[ Partie O8 ]
O8 - L'amour c'est un terrain d'mine,au moindre faux pas tout explose.
J'plus trop l'choix, faut renoncer,faut que j'assume mes fautes, elle avait des conséquence, et j'dois les payer.
« - Sarah hbiba, Seul Dieu sait comment je t'aime, mais j'peux pas si tu me donne le choix maintenant, tu peux m'insulter d'enfoiré tout c'que tu veux mais avant réfléchis bien parce que tu connais pas les raison.
Sarah - J'vais t'la dire moi la raison, j'me suis trompé sur toi, t'es comme tout ces gars, tu veux juste me détruire, c'est ça ton but, tu voudra revenir mais trop tard, tu préfère t'a merde qu'à moi, alors j'vaux si peu pour toi ?! C'est ça la raison et nie pas, j'en ai assez de tout ces mensonge.
- C'est juste c'que tu pense, mais tu connais rien et c'est mieux ouais vas-y salem bonne vie.J'ai compris que tu pourras pas accepter mes erreurs.
Sarah - J'espère que ça pourrira dans ta conscience ton hram, *illicite* tu mérite que ça.»
J'fais pas attentions, et décale au taff.
J'me dis là, Assaf t'a clairement foiré, c'pas que tu voulais lui dire, jamais d'ma iv j'ai voulu que tout ce termine, j'l'aime trop, mais j'l'aime beaucoup trop et elle est pas faite pour moi, plutôt l'inverse j'suis pas fait pour elle, elle mérite mieux.
Fallait que j'la laisse, que c'était qu'une passe, j'sais pas si au final c'est une bonne ou mauvaise rencontre, on s'est fait du mal en voulant s'faire du bien, on a trop rêvé du destin qu'on a rien vu venir, cette rencontre j'la regrette pas, p't'être que j'pourrais continuer ma vie comme si de rien n'était, supposer que c'est déjà du passer, qu'on a tout oublier, qu'on a su ce reconstruire, c'est beau ouais, magnifique même, mais impossible.
On m'a dit qu'après l'echec on sera meilleur, faut savoir de quel echec tu parle.
Y a des defaite qu'on peux pas tolérer, qui sont injuste, mais faut avouer on les a un peu provoqué, on a un peu forcé l'jeu, et c'est là qu'on apprends qu'on est pas maître de soi-même, que y a des choix, des actes, qu'on doit subir, on les produit, certains avec un grand sourire mais au fond, y a rien, pas d'fierter, on est juste anéantis.
L'destin c'est une dictature, bonne ou mauvaise, tu dois la vivre, et si t'abandonne en cours de route, y'aura pas de rattrapage du temps ou excuse valable, tu meurs.
[...]
S'passe rien dans ma vie, j'crois que j'ai appuyer sur le bouton stop, c'est la même galère, la maison est propre, j'pourrai en être fier mais c'est pas le cas, y a rien qui vas, chaque chose ce répète, tu m'diras la différence entre hier et demain j'te répondrai que demain j'y suis pas encore mais j'le prevois déjà.
J'ai tout réglé w'Allah que les problème d'hier il est passé depuis un temps, c'blem d'argent c'est plus ça qui m'pertube mais c'est la manière dont j'l'obient, l'bizz ça m'a pas réussi, regardez j'suis devenu comment, j'ai tout gâché pour une putain d'connerie, pour une putain d'vie, j'ai tout misé j'ai tout perdu, l'impression que j'suis plus Assaf, c'plus une impression maintenant c'est une certitude, ça m'contracte, j'y pense à chaque fois c'est un putain d'blem dans ma tête, y a rien qui est réglé c'est l'delbor j'peux même plus m'y retrouver.
Ça me hante comme un cauchemars, au début j'y fessais pas attention, à peine en faite, j'pensais que c'était juste pour un temps, et que mon taff, mon vrai taff j'arriverai à le trouver, j'avais tout facilité dans ma tête, que j'pourrais tout oublier et continuer ma vie, normalement.
Mais j'suis rentré dans ce vice, conscient que c'était pas bien, mais innocent, c'truc c'est la dinguerie tout les jours, tu sais pas à quoi t'y attendre, tu rentre pour de l'oseille tu sors avec du plombs dans la cervelle, c'est une guerre qu'on a créer, un jeu maudit qui cesse d'empirer, influencer, quand tu l'vois de l'autre côté, t'es aveugler par l'oseille que t'en oublie le sang qui est dessus, et quand tu rentre, on ferme les porte derrière, t'es piéger.
On sait tous que c'est cruel, mais faut l'vivre pour le comprendre, on pourrai donner tout les exemples du monde, ça toucherais même pas le plus fragile, faut l'vivre et pas l'voir, les souvenir du coeur ça reste éternellement, la mémoire tu la perd au bout d'un moment.
Sarah, putain Sarah, j'ai pas d'mot pour lui faire comprendre que j'regrette, j'arrive pas, c'est impossible presque, faut être moi pour le comprendre.
J'avance pas dans l'histoire, faut que j'avance dans ma vie, j'la continue, et que mes erreurs font de moi l'homme d'aujourd'hui, ouais j'suis plus trop super.
J'ai fais mon taff d'aujourd'hui, j'décalle comme d'hab au local, faut faire les comptes, encore.
J'y vais et cette fois au lieu d'être à l'écart, de penser encore que j'fais pas partie d'leur troupes, j'y fais partie et j'dois l'accepter, j'participe aux faits qu'ils soient bon ou mauvais, j'l'ai commis, j'pourrais m'faire embarquer pour complicité, ou être le suspect principal, faut que j'me mets en garde, faut que j'm'attends à un coups, j'suis au milieu et tout ces traitres au visage anonyme attendent le moment pour attaquer, c'est la loi du plus fort qui l'emporte sur le faible.
J'm'assis à la table, c'est mon tour, y avait rien d'important, j'ai juste donner les information qui fallait.
Achraf ce mets à mes côté et pose sa main sur mon épaule, signe de complicité, on sait bien qu'entre nous deux c'est que d'l'hypocrisie.
Il baise sa tête pour être au niveau de tout le monde.
Achraf - Alors, Assaf tu t'es rejoins à nous à c'que j'vois, j'en étais sûr que cette rumeur allait révéler qui t'étais vraiment, j'l'ai fais pour toi mon frère.
La rumeur, c'est lui alors, le responsable, il décide enfin de porter ses couilles devant tout l'monde, j'ai dit que j'allais enculer le pd qui a commencer, quitte à m'faire fumer; Vas-y Assaf il t'a humilié !!
J'me lève, prêt à cracher les coups.
Achraf - C'est bien d'porter ses couilles, t'es dans le même navire que nous, alors pourquoi le renier ? C'est con hein pas vrai ?! Assaf t'es ici avec nous pour le même but, pas les même raison on est dacord mais le même but, serait tant de l'assumer au lieu de t'mettre à l'écart.
J'le regard, j'me sens impuissant faible surtout, le pire, c'est que c't'enfoiré a pas tort, j'me sens pas moi tout simplement.
[...]
Cette merde c'est pas moi, c'que j'fais c'est pas c'que j'aurais fais auparavant.
J'pourrais donner comme motif la baisse de la foie, mais c'est dire que j'en ai pratiquement plus, j'ai renié tout mes principes, j'ai plus la même facon d'voir dans ma tête, j'ai l'biff dans mon coeur et dans ma tête tout est en fumé.
J'ai lâché le peu qui me rester, le peu qui me tendait la mains vers la raison, tout ça, c'est partie sans m'en rendre compte, comme un con j'pensais que tout c'que j'fessais allait finir, bientot, et bien finir, comme un mauvais chapitre, un brouillon, une erreur d'ma vie, sauf que la fin c'est moi, c'est ma fin là, c'te merde elle va m'finir, j'aurai pas d'aller retour dans ma tombe.
Insouciant que j'étais ...
A SUIVRE ...
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Bisou et à la semaine prochaines 💋
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Un Brave du ghetto
Novela JuvenilUn bon , Assaf c'était un bon , pas un enfoiré qu'on croisait à chaque coins de rue . Il avait sa mère , son père , ses grand frère et soeur auprès de lui , ses amis pour lui , il était là pour eux . Mais Assaf c'est fait doullié , la vie l'a salie...