on s'enfui. Allons dans ma maison. Elle est vide, les inspecteurs on fini, habitons y ensemble...

Il a levé la tête ! J'ai réussi à le faire réagir ! Il me regarde et plante son regard dans le mien. Il ne bouge pas plus, comme ci j'avais sorti la pire bêtise de ma vie. Il est resté comme ça environs 5min, puis il ma fait me lever, il c'est lever aussi et il a rassemblé un certains nombre d'affaire. Il ma attraper le bras, tout ça en silence, on est descendu, sans faire de bruit. Il a ouvert la porte, ma donner le temps d'enfiler mes chaussures et il a fait de même pour lui. Il me tenait le bras fort, en reniflant beaucoup. Il marche devant moi, en me trainant presque. Il va trop vite pour que je puisse le suivre. Il se dirige vers chez moi. Je sais que les souvenir vont m'assaillir de partout. Mais je peux bien faire ça pour lui, non ? On arrive assez rapidement, il enlève ses chaussures mais ne me donne pas le temps d'enlever les miennes. Il continue a me tiré, presque en me trainant, il me fait mal... Il m'emmène comme ça jusqu'à ma chambre et il me jette sur le lit. Il ce met au dessus de moi et me mord violemment le cou.

PDV RAPMON :

Je me suis placé au dessus de lui en enfonçant de plus en plus mes dents dans la chaire tendre de son cou. Je ne m'arrête que lorsque je sens le gout légèrement salé du sang. Il gémit. La douleur est vive. Je passe doucement ma langue sur la plaie que j'ai crée. J'attrape la cravate de l'uniforme du lycée qui trainait sur son lit et je lui attache les mains. Les miennes se glissant ça et là sous les tissus qui recouvraient son corps. Je le chatouillais, le frôlait, le caressait. Mes doigts passaient sur son torse en s'amusant sur chaque courbe de celui-ci. Tandis qu'il se tortillait en dessous de moi, sans grande volonté de partir, surmonter par le désir. Nos joues étaient rouges et nos yeux noyer dans l'envie. Je peux sentir, par ses coup de hanche saccader balancer au hasard dans le vide, a quel point il me veut en lui. Je m'amuse de cette situation. Ce n'est pas comme-ci, ici, on risquait de se faire prendre. Dans cette maison où nous allons commencez notre nouvelle vie, il n'y aura que lui et moi. Et comme en ce moment même, je pourrais pleinement m'occuper de se corps qu'il m'offre avec tant de plaisir. Il se redresse tant bien que mal.

Tu seras mon idole.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant