Toute une histoire! (Tome 1)

Chap 32

                 Dès que chacun avait atterri, il devait envoyer un message à tout le monde alors c’est ce que je m’empressai de faire en marchant pour aller récupérer Tamtam et le ramener dans son écurie habituelle. Je le douchai avant de me rendre chez moi pour qu’il déstresse. Ma mère me sauta littéralement dessus en arrivant.     

-« Je t’es manqué peut-être ? » demandais-je amusée de la situation.

-« Enormément ! » s’exclama-t-elle en me relâchant.

        On mangea le repas de Noël étant donné qu’il était déjà vingt heures trente. On s’offrit nos cadeaux et je reçu un voyage pour les Bahamas en amoureux. A mon tour je lui offris une semaine dans un centre de remise en forme en France car en ce moment elle est à fond dans son travail et ne fait plus attention à elle. Nous discutions beaucoup jusqu’à minuit a peu près puis je montai me coucher. Dans la nuit je reçu un appel alors je décrochai sans prendre la peine de regardant qui étais le correspondant. 

-«Brook j’ai besoin de toi ! »  

-«Beverly ? Mais qu’est-ce qu’il se passe ? » Je l’entendais refouler ses sanglots mais en vain.

-« Je viens d’apprendre une mauvaise nouvelle ! » Sa voix se brisa et elle ne put continuer.  

-«Dis moi tout, tu me fais vraiment peur la ! »

-« Ma mère est malade et c’est héréditaire ! » Mon cœur se serra d’un coup, pourquoi ? Pourquoi faut-il que ça lui arrive ? Je ne pouvais plus retenir mes larmes fasse à sa détresse grandissante.

-«Je prend un avion demain, je viens te rejoindre ! »

-« Merci Brook ! »

-« C’est normal, tu m’expliquera tout dans les détails. Essaie de dormir un peu quand même ! Bisous »

-« A demain, bisous ! »

Nous raccrochions en même temps et je m’empressai d’acheter un billet d’avion pour demain le plus tôt possible, huit heures. Je fis ma valise et m’endormis ensuite. Mon réveil sonna et je me dépêchai, j’expliquai la situation à ma mère qui fut très compréhensible. Je lui laissai aussi Tamtam car je ne pouvais l’emmener avec moi.

     Mon avion atterris à huit heures trente sur le sol français. J’avais envoyé un message à Beverly juste avant mon départ donc elle m’attendait à la sortie de l’aéroport.  Je courrai en sa direction pour me réfugier dans ses bras et la serrer de toutes mes forces. On fit couler plusieurs larmes puis nous nous mettions en route. Une fois chez elle, je pris sa mère dans mes bras puis nous montions dans la chambre de Beverly.

-«Alors explique moi c’est quoi exactement comme maladie ? »

-« C’est une maladie super rare qui touche le cœur, il parait qu’il a du mal à se mettre en route après des heures de sommeil. Elle peut se déclarer super tard comme c’est le cas pour ma mère. Pour savoir si je l’ai, je vais devoir faire un test. Tu voudrais bien m’accompagner ? » Souffla t’elle dans un énième sanglot. J

e restai sans voix face à cette déclaration et je me rappelai que ma maladie comportait exactement les mêmes symptômes.