13 - La fin - La loi du plus fort gagne toujours

2.1K 194 43
                                    

[ Partie 13 ]

13 - La loi du plus fort gagne toujours.

PDV Sarah.

Mort, il est mort, j'suis anéantis.

Détruire, le truc qui est sensé battre dans ma poitrine il commence à crever peu à peu, il bat plus, j'respire plus, j'avais besoin de lui, j'avais besoin d'elle, pour vivre, c'était le fil qui me maintenait debout dans ce vide.

Tout est passé si vite, j'avais rien vu venir, j'étais ce jours la sensée être la plus heureuse du monde, commencez une nouvelle vie, avec Assaf.

Tout ça, tout ça c'est partie d'un coup, mes rêves, l'espoir, tout ça c'est partie avec eux.

Et moi, coincer dans ce monde, Al Dunya *la vie, le monde d'ici-bas*

... ...

L'ambiance était gênant et électrique.

Ont étaient tous là encore à patienté, toujours patienté, il commençait à avoir des chuchotements, ça parlais, j'étais extrêmement mal à l'aise mais convaincus qu'il viendrait et qu'il s'excuserais du retards, et que les femme oublieront les paroles qu'elles avaient dite.

Au bout d'un moment, j'ai perdu espoir, je n'ai plus réussis à faire croire à mon coeur qu'Assaf viendrais, j'ai abandonné, mes yeux étaient aux bout de pleurer, je commençais à avoir la gorge en feu et les larme qui bataillais, j'allais m'effondré devant tout ce monde, nan, Sarah bat-toi !!

Assaf c'est un homm, un vrai, il viendra.

Sofiene à perdu patience après tout les appels et message qui lui a laissé, il c'est mis alors à sa recherche, d'après lui c'était pas son genre ce type de chose surtout dans une situations pareils.

Alors il est partie et là, c'est un quart d'heure plus tard qu'on reçoit l'appel de Sofiene, c'est l'imam qui réponds.

Le regard désemparé de l'imam se pointe vers moi, je m'attends au pire, j'en ai marre d'attendre je veux savoir ce qu'il y a !

... ... ...

Le néant totale, l'imam m'annonce la mort de Assaf, j'y crois pas, c'est impossible il ne peut pas mourire maitenant, il doit se marier, j'arrive pas y croire, c'est impossible, c'est forcement une erreur.

Je prend le téléphone qui est toujours en ligne avec Sofiene, ses cris me font mal, Assaf est mort, son coeur ne bat plus, et des cris encore, Sofiene est bouleversé de voir son frère couvert de sang, abattu par plusieurs coup de couteaux.

Tout a était annulé alors, ils sont tous rentrés chez eux, l'imam est resté, ma famille et celle de Assaf aussi.

J'ai pas pu réagir, j'étais choquée, j'attendais mon prince, mais il l'a rencontré elle, elle l'a emportait et m'a oublié, encore elle, elle l'a pris et lui a volé mon coeur.

La mort la pris, mon coeur aussi.

[...]

Le lendemain à mon réveil, j'étais seule, je suis restée chez moi, je devais aller voir la famille d'Assaf Allah y Lahmo chez lui.

J'y suis jamais allé, pour deux raison, je n'avais aucune force , j'étais complètement anéantis, j'étais morte moi aussi, ma famille et la personne sensé être mon mari à l'heure d'aujourd'hui, avait rejoins l'autre monde y'a Allah à quand viendra mon tour, y'a Allah je meurs sans eux y'a Allah que dois-je faire ? Ma vie est ruinée, comment sourire quand on ne sait plus à quoi ressemble le bonheur, quand on y perd l'accès, quand on est dans cette impasse, quand on doit attendre le nouveau départ mais sans espoir, m'en remettre à Dieu à cette epreuve m'en remettre à Lui et Lui Seule, Assaf il m'aurai dis ça, ma mère aussi, Paix à leur âmes.

Un Brave du ghettoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant