365 days - Larry Stylinson (Terminé)

Chapitre 3

Sa faisait une semaine que tout cela c'était dérouler. Une semaine que les autorités refuser que je vois Zayn, une semaine qu'il était coucher sur un lit d'hôpital entre la vie et la mort, une semaine que j'avais le ventre vide. Je passer mes journée dans le canapé assis devant l'écran de télévision que je n'avais toujours pas allumer car le propriétaire m'avait retirer l'électricité. J'étais vide, ma vie était anéantie. Je passer chaque seconde à penser à lui.

Aujourd'hui était définitivement une journée de trop. L'hôpital m'avait appeler à son sujet. Depuis le sofa je regarder au loin son lit vide dans sa chambre. Des larmes couler le long de mes joues, je me retenais de ne pas exploser en sanglot. C'était des larmes de tristesse et de haine à la fois.  Je leva plusieurs fois les yeux vers le plafond en soupirant mais j'arriver pas à me calmer j'avais trop de haine en moi.

Je me leva en un coup de vent, j'attrapa ma veste et je claqua la porte de l'appartement derrière moi. Je me suis rendu à l'hôpital où je suis arriver comme une bête enragée, poussant tous les médecins qui étaient sur mon chemin. J'en ai presque agresser une infirmière pour savoir où était la chambre de Zayn. L'ascenseur? J'avais pas la patience. J'ai pris les escaliers que j'ai monter deux par deux jusqu'au sixième étage, chambre 365. Plusieurs médecins tentèrent de me repousser pour ne pas que j'entre mais avec ma colère ma force c'était démultiplier. Je fus stopper dans mon élan quand mes yeux se posèrent sur son corps bleu. Je m'empressa de poser mes mains sur sa peau qui était si glaciale... « Dégager tous ! Laisser moi ! Sortez ! Allez vous-en. » dis-je en hurlant. Les médecins sont sortis silencieusement et une fois la porte fermée je me suis écroulé. Je serrer sa main aussi fort que je pouvais. Des cris strident sortaient de bouche et se mélanger à mes pleurs. C'était comme si on m'avait arracher le cœur. Il ne méritais pas ça. Abattu par un policier sans aucunes raison. « Ne me laisse pas Zayn, tu es ma seule famille... Ils vont payer pour ce qu'ils t'ont fais, je te promet. » dis-je en lui donnant un doux baiser sur son front.

Sa faisait plus d'une heure que j'étais assis à ses côtés en train de le regarder, les paupières fermer, un teint si pale... Je me remémorer tous nos bon souvenirs et je sentais sa présence à mes côtés, je savais qu'il était près de moi. D'un coup de folie je me mis à arracher tous les électrodes qu'il avait sur son torse nu. Et tout à coup la porte s'ouvris.

« - Sors.» dis-je en voyant Louis
« - Je viens d'apprendre la nouvelle, je suis désolé... Nous avons une chance de plus de gagné le procès demain.»
« - Pardon ? Il est mort  ! Je m'en tape de prendre vingt ans de taule là ! Maintenant casse-toi !» Il repartis en baissant les yeux et je me rapprocha un peu plus de Zayn en lui caressant les cheveux «Je t'aime Zayn, je t'aimerais toujours.»

J'avais passer la nuit à l'hôpital aux côtés de son cadavre, j'avais bloquer la porte de la chambre avec une chaise pour éviter d'être déranger. Avant de partir, j'ai embrassé son front une dernière fois pour me rendre à tribunal « L'heure de la vengeance à sonner. » chuchotais-je avant de m'en aller.

« - Harry Styles ici présent, accuser de braquage à main armée, de vols à plusieurs reprises dans ces deux dernières années et jugé non coupable pour le braquage de la semaine dernière de la banque. Pour cela, une somme de mille dollars lui sera donner pour la mort subite de son partenaire Zayn Malik, décédé cette nuit à l'hôpital central d'une balle à l'épaule causé par un policier qui n'avait pas eu le droit d'ouvrir le feu. C'est pour cela que l'agent Walker est suspendu de ses fonctions jusqu'à nouvel ordre.  La séance est finie, vous pouvez disposer.»

Je n'ai ressentie aucune émotion pendant le jugement. C'était pas assez pour moi. Il méritai de souffrir avant de mourir comme il l'a fais subir à Zayn. Mon avocat me fit signe qu'on pouvait s'en aller et on traverser le tribunal sous les rafales de flash d'appareil photo des paparazzis

« - Je vous avez dit qu'on allait gagné Harry !»
« - Oui...»
« - Réjouissez vous !»
« - Me réjouir ? Mon meilleur ami est mort à cause d'un flic !»
« - Je sais c'est triste... Sans ça vous serez derrière les barreaux à cette heure-ci.»
« - Tu rigoles là ? Je devrais le remercier de l'avoir butter sous mes yeux ?»
« - Non ce n'est pas ce que j'ai voulu dire... Mais vous avez un casier bien rempli déjà.»

A cet instant si j'aurais eu un flingue ou quoi que ce soit dans la main j'aurais eu le plaisir de l'achever avec jusqu'à la fin

« - Je veux juste être sûr que tu vas bien Harry. »
« - Je ne vous permet pas te me tutoyer ! Et oui je vais bien.»
« - Tu ne m'as donc pas reconnu...» souffla-t-il en souriant
« - Pourquoi je devrais ?» dis-je en le regardant de haut en bas
« - Ne fais pas l'innocent, moi et Gemma, ça ne te dit rien ?»
« - Désolé mais les bouffons je les oublis.» il se mit à  sourire « C'est tout ce que vous voulez me dire ?»
« - Non...» il mit sa main dans la poche de son manteau et en sortit un bout de papier qu'il ma tendu

« Appel moi si ça va pas Harry. Oubli le passé, fais comme si tu ne me connaissais pas et reprenons tout à zéro. Nous avons changer tous le deux pendant ces dix dernières années...»

« - Au revoir.»

Je ne savais plus quoi répondre, il m'avait complètement déstabiliser. Je me suis mis à marcher vite jusqu'à mon appartement et en rentrant la première chose que j'ai vu c'était la porte de la chambre de Zayn entre-ouverte. Je me suis approcher doucement et je poussa la porte qui se met à grincer légèrement. Je pris place sur la chaise du bureau et je regardais chaque objets de la chambre.

Je posa les yeux qui la pendule qui indiquer l'heure, 15h30. Je me suis souvenu qu'à cette heure-ci Zayn se mettait par sa fenêtre pour fumer une cigarette en regardant les voitures passées en bas de la rue et qu'ensuite il aller chercher à boire dans la cuisine. Tous ces petites choses, tous ces détails me hanter. Je me suis allonger sur son lit et passa ma main sous l'oreiller où je sentis quelque chose. Je leva celui-ci et je vis une photo de nous deux qu'ont avaient pris dans un parc d'attraction. Je les regarder de longues minutes les larmes aux yeux. Je retourna celle-ci et reconnu immédiatement l'écriture ingrat de Zayn ce qui me fis légèrement sourire sur le moment.

« Harry mon meilleur ami, merci pour cette journée incroyable, c'était le plus beau cadeaux d'anniversaire qu'on met jamais fait. Ce jour sera inoubliable. Ce jour où j'ai réaliser que je me sentais bien avec toi, même trop. Je t'aime depuis ce jour Harry et je ne cesserais de t'aimer pour toujours. Je n'arrives pas à me l'avouer à moi même mais j'en suis pourtant sûr, je t'aime.»

Je me mis à un peu plus à pleurer à chaque mots que je lisais. « Moi aussi je t'aime Zayn..» Je ferma mes paupières, mes larmes humidifier la photo.