Note de l'auteur: Je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour ? Désolée. Vraiment. J'essaie de m'y remettre mais c'est dur, pour tout vous avouer...J'ai oublier la trame de mon histoire -et je la cherche toujours !- ce qui m'a VRAIMENT démotivée, en attendant de la retrouver j'ose finalement poster cette partie rédigée depuis...UN BON MOMENT et dont la fin à peu près de sens, en tout cas assez pour me pousser à réfléchir de façon posée à la suite et qui d'une certaine façon clôture cette première partie (qui est en fait un gros prologue !). Voilà, enfin, trêve de blabla et bonne lecture malgré tout ! Sur ce, claclatouille !
Les jours s'écoulaient tranquillement, une certaine routine s'était installée au camp, ne manquant pas de raviver quelques bon souvenirs à Merlin, qui présentement souffrait de courbatures et ce grâce à sa "Majesté" qui l'avais littéralement noyé sous les tâches cette dernière semaine. Merlin par-ci, Merlin par-là ! Il n'en pouvais plus ! Arthur n'est qu'un tyran ! Son corps en était témoin. Ça avait commencé par cette stupide punition après le sauvetage de Mordred -quel ingratitude ! Merlin ne pouvais s'empêcher de penser qu'il aurait du avoir droit à une récompense et non pas à ça ! Depuis quand punissait-on un héros ?!- et depuis ça ne s'arrêtais plus. En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire Arthur avais fais de lui son larbin personnel, Gauvain se plaisait à lui dire qu'Arthur l'avais dans la peau ce qui ne manquait pas de le faire rosir faisant redoubler de rire Gauvain et l'incitant un peu plus à faire dans le sous-entendu pour son plus grand malheur, Merlin se demandait bien comment Léon pouvait le supporter...Déja en tant qu'ami s'était difficile mais en tant que sex friends...Merlin préférais ne pas y penser plus longtemps sous peine d'une migraine carabiné -et il avais déjà assez de ses courbatures-, et c'était non merci ! Franchement, il y en a qui se refuse rien ! Merlin s'en plaignait souvent, très souvent sous les rires d'un Gauvain plus qu'amusé. Malgré ses lamentions, il ne refusait jamais une tâche que lui confiait Arthur, il le pourrait, surement même, mais quelque part ça ne l'embêtait pas tant que ça, au moins ça avait le mérite de l'occuper et de lui donner le sentiment d'être utile, et puis...Il avait put le côtoyer pratiquement toute la semaine passée et pour être honnête ça lui avais plût. Passer du temps avec sa "Majesté" lui avait énormément appris. Autant sur Arthur, qui n'était pas toujours un âne de première doublé d'un petit enfoiré capricieux, que sur le camp. Notamment sur le fonctionnement, l'organisation et la sécurité du camp. Au camp, tout le monde met la patte à la tâche, pas de place pour les glandus. Ici, tout est basé sur l'entraide et la solidarité. Un bon point de l'avis de Merlin, mieux valait être soudé par les temps qui court. Pour ce qui est de l'organisation Merlin avais comprit qu'Huter, le père d'Arthur, avais une place importante au sein du camp, en tout cas en ce qui concerne les décisions, un genre de roi -et il s'y croit !- autour de lui un petit groupe d'hommes et de femmes se réunissaient, ensemble ils décidaient des directives, des règles au sein du camp. Pour ce qui est de la sécurité des rondes sont organisées, plus nombreuses qu'il ne l'avait cru, malgré la distance respectable camp/mégalopole, qui assurait une certaine sécurité et rassurait les campeurs. En dehors de ça des excursions et des parties de chasses étaient réalisées, les excursions étaient la pour découvrir les alentours du camp, vérifier qu'il n'y est pas trop de putréfies qui s'y promènent et peut-être trouvé d'autres survivants, comme Mordred. Pour ce qui est de la chasse elle était avant tout là par intérêt que par plaisir, personnes ne disaient non à un peu de gibier, ça changeait des conserves et autres trouvailles, Merlin détestait ça mais il n'oublierais jamais que c'est au détour de l'une d'elle qu'il a fait la rencontre d'Arthur et que c'est ainsi qu'il a put retrouver sa mère et faire la rencontre de nouvelles personnes, chose devenue assez rare pour en apprécier la valeur.
Parfois son appartement lui manquait, de temps en temps il se demandait ce qu'il était advenu de celui-ci, parfois émettait-il l'envie d'y retourner au détour d'une conversation autour du feu. Durant un de ses moments d'égarements il se souvint d'une conversation avec sa mère vieille de quelques années, lui faisant promettre d'un jour venir visiter son "nid douillet". Il se promis d'y retourner un jour. Sans faute. Avec sa mère. Mieux vaut tard que jamais.
A présent, Merlin était bien intégré au groupe, même Huter avait semblé s'habituer à sa présence. Chose qu'il n'aurais pas crut possible. Comme quoi la vie réservait bien des surprises. Mordred, lui commençait à peine à s'intégrer, il passait le plus clair de son temps avec Hunith, il semblait l'avoir adopté comme maman de substitution -et la réciproque était vraie- ce qui ne dérangeais pas le moins du monde Hunith, ni Merlin d'ailleurs. Le petit était encore secoué, il parlait peu, se contentant du minimum, pour une raison inconnue il se méfiait de tout le monde, excepté Hunith bien sur et dans une moindre mesure de Merlin. Arthur se questionnait énormément quand à Mordred et faisait part de ses interrogations à Merlin qu'il savait comme étant l'une des personnes les plus proches de ce dernier, comment ce garçon avait-il fais pour se retrouver seul ? Depuis combien de temps ? Pourquoi ? Merlin n'en savait rien et ce n'était pas faute de se demander. Des questions sans réponses. Et qui le resteraient encore un moment, surement. Cela risquait de prendre du temps et Arthur en manquais grandement. Mordred avait besoin de prendre ses repères et surtout de prendre confiance en eux. Ce qui n'allait pas se faire d'un claquement de doigt ou par magie parce que Arthur, ou quiconque, le souhaitait. Merlin s'en était TRÈS vite rendu compte. Il n'y avais qu'a voir comment Arthur le recevait lorsqu'il faisait l'erreur d'être en retard ou encore lorsqu'il était trop "lent" à nettoyer TOUT l'attirail de guerre d'Arthur, qu'il salissait aussitôt -faisait exprès- ce qui avais le don de faire rager Merlin pendant qu'Arthur jubilait "secrètement". Oui, Merlin se faisait exploiter et là encore il n'y avais personne pour compatir à son triste sort, sauf peut-être la douce Guenièvre. Et Arthur se targuait bien de ça, dès qu'il en avait l'occasion, cette tête de cuillère, affectueux surnom dont Merlin affublait mentalement Arthur, n'en loupait pas une pour fanfaronner ! Oui, ils s'étaient bien rapprochés. N'en déplaise à Arthur, qui ne l'admettrais probablement pas, jamais, même sous la torture. Ainsi, Merlin en oublias peu à peu la catastrophe géante qu'était advenue du monde.
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Afterlife
Fiksi PenggemarLa vie réserve bien des surprises, Merlin a toujours mené une vie paisible, son quotidien lui plaît. Néanmoins, au fond de lui, il aspire secrètement à ce que cette dernière change. Son souhait se réalise, mais le résultat, lui, n'est pas des plus p...