Et si on continuait d'écrire ?

73 4 5
                                    

Point de vue Camila

Je décide d'aller continuer d'écrire la suite de notre scénario. Avec Lydia, nous écrivons un peu quand nous avons le temps, par moment c'est elle qui commence et par moment c'est moi. Mais nous mettons parfois du temps mais c'est parce que nous aussi nous écrivons aussi des histoires de notre côté.

Par moment, quand j'écris des histoires, je préfère écrire sur une feuille afin d'écrire ce qu'il me passe par la tête.

J'espère que Monsieur aura l'amabilité de nous répondre assez rapidement parce-que sinon je suis persuadée qu'elle ira le chercher par la peau des fesses et ça ira mal, très mal pour lui face à une Lydia en colère.

Dans ma chambre, je pris mon casque car il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai été regarder des matchs de Hand, et quelqu'un m'a volé mes écouteurs, qui malheureusement n'était pas à moi, la poisse ! Je me retrouve donc avec un casque qui fonctionne qu'à moitié.

Enfin bon, je pris ma trousse, un crayon et c'est partit pour écrire. Avec mon stylo, je tape sur ma feuille tout en écoutant une chanson des little mix que j'aime beaucoup, Always Be Together, elle est vraiment génial. Justement, c'est une chanson sur l'amitié.

Je note en gros en haut de ma feuille " IDÉE DE DÉBUT DE CHAPITRE ".

Je fais ça de temps en temps, j'écris quelques idées, ce qui fait que je créais d'autres idées et ainsi de suite.

Alors réfléchissons, réfléchissons !

Ah voilà !

- Discussion du côté des loups garous.

- Le lendemain, retour de deux filles chez Isaac.

- Point de Vue Camila pour qu'elle explique ce qu'il lui arrive.

Bon, ça m'a l'air déjà pas mal.

Étant donné que je suis le personnage de Camila, je vais commencer à écrire son point de vue, que je montrerais à Lydia plus tard.

Retour au scénarios pour teen-wolf

Point de vue Camila

Je fais partir des personnes qui sont toujours renfermés sur eux même. Ce genre de personne qui ont peur des phrases stupides qu'elles peuvent lui dire, peur d'être un jour toute seule. C'est vrai, je ne fais rien pour arranger mon cas. Je n'ai jamais fais d'effort et ne suit jamais allez vers les autres, bien qu'il y en est des gens sympa.

J'étais seule, mais pourtant un jour, j'ai rencontré Laura. Pourtant d'humeur méfiante, elle a su me mettre en confiance. J'admirais ce qu'elle était, j'admirais la relation qu'elle avait avec sa mère. Sa mère était quelqu'un de très gentille, elle avait un cœur énorme. Elle est le genre de personne où leurs dernière destination est le paradis.

Moi, dés que j'ai remarqué que quelque chose n'allait pas chez moi, j'ai fuis.

Oui, j'ai fuis telle une lâche. J'ai quitte ma famille, l'école. Je suis partit sans bagages, je suis partit en courant loin de ma mère, de mon père et ma petite soeur qui avait à peine une semaine. Des fois je ferme les yeux et je m'en veux mais je ne peux m'empêcher de me dire que je ne peux pas mettre ma famille tellement heureuse en danger. Je n'en ai pas le droit.

Et c'est sur ma route, que j'ai rencontré Laura. Tout de suite, elle avait remarqué que je n'étais pas comme les autres, que je n'étais sûrement pas humaine et elle ne s'est pas enfui, elle n'était pas partit en courant et elle m'a accepté comme j'étais.

C'est rare de trouver des personnes qui t'aiment pour ce que tu es et pas pour ce que tu essaye d'être.

Quand sa mère est morte, j'ai été là pour elle comme elle avait été là pour moi. J'étais là pour lui redonner le sourire comme elle avait fait pour moi. Puis plus tard, elle décidé de retrouvé son frère. C'est là qu'elle apprit où il vivait.

La distance pour une amitiéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant