fin de la guerre seconde guerre

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Fin 1945.

Anna et moi même, avons bien grandits, la guerre fût finit le 8 mai 1945. Ce jour là Anna avait ouvert les fenêtres pour acclamer la venus des amis lointains.
Trois personnes sont revenus. Mme Damer, une concierge qui avait été denoncée par le propriétaire de l'immeuble d'en face, ( celui ci fût tondut sur la place du marché pour dénonciation malveillante. Car oui Mme Damer n'etais pas juif... Mais qui aurait dit le contraire. Des rumeurs racontait qu'elle voulais une augmentation car elle n'arrivait pas a nourrire correctement son fils. Le patron n'ayant pas d'argent l'eu dénoncé.)
Elle fût en pleure en arrivant, son fils l'eu prise dans ses bras. Ce n'étais plus un enfants. Il n'y a rien de pire que d'avoir le devoir de laisser pendant 5 ans, son fils seul, abandonné et de le voir en homme a son retours. Avoir entre autre, raté les moments forts de sa vie.

Un homme, Monsieur jaquet, fort affaiblit par la marche saccadé des soldats. Je ne le reconnaissait pas et Sarah non plus.

Le visage de Sarah s'éteint. Plus aucune émotion, aucunes ride d'exclamation.

Une larme coulât alors sur sa joue, elle allait refermer la fenêtre quand tout à coup son visage changeât totalement d'apparance.

- Adèle !
Avait-elle criée de ton son coeur. Ses poumons avaient du se vider entièrement.

Au loins une petite fille courrait, fatiguée du chemin traversé, fatiguée de tous ce qu'elle avait vécue, endurée, elle se raccrochait sûrement à la silhouette quelle apercevait au loins, aux crisqu'e Sacha lui jetait.
Cette fille qui a vus son père mourir devant ses yeux.
En était-elle devennus aveugle? Je me le demandais.
Cette petite fille...
Elle pleurait quelques temps auparavant dans un fourgon kaki. Les nazis allaient l'emmener dans un de leurs camps.

Cette petite fille qui arrivait encore à courir après le temps, un temps qu'elle avait surement oubliée là-bas.
Sarah descendit, elle s'était mise à courir auprès d'elle.
- Adèle !
De ma fenêtre j'eu vus un spectacle traumatisant. J'ens eu pleurée des nuits jusqu'à aujourd'hui.

La petite s'écroulât sur le sol et l'on eu entendit une parole.
- Sarah...aide moi.
Sarah accourue vers elle et l'eu attrapée par la taille.
- je suis là Adèle, je suis là...
Les deux soeurs restèrent collées l'une à l'autre pendant très longtemps.
Plus un bruit, leurs cheveux s'entremėlèrent et leurs mains restèrent liées entre elles.
Sacha se releva avec Adèle dans ses bras.
Moi, toujours postée à ma fenêtre, je regardais la scène.

Adèle toussait très fort. Anna lui donna de l'eau.
Adèle pleurait, Anna étais là, avec un mouchoir pour sécher ses larmes.

Quelques minutes plus tard Anna et elle, sont rentrées.
Dans la soirée, je me suis promenée avec Andrée dans les rues de Paris. (pour me changer les idées qui sont venus en masse aujourd'hui.) d'un coup celui ci monte à un abre sur le trotoir d'en face.
- qu'est ce que tu fais?
- il y avait quelques chose qui brillait.
Il eu raison. Monsieur avait trouvé, dans un nid de pie, un pendentif.
- Ce collier...
Je me suis mise à pleurer, pleurer toutes les larmes de mon corp.
Andrée qui avait dus comprendre en ouvrant le pendentif, s'est assis à côté de moi et m'as prise dans ses bras.
- tu sais, il n'est peu être pas mort, il y à toujours un espoir quelques part, là-bas qui fait qu'il sois vivant.

Andrée, voyant la situation s'aggraver, m'eu relevé le menton et m'eu embrassé.
Il avait réussit à me faire décocher un sourire que j'avais perdus depuis quelques années.

Nous sommes rentrés.
- tu ne veux pas rester?
- non pas ce soir, ma mère avait pris peur la fois dernière, elle croyais que j'étais mort et elle n'avait pas dormit de la nuit. De plus il y a une nouvelle recrus chez vous. La prochaine fois peu être.
Il m'embrassa de nouveau et l'on dû se quitter.

A l'intérieur. Sarah pleurait encore et encore.
-Que se passe t-il ?
- pneumonie Marie, Adèle a une pneumonie.
Je suis allé la voir, elle était blanche (non pas pâle, blanche!) elle toussait et crachais de temps en temps du sang.
Sarah partit chercher le docteur qui habitait le moins loins. Moi je suis restée à son chevet. Mais j'eu vus son état s'affaiblir de plus en plus.

Je m'étais alors agrippée au rideaux , j'eu ouvert les fenêtre et j'eu essayé de jouer la marseillaise à la flûte, ce qui étais un cauchemars, non seulement je jouais mal, mais les notes qui sortait ressemblaient a un égorgement de canard ou de poules avant Noël.
J'eu abandonner la flûte pour crier:
- Vive l'égalité! Vive l'amour! Vive le bonheur! Vive la France en paix.

Fin.

Marie de FranceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant