Chapitre 5

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« – Ma chérie réveille toi.

Maman

Oui mon cœur je suis là, il faut que tu te lève, papa arrive.

La petit fille enlace sa mère, lui dépose un baisé sur la joue et finis par se lever difficilement. Elle ne le veux pas, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Ses parents lui ont expliqué plusieurs fois, qu'un jour ils seront forcé de se séparé, mais qu'elle les retrouveras bientôt. Du haut de ses 5 ans, elle sait déjà que ses parents tente de la rassurer comme ils le peuvent, mais qu'elle ne les révérât sûrement pas. Elle se doit d'être forte, et elle l'est. Ses parents ne pourrait être plus fières d'elle qu'ils ne le sont déjà.

Papa !

Elle s'écrie lorsqu'elle voie un loup noir s'avancer vers elle. Elle se lève et court se longer dans le cou chaud de l'animal qui fait cinq fois sa taille. L'animal resserre l'étreinte en frottant sa tête poilu dans le dos de la petite fille. Cynthia, la maman, regarde avec attention cette scène émouvante. Elle sait que cette étreinte et sûrement la dernière mais elle tente de ne pas trop y penser. La petit fille continue à serré le fourrure du grand loup noir, un moment elle à une tête dans son dos, l'instant d'à près, deux bras tatoué et musclé l'entoure.Ben, le père relève la tête vers sa femme de façon à croiser son regard, lui transmettant ainsi toute l'amour qui lui porte.

Ils ne sont plus très, loin il faut partir Cynthia.

La maman s'avance prendre la petite fille dans ses bras tandis que le papa se lève pour prendre le peu d'affaire, préalablement rassemblé dans un sac, de la petite fille.

Maman ?

Chut ma chérie.

Ils se dirigent avec prudence vers l'extérieur, traversant plusieurs ruelles enneigés. Le froid de l'hiver vient brûler le doux visages de l'enfant, alors trop jeune pour se protéger de l'air glacial. Les parents eux, produisent leurs propre chaleur. Arrivée devant une grande porte en bois, le père donne un grand coup énergique. Cette dernière s'ouvre, et une jeune femme, brune aux yeux gris, attrape la petite fille que la maman lui tend.

Maman ? Papa ?

Tila, ne t'inquiète pas, nous serons toujours avec toi, sache simplement que tes parents t'aime pour toujours et à jamais.

Non. MAMAN ! PAPA !

La petite fille regarde, les yeux remplie de larmes, deux grands loups s'éloigner d'elle, créant sur leur passage, une fine poussière de neige . . . »

J'ai chaud. Trop chaud. J'ai un affreux mal de tête, et mes membres sont tout engourdit. J'ouvre peu à peu les paupières, m'habituant doucement à la lumière qui entre dans la pièce. Je fait basculer le drap qui se trouve sur moi, et tente de m'asseoir sur le bord de lit dans lequel je me trouve. J'apporte ma main à ma tête lorsque je suis violemment prise de vertige.

– Wo ! Doucement, ça va. Tous va bien, tu es en sécurité. Il faut que tu reste allongé Tila.

La voix masculine appuie de ses deux mains sur mes épaules afin de me faire allongé en douceur. Je regarde la personne et reconnais alors Jay.

– Mais qu'est ce que...

– Chaque chose en son temps, tu veux ? Pour le moment il faut que tu reprenne des forces. Reste allongé je vais t'apporter de quoi mangé un peu.

Il s'en va, me laissant seule, dans cette grande chambre aux couleurs grises et rose pâle. Elle n'est pas énormément meublé. Seulement un lit, un tapis rond au sol, un canapé et deux autres portes dans chaque recoins. Mais où est ce que je suis encore arrivé. Je me souviens mettre évanouie sur le trottoir et qu'un homme soit venu me « secourir ». Je ne l'ai pas reconnu tous de suite, mais cet homme ne peux que être Jay. Son arcade sourcilière percé et ses yeux noisettes.

Le Cri Du Loup Guidée par l'instinct Appelée par son avenir [ En Réecriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant