Raccompagné chez moi, les garçons me salut depuis la voiture. Je monte à l'étage pour me débarbouiller le visage après une longue journée passé dehors dans la nature. La fraîcheur de l'eau me donne un coup de fouet et me redonne un peu d'énergie. Lorsque je sors de la salle de bain, ma peau est fraîche et respire. Je dévale les escaliers en une fraction de seconde pour me conduire vers la cuisine. Je prend une casserole et je la remplis d'eau que je fais ensuite bouillir.Pendant que celle là bout, je saisis mon téléphone et envoie un message à Tristan :
- En espérant ne pas vous dérangez, signé : monsieur Simpson.
J'aime beaucoup la façon hypocrite qu'on a de se vouvoyez et de s'appeler par nos nom de famille, ça rajoute une touche personnelle et humoristique à nos conversation :
- Et bien monsieur Simpson. Vous ne me dérangez absolument pas, j'étais sûr le point de me faire un plat de pâte avec un peu de crème fraîche et du saumon fumé. J'aurai bien aimé que vous vous joignez à moi, mais notre ennemie la distance nous en empêche...
Mes yeux s'écarquillent face à son message. Déjà sur le fait que j'allais préparer exactement le même plat, et aussi sur le fait ne pas se voir en chair et en os :
- Vous m'espionnez via une caméra intégrée dans mon téléphone ? Je suis actuellement entrain de faire la même recette. La distance on l'a vaincra, même à travers un écran d'un millimètre d'épaisseur, promis.
J'avais engagé une promesse, chose que je respecte tout le temps. Je ne dois pas le prendre personnellement, je ne dois pas :
- Si je pourrais je le ferai Bradley. J'aurai voulus que tu me ramène ton plat de pâte et que nous comparons nos deux talents culinaire. Promis ? Et bien j'en conclus qu'on va pas tarder à ce voir dans quelques semaines.
Merde.Tout simplement, pourquoi avoir dis promis, maintenant il est persuadé que j'ai trouvé une solution pour qu'on se vois dans le mois qui va suivre. Pour patienter à la réponse de Tristan, je sors un sachet de pâte que je fais baigner dans l'eau qui viens de bouillir :
- Enfin, j'ai dis promis dans le feu de l'action. Mais j'espère vraiment qu'on va se voir dans le mois qui suit. Ca me tiens vraiment à cœur.
A cœur ? Je suis pas allez trop loin en disant ça? Il va penser que notre amitié est trop précipité, ou pire, que j'ai carrément des sentiments pour lui :
- Dans le feu de l'action ? Quelle façon de trouver une excuse. J'espère vraiment aussi qu'on se verra, même si cela fais peu de temps qu'on se parle je t'apprécie énormément, à moi aussi ça me tiens à cœur, je ne le dis pas dans le feu de l'action comme vous monsieur Simpson.
Touché,je ne le disais pas aussi dans le feu de l'action mais je me sentais tellement gêné lorsque je lui ai dis ça, mais visiblement lui le pensais vraiment. Alors que la casserole fini de bouillir les pâtes,je la prend et la passe dans une passoire, j'allume l'eau et les refroidis puis je remet les pâtes dans la casserole. Je scrute mon téléphone et me dépêche pour lui répondre. Je verse de la crème dans les pâtes et allume le feu doux de la plaque :
- Désolé de répondre que maintenant, c'était ça ou avoir une cuisine en guise de piscine. Et ce n'était en aucun cas une excuse monsieur Evans, et maintenant que vous le dites j'assume complètement se que je viens de dire, je vous promet qu'on se verra, cette distance on va la saigner à blanc !
Pendant que Tristan écris le message, je prend une grand cuillère en bois et mélange les pâtes avec la crème, ça sent divinement bon. Je sors le pavé de saumon fumé et coupe des dés que je fais glisser le long de la planche à découper dans la casserole :
- Donc deux minutes pour toi c'est un temps d'attente long pour recevoir un message ? Ca serait cool une piscine cuisine, au moins tu pourras nager dedans et manger quand tu veux ! Maintenant la vraie question c'est... Qui viens ou ?
Voilà la première question intelligente que Tristan pose réellement, qui va allez ou ? Si on devais se voir, ça serait plutôt lui ou moi de bouger ?
- Et bien voilà une question intelligente monsieur Evans, moi mes parents sont presque jamais la, des fois je me demande si j'en ai vraiment. Et toi ?
L'odeur de saumon dégage dans toute la cuisine, j'adore cette odeur de cuisine fraîche et délicieuse, préparé avec amour, j'éteins la plaque et laisse refroidir la casserole :
- Je pourrais venir chez toi. Tu m'offre le billet d'avion ou de train ?
Sa réponse me fais doucement rire, en plus d'être quelqu'un d'exigeant il veut que je lui offre un ticket de train ou d'avion :
- Et bien tu veux pas aussi le téléphone dernier cris sortie récemment, si ? Ca me tenterais, mais je veux juste une seule raison valable pour le faire.
Bien sûr il n'y avait aucune raison valable pour ça, il y avait qu'une seule raison, je pense que je l'appréciait énormément, même beaucoup trop :
- Ca me tenterais beaucoup monsieur Simpson, mais la seul chose dont j'ai envie c'est de vous prendre dans mes bras et vous montrez à quelle point j'aime mon nouvel ami.
Son message me donne des sensations de frissons dans le ventre, je ne sais pas si mon ventre cris famine. Je saisis une assiette dans le placard et la sort, je me sers une louché des pâtes que j'ai soigneusement préparé et en mange deux fourchettes. Le mal de ventre était encore présent, je veux à tout pris que ça sois une famine. Après avoir fini une assiette et m'être resservis à plusieurs reprise, je capitule mentalement :
- J'espère que ses bras en valent la peine pour que j'achète ses billets de trains, n'est-ce pas ?
Je me mord intérieurement la lèvre, je crois que j'aime se garçon.
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A travers la toile [TOME 1]
FanfictionBradley Will Simpson, un jeune adolescent âgé de 17 ans sa vie va changer grâce à un outil que tous les jeunes de son âge ont et que Brad utilise rarement: son téléphone portable. Poussé à cause de la popularité de ses deux meilleurs amis, James et...