le grand concours du soltice d'été

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Milieu 1944.

Les demoiselles était toutes vêtues de la même manière,Tutu blancs et ballerines verte car le concour avait pour thème "nénuphars des lacs bleu". C'était une idée de Mme Rigdens. Elle y avait mit tout son coeur dans la mise en scène. De grands rideaux, des décors peints à la main. Tout était fait pour que petit et grands soient époustouflés par les quelques pas de danses que l'on pourrait prodiguer.
J'avais beaucoup répétée  en compagnie de Mme rigden's. Audrey, elle n'as pas pus participée au spectacle car sa mère était venus la chercher, le soir même, pour retourner au Luxembourg.

Le matin même :
-Tu as donc eu des nouvelles de ta maman.
- Oui...
- qu'est ce qu'il y a Audrey?
-j'ai peur de ce qu'il va nous arriver par la suite.
Elle me passa une lettre.
- tu pourras la lire l'ors de mon départ ?
-oui...je le ferais promis.
Nous nous sommes serrés dans nos bras.

Le solstice pointait le bout de son nez.
Des personnes du monde entier venais prendre place dans les tribunes. Des nazis, Des parents, des famille.
-tu as vus le monde qu'il y a Josepha!
-ils sont tous vennus applaudire leurs petits nénuphars.
Un petit silence fût entre nous. Je n'avait pas fait attention au regard attentionné de Josepha. Elle se pencha alors vers moi et me serra dans ses bras.
-Si tu veux j'essaierais de remplacer Audrey! Chuchota t'elle.
J'eu pris peur. Et je me suis mise à courir vers les sanitaires de l'école. Pour me calmer je pris la lettre d'Audrey. Elle était faites avec du papier prît dans le bureau de la directrice. Je me suis mise en-tête de commencer à la lire avant son départ:

Pour Marie.
Tu es la seule amie que j'ai eu de toute ma vie , je ne cesserais de penser à toi jours et nuits. La guerre peu faire du mal au gens, peu détruire ce qui nous reste de plus prescieux, mais j'aurais toujours cette lueur de douceur dans ce monde cruelle et cupide. Peu importe la bataille, on a toujours le choix d'être une bonne ou mauvaise personne. Prends soins de toi et fait attention.

Ps: Ma petite soeur est morte pendant la guerre. Tout ce qui me reste c'est ma mère et comme la France est un beau pays, je suis fière de posséder une soeur adoptive qui porte ce magnifique blason qu'est l'école du kent.
Pour ce soir danse comme jamais, tu mérite d'être le cygne gagnant.
Le chiffre 5 l'emportera.

Aufet tu as un paquet dans ta chambre de ma part.
Sache que je serais toujours là pour toi. Quoi qu'il arrive.
Je t'aime.

Je me suis mise à courir vers la sortie. Je n'eu vus, a cet instant, qu'une silhouette qui me faisait ses adieux sur la banquette arrière puis l'ombre d'une voiture disparaitre dans une rue. Une sensation de déjà vus s'était emparée de mon être. Je me suis mise a courire les larmes aux yeux.
J'ens ais fait, à la suite, des nuits blanches a vouloir changer le passé.

Audrey tu es mon amie, ma meilleure amie.

Ne sachant que faire au bout de quatre minutes, je suis rentrée a l'internat. On m'eu donné le chiffre six.
Une par une , nous somme passées devant le jury puis nous sommes repassée toutes ensembles. Ce fût magique.
Mais a partir du moment ou le chiffre cinq fût rappelée, un blanc s'installa. Comme personne ne reagissait, je m'étais mise à la chercher.
Après quelques minutes de recherche intense, je l'avais retrouvée dans le grenier de l'interna, son pied droit était bleuâtre. Elle était en larme.
-vient avec moi, je vais t'amener à l'infirmerie.
-non! Laisse moi creuver !
-mais tu vois bien que ça ne va pas, je ne vais pas te laisser !
J'eu sentis alors une odeur d'alcool.
-tu as bus ?
- Laisse moi crevée, je suis une merde!!
-pas question!
Je l'avais portée jusqu'a Mme Rigden's.
(Ce qui n'était pas facile car elle se debatait fortement.)
Celle-ci l'avais alors envoyé a l'infirmerie.
Le concours fut décalé d'une heure.
Une heure plus tard, la numéro cinq n'était toujours pas en assez bonne santé pour concourir.
Mme Rigden's du la retirée de la compétition.
C'est donc moi qui ais récupérée le chiffre cinq. A ce moment là je repenssais a la lettre d'Audrey. Et si le chiffre cinq gagnait le prestigieux concour de danse? Est-ce qu'elle était au courant pour le chiffre cinq et ses déboires?

Quand ce fût a moi de passer, j'eu dansser comme si le monde autour de moi avait disparue, comme si il n'y avait plus que des nuage de douceur. Comme si mon père ainsi qu'Audrey me soutenait. Une danse étrange, j'avais tout donné.

Et le destin se révéla être bon...

Marie de FranceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant