Début 1945
Au milieu des corps démembré par les oiseaux affamés et les bestioles prêtes à tout pour survivre, un pendentif. Un pendentif doré orné d'un métal inconnu, suspendu au cou d'un soldat francais. Malheureusement, une pie se l'était approprié et pris avec elle le beau collier, et le déposa dans son nid.
Je précise que je déteste ces bêtes mesquines et malfaisantes.Sarah, qui venait d'avoir dix ans, traînait dans les rues de Paris. Mains dans ses poches cousus mainte fois par mes soins.
- on devraient pas rester ici, c'est dangereux!
- Dans ce cas, ne fais pas de bruit Marie.
Nous marchions pas à pas cherchant les moindres pièces d'or sur le sol ensanglanté.
Je les cachaient dans mon béret et Anna les cachaient dans ses chaussettes.
Nous avions tellement marchées, les bois, les sentier, les pavés, tout était passés au peigne fin dans l'espoir de trouver quelques petites choses.Arrivée à un champ de maïs, je n'eu plus vus Sarah. Je l'eu cherché pendant plus de dix minutes, aucune trace. Je finis par l'appeler.
- Sarah, ou te cache tu, ce n'est pas drôle!
Puis j'eu sentit quelqu'un qui m'avait aggripé la bouche. Je me debattais de toutes mes forces mais à la suite j'avais entendus.
- chut, il y a des soldats nazis dans ce champ, ne fait pas de bruit.Je ne bougeais plus, comme si les mot de cette personnes m'avait instantanément gelée sur place. ( en pleine été). Des bruits venait vers nous, je commençais à paniquer.
- chut. Si tu fais du bruit on va se faire repérer.
Ils avançaient.
Puis au moment ou il ne restait plus que quelques maïs entre nous deux et les allemands.
*bruit de grenade*
Puis les nazis accoururent à l'inverse de nous.
Quelques minutes plus tard, voyant que j'avais toujours une main sur ma bouche, je mordit la personne.
- aïe ! Espèce de sauvage!
Je me suis retournée.
Un garçon aux cheveux brun, qui devait avoir vers les 14 ans se suçait la main.
- Merci, mais tu m'as fait peur.
- c'était mon devoir.
Disait-il en se suçant de douleur la main, un chouillat écorchée par mes propres canines.
- de me sauver ou de me faire peur?
Il s'était assit mais il releva la tête vers moi en souriant.
- les deux.
- félicitation tu as réussit. Maintenant nos chemins se sépares.
- quoi? Tu vas traverser le champ?
-si c'est pour trouver ce que je cherche je le ferais.
Le garçon souriait comme un ange.
- qu'est ce que tu cherche ?
Comme je ne connaissait pas la personne en elle même je fus obligée de mentir.
- ma petite soeur.
- celle qui courrait en remontant ses grosses chaussettes?
Effectivement, le jeune homme semblait nous espionner. Mais peu être qu'il savait où elle se trouvait.
-je peux t'aider a la chercher si tu veux.Nous avions cherchés Sarah deux heures d'affilées. Entre temps nous avions discuté,
-Comment t'appelles tu?
- Andrée et toi?
-Marie.
-Tes parents étaient croyant?
-Aucunes idées je les ais très peu vus ces derniers temps.
-Il n'y a que les croyants qui appellent leurs filles Marie.
Un petit silence s'installa:
- j'habite à deux pas d'ici et je m'amusait avec mon lance pierre dans le champ juste à côté.
-Ton lance pierre ?
-Oui je l'ai toujours avec moi dans le cas ou je ferais de mauvaises rencontres.
-Tu m'as entendus appeler ma sœur?
-Oui et j'ai accourus par ce que je savais que quelques nazis malhonnête était présent dans le champ. Je les ais vus juste quelques secondes avant de t'entendre crier.
-Que faisait ils là ?
-Ils cherchent sûrement de la nourriture ou de quoi s'équiper.A la tombée de la nuit je fus obligée de rentrer sans Sarah. André et moi nous ne l'avions pas trouvés.
- Tu es sur que ce n'est pas riqué de rentrée toute seule à cette heure là ? Tu n'as pas peur de tomber sur des gardes?
Des veilleurs qui sortent d'un bars, Jacques l'Éventreur?
Andrée ne voulait définitivement pas que je partes sans ma soeur et ...sans lui.- À coups de lance pierres je frapperai brigands et méchants. Je serais là pour vous protégez mademoiselle.
Donc, nous sommes rentrés ensembles.Arrivée chez moi, Andrée n'avait pas pensé au retours du trajet.
- heu... Mademoiselle Marie, est ce que vous pourriez m'abriter un soir? La nuit est froide et les murs ne tienne pas très chaud. Mon chez moi est assez loins d'ici.
Évidement j'accepta. Mais avec une grande inquiétude pour Anna.Vers quatre heures du matin j'eu entendus l'orage.
Des trompes d'eau coulaient le long des ruelles. Je regardais par ma fenêtre des soldats entrant dans un appartement d'en face. Un homme qui portait de la barbe et un chapeau noir sortait en hurlant a l'injustice.
- Ça barde dehors Mylady.
C'était Andrée qui vennait de se lever. Ses taches de rousseurs apparaissait sous ses yeux bleus. Il me fixait avec attention.
- Rendors toi, nous avons une longue route à faire demain.
Ses cheveux brun tombais sur ses yeux qui regardaient sa main bleutée.
Je lui ais alors demandée si il voulait un bandage. Monsieur n'ens voulais pas. Une heure plus tard nous avons sursautés quand, au pied du lit une ombre féminine fit son apparition.
Elle s'affalat sur le lit.
- hé bien tu l'as retrouvée ta soeur.
Me chuchota Andrée.Le lendemain, au réveille, nous étions frais, prêt pour ramener Andrée.
Sur le chemin, Anna nous confia une anecdote sur le miracle d'hier.
-J'étais sur une coline ou il y avait une vus sur le champ. J'eu vus que les allemands vous approchaient , au départ, j'eu vus Andrée, je ne savait pas qui tu étais, et tu me semblais louche, mais tu étais très jeune, c'est ce qui t'as sauvé de la grenade je pensse.
J'eu un temps de réflexion. Puis, j'ai demandé clairement.
- la grenade, c'était toi?
Elle m'as regardé sans émotions.
- j'emporterais le secret dans ma tombe.
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Marie de France
Historical FictionCette histoire retrace la fabuleuse épopée d'une petite française lors de la première guerre mondiale.