365 days - Larry Stylinson (Terminé)

Chapitre 29

J'étais épuisé, j'avais qu'une envie c'était de dormir mais je ne pouvais pas refuser de passer un moment avec lui alors que je venais de continuer la fête avec l'un de ses amis. C'est un peu à contre cœur que je le suivis jusqu'à la prochain porte qui était sa chambre juste à côté de la mienne. Je me précipita sur le lit pour m'asseoir car j'avais la tête qui tournée. « Tu ne supportes pas bien l'alcool » me dit-il en me tendant une coupe de champagne. Je regardais celle-ci pendant de longue minutes tellement ça me dégoutter. « Oublions le champagne, je ne tien pas à ce que tu sois malade » il me pris le verre des mains encore plein pour le poser sur le bureau. Je laissa tomber le haut de mon corps sur le lit pour m'allonger et Louis fit de même à côté de moi. Comme deux imbéciles nous fixons le plafond.

« - J'ai la tête qui tourne, Harry. J'ai pas mal bu moi aussi. »
« - Ferme les yeux. Sa va passer. »

Nous fermons les yeux tout les deux et un immense silence régner dans la pièce. Je ne me disais même pas que j'étais dans le même lit que Louis, bourré. Non, je pensais juste à ma tête qui me faisait atrocement mal et mon envie de vomir que je contrôlais pour le moment. Je sentais la tête de Louis venir se poser sur mon torse et j'enroulai son corps de mon bras. Mais je ne réaliser pas vraiment ce qu'il se passer. En état normal je crois que j'aurais était au sommet du bonheur.

« - Tu à l'air de bien t'être amuser ce soir. » dit-il les yeux clos « Même si ça m'a un peu énerver sur le coup, j'ai adorer comment tu as danser, comme s'il n'y avait personnes autour de toi. J'aime quant tu es comme ça. Quand tu te moques de ce que les gens peuvent dire autour de toi, que tu n'en fais qu'à ta tête même si on te dit non. C'est cette personne que j'aime chez toi. Pas celle qui fais la tête à longueur de temps, qui joue les cœur brisé parce que...»
« - Tu m'as brisé le cœur. » Le coupais-je. Il ouvrit les yeux pour mettre son visage au dessus du mien
« - Et je m'en excuse encore, mais je... »
« - Pourquoi tu m'as fais ça ? » dis-je avec haine « Pourquoi tu m'as abandonner comme ça ? Pourquoi tu me rappeler pas ? Tu as bien du recevoir mes messages non ? »
« - Oui, et je les écouter en boucle parce que ta voix m'apaiser.»
« - Alors pourquoi ne pas m'avoir rappeler ? »
« - Parce que je voulais t'oublier, je voulais passer à autre chose. »
« - Mais pourquoi ? Je comprend toujours pas qu'est-ce que je t'es fait ! »
« - C'est pas si simple à dire. » Il se releva pour s'asseoir et cacher son visage dans ses mains. Je me redressa à mon tour en tentant de trouver son regard
« - C'est trop facile de dire ça, désolé. » Il retira ses mains et je vis ses joues trempé de larmes
« - Quel jour on est demain Harry ? »
« - Euh dimanche. » dis-je en réfléchissant « Le jour de ton mariage. »
« - Non. La date. On est le combien demain ? »
« - Le 2 juin, pourquoi ? »
« - Tu t'en te rappel pas de cette date ? » dit-il en plantant ses yeux humide dans les miens « C'est le jour où tu es venu habiter chez moi. » les traits de son visage se crispèrent face à ses sanglots « Sa va faire un an demain... J'ai choisi ce jour exprès pour me souvenir de cette journée. »

Mon cœur loupa un battement. Je ne croyais pas à ce qu'il me disait. Sa me faisait mal mais sa me toucher tellement à la fois que je ne savais pas comment réagir face à ses mots et à ses pleurs. C'était sûrement l'alcool qui le faisait dire des choses comme ça.

« - Pour te souvenir de mon arrivé ?»
« - Non et c'est ça le pire.» sourit-il doucement « J'oublierais jamais ça, c'est pour me souvenir de la date du mariage. »

Je resta silencieux, je ne m'attendais pas à toutes ces choses qu'il m'avouait. Il chercher une quelconque réaction de ma part pour être rassurer mais rien ne venait. C'est comme si mon cerveau ne contrôlais plus mon corps, je ne pouvais plus rien faire. « On va mettre sa sur le compte de l'alcool. » dis-je avant de me lever du lit pour sortir de la chambre mais il recommença à parler.

« - Je t'ai abandonner c'est vrai. J'ai tout fais pour que tu partes de toi même de chez moi.»
« - Je te demande pardon ?» Dis-je en me retournant doucement vers lui
« - Tu as bien compris. » il essuya ses larmes.
« - Je préfère retourner à ma chambre avant que tu me redise quelque chose de ce genre. Crachais-je en prenant possession de la clenche. Louis se leva à toute vitesse pour m'en empêcher et se mettre derrière moi
« - J'ai fais ça parce que je commençais à t'aimer Harry.» Avoua-t-il d'une voix tremblante. Je baissa la tête et me mis à pleurer à mon tour « Je suis désolé... » sanglota-t-il en se collant à moi « Je pensais qu'entre nous rien était possible avec notre passé alors je suis parti pour t'oublier et que tu ne sois plus là à mon retour. »
« - Tu es avec elle juste pour te guérir de moi ?»
« - Au début oui mais maintenant je commence à m'accrocher à elle, petit à petit.»
« - Tu m'aimais !» Dis-je en prenant une grande inspiration. Je le poussa pour me décaler à quelque mètres de lui.
« - Dit-moi quelque chose Harry, je me sens mal là. »
« - Je me suis sentis mal pendant des mois et des mois, moi !» Lui criais-je au visage «J'ai déprimer comme jamais, j'étais même arriver à un point où je voulais en finir Louis, j'avais envie de crever ! De crever à cause de ton absence ! Quand.... Quand tu m'as inviter au restaurant le soir là j'ai... » mes pleurs ne mêlaient à mes mots « J'ai cru que tout aller redevenir comme avant mais tout s'est effondrer en un instant quand je l'ai vu arriver. Je l'ai reconnu tout de suite. »
« - Tu l'a reconnu ? »
« - Oui je vous ai vu dans votre hôtel. » avouais-je
« - Quoi ? Tu... Tu étais à Paris ? »
« - Oui je t'ai même laisser plusieurs messages à ce propos » il semblait ne pas être au courant de tout celà « Jennyfer la cliente du café que tu as était voir, c'était une amie à moi. »
« - Oh non. »
« - Quand tu es parti on t'a suivi à l'hôtel où je t'ai vu avec elle en train de l'embrasser dans les couloirs. »
« - Tu savais tout depuis le début et tu ne m'as rien dit ?
« - C'était pas à moi à t'en parler le premier. J'ai fais semblant pendant des jours et des jours. Tes câlins, tes bisous j'en voulais plus mais je ne disais rien. J'avais envie de te frapper mais je ne le faisais pas. J'attendais un faux pas de ta part mais ce n'est pas arriver. »