Note de l'auteur: Voici la suite ! J'espère qu'elle vous plaira, elle n'est pas encore corrigée. Je tiens aussi à dire, que certaines choses pourrait choquer certains, vous êtes prévenus. (Je préviens au cas où, bien que je ne trouve pas ça des plus choquants.)
Rapidement,il noua les lacets de ses vieilles baskets crème. Il pris une besace qu'il jeta violemment sur son épaule et zippa son gilet bleu marine.En sortant de son studio il prit soin de ne refermer qu'un seul de ses quatre verrous , il se souviendrait toujours de la première fois qu'il avait visiter son actuel maison. L'ancien proprio était complètement parano, toujours à lui rabâcher qu'au jour d'aujourd'hui il était dangereux de n'avoir qu'un seul verrou, «les cambriolages son si fréquent » disait-il. Merlin soupira en repensant à ça et rangea ses clés dans sa besace. Il s'approcha lentement de la porte de ses voisins et posa son oreille sur cette dernière dans l'expectative d'entendre quelque chose, mais à son plus grand malheur cinq minutes plus tard il n'entendait toujours rien, soucieux de déranger, Merlin toqua tout de même à la porte qui s'ouvrit sous la force exercer. Il regarda autour de lui puis entra prudemment à l'intérieur. Découvrant en même temps la déco du studio et le moins que l'on puisse c'était que c'était...flashy. Les murs n'étaient qu'arc-en-ciel sur arc-en-ciel. Les meubles étaient dans le même ton en plus clair. Heureusement pour moi que je suis pas épileptique...pensât-il.Il s'avançât un peu plus, fouillant l'appartement à la recherche d'un indice sur ce qui se passait, un signe de vie mais là il se doutait bien qu'il pouvait rêver. Alors il mit encore un peu plus le bazar dans l'appartement qui était déjà plutôt bordélique. Après être tombé sur toute sortes de choses plus ou moins bizarre, et notamment des sous-vêtements féminins dont il ne voulait absolument pas connaître la raison de leurs présence sur le sol, il finit par tomber sur un journal, tout du moins ce qu'il en restait. En lisant toute sortes d'émotions passèrent sur son visage, en commençant par la perplexité devant ça pour finir sur la peur et l'inquiétude. L'effroi même. Ça paraissait totalement impossible, invraisemblable.
-Sérieusement? L'humanité à perdue l'esprit ? C'est pas possible autrement.
Il n'y croyait pas, c'était certain, en même temps il fallait avouer que c'était dur à avaler.
-On se croirait dans une mauvaise série B là, murmura t-il excédé en jetant un dernier coup d'œil au morceau de papier qu'il tenait dans ses mains. Et merde.
Il fourra le périodique dans son sac, trouva un porte-feuille ouvert et y jeta un coup d'œil, des cartes de fidélités, de l'argent en liquide, une carte d'identité au nom d'Alycia Share et toute les autres informations composant une carte d'identité.
-Désolé mademoiselle Share, vraiment.
Et il prit l'argent liquide bien qu'il doutait de son utilité vu la situation actuelle, sait-on jamais se dit-il. Il allait repartir quand il jeta un coup d'œil à la cuisine et y vit un éclat briller provenant d'un objet particulièrement tranchant, il hésita de nombreuses secondes et finis par y récupérer le couteau qui devait bien faire la taille de son avant- bras, à peu de chose prêt. Il se dit qu'il en aurait sûrement besoin mais espérais ne pas avoir le faire, il ne savait s'il en serait capable. Si un jour on lui avait dit qu'il volerait sa voisine et se baladerai avec un couteau de cette taille en ville il aurait de suite traiter cet homme de fou ou appelé la police. Avoir. Toujours est-il qu'à présent c'était le cas et que s'il voulait vivre cela devenait nécessaire. Si tout du moins ce qu'il avait lut était vrai. Et le moment était venu d'aller vérifier ça,alors il ressorti de chez sa voisine et referma doucement la porte derrière lui. Il s'arrêtât devant l'ascenseur, se demandant s'il était nécessaire de prendre le risque de descendre avec. Il opta finalement pour les escaliers, il commença son inexorable descente.Voyait les étages défiler et finit par arriver au rez-de-chaussée.Il prit une grande inspiration et ouvra la grosse porte blindé qui permettait de sortir ou d'entrée. Restant dans l'entrebâillement,il vérifia si le code d'accès était toujours en état de marche,la réponse était non.
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Afterlife
FanficLa vie réserve bien des surprises, Merlin a toujours mené une vie paisible, son quotidien lui plaît. Néanmoins, au fond de lui, il aspire secrètement à ce que cette dernière change. Son souhait se réalise, mais le résultat, lui, n'est pas des plus p...