39

8K 1K 221
                                    

Allez lire le histoire de Chinoire233 , s'il vous plaît elle débute 💕

Toujours dans la peau de Jameson...

Je me réveillais. J'étais allongé sur un canapé. À peine je tentais de me relever qu'aussitôt je me retrouvais allongé. J'avais un horrible mal de crâne, je sentais que ma tête était sur le point d'exploser.

- Oh, tu es réveillé !

Je levais la tête.

- Maya!?

C'était elle que j'avais croisé dans la rue? Je me disais bien, sa voix m'était familière.

- Tu t'es évanoui dès qu'on est entrer ici.

- Putain... J'ai été inconscient longtemps?

- Oui... Quatre heures.

- Oh. C'est... Beaucoup.

Fis-je.

- Tu te sens comment?

- J'ai mal à la tête.

- Ah, attends je vais te chercher du Dafalgan ! Ne bouges pas.

Elle veut que j'aille où? J'essaye de me mettre en position. Maya revenait avec un verre d'eau et sa petite boîte de médicaments.

- Excuse-moi, Maya?

- Oui, qu'est-ce qu'il y a?

- Quand tu m'a trouver... Je portais un haut non? Fis-je, en remarquant l'absence de mon polo.

- Ah, oui ! Tiens, d'abord !

Elle plante le verre d'eau dans ma main ainsi que le cachet et courut je ne sais où. Tandis que je mettais le médicament dans ma bouche, Maya revenait avec mon polo blanc tout plié.

- Je t'ai enlevé ton t-shirt pour désinfecter tes blessures, te mettre des pansements et tout là, après j'ai mis ton t-shirt dans la machine à laver parce qu'il y avait du sang dessus. Après, je l'ai séché et je l'ai repassé !

Elle a vraiment une manière de raconter les choses que je trouve irrésistible. Elle a pleins de petites mimiques adorables, elle remue sa crinière dans tous les sens... Je fonds, littéralement. C'est trop pour moi.

- Jameson, ça va? S'inquiétait-elle.

- Oui, oui je vais bien... Tu me fais rire c'est tout.

- Ah, d'accord. Tiens ton haut !

Lorsque j'attrapais mon polo, les doigts de Maya effleuraient les miens. Je frissonnais au contact de sa peau douce. On se dévisageait doucement, sans comprendre ce qu'il nous arrivait. Elle avait ressenti la même électricité, je le voyais dans ses pupilles dilatées, à sa bouche entre-ouverte... Et à son pied qui venait maladroitement se torde autour de son tibia.

- Merci.

Elle remua la tête, les yeux arrondis, comme si je venais de la tirer du sommeil. Je me revêtis difficilement de mon polo en crissant des dents.

La TorturaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant