Chapitre 5

513 37 1
                                    

Je l'aimais tant. Son sourire me faisais tenir même si je le savais loin. Sa gentillesse restais dans ma mémoire et me permettais  de sourire dans les pires moments. Jusqu'à ce jour maudit. Ce jour ou j'ai appris ce qu'il avait fait. Je ne pouvais y croire. Comment cet être gentil et protecteur pouvait être devenu ce monstre ? Je voulait la vérité. Je l'est eue. Mais de la pire façon qu'il soit.

J'ouvris les yeux et une lumière m'éblouis immédiatement. Je me redressa en position assise me demandant ou j'étais. Soudain tout me revint mais je ne voulais pas n'y ne pouvais donner raison à ce qu'avait dit cette personne. Quelque chose gigota à côté de moi. Je souleva la couverture et découvrit Gurō rouler en boule contre mon flanc droit. Cette vue me fis sourire et je remarqua une chose. Je regarda autour de moi et soupira de soulagement. J'étais enfaite allongée dans mon lit dans ma chambre. Malgré tout une douleur continu se diffusait au niveau de mon ventre. Je releva un peu mon tee-shirt avant de le laisser retomber. Mon ventre était entouré de bandes blanches. On m'avais sauvée. Je saisis mon masque et le mis sur mon visage. J'avais perdue la face. Maintenant, je ne pouvais plus me mentir. Par le passé, ce genre de crise durant lesquels je voulais à tout prix tuer étaient légion et m'avais mener dans un hôpital psychiatrique. Elles avaient disparues lorsqu'il avait commencé à venir me voir. Lors des premières visites, il ne faisait que s'assoir et lire un livre. Poussée par la curiosité, un jour je lui est demandé de quoi ses fameux livres parlaient. A peine lui avais-je adresser la parole que son visage s'était éclairer d'un immense sourire. J'avais immédiatement rougis jusqu'aux racines et son rire avait empli ma chambre morne. Ses visites rares sont devenus régulières. Avant son arrivé je ne souriais jamais et ne parlais à personne. J'ai commencé, sur ses conseils, à parler aux infirmières. Elles en avaient été ravies. Voyant que mon état mentale s'améliorait, les médecins nous autorisèrent à sortir dans les jardins de la propriété. A sa première visite, j'avais neuf ans et lui dix. Les années ont passées et notre amitié est devenue de l'amour. Ayant peur d'une rechute soudaine, les médecins me gardais au centre. Je m'en fichais royalement. Tant que lui venait, j'étais heureuse. Mais un jour, il m'annonça l'impensable. Son père venait d'être muter dans une autre ville loin de moi. Les larmes aux yeux, il me promis qu'il m'appellerais tout les jours et qu'il m'attendrais avec impatience. J'ai demander aux médecins de me laisser sortir pour rester avec lui. Ils ont refusés. Détruite, je me raccrochais à sa voix à l'autre bout du combiner. Sauf que du jour au lendemain, il arrêta de m'appeler. Paniquée, j'appelais chez lui et sa mère m'annonça qu'il avait été victime d'un grave accident. Sa vie était en grand danger. Elle me promis de me rappeler dés qu'elle aura des nouvelles. Elle ne rappela jamais. Ce fut la presse qui m'informa de la mort de la mère de famille et de son mari. Leurs deux fils étaient portés disparus. Celui que j'aimais était soupçonné d'être l'auteur de cet odieux crime. Folle de tristesse et de rage, je me suis échappée de l'asile de fous dans lequel je logeais en tuant qui conque se mettant en travers de ma route. Je me suis démenée et je suis arrivée dans la ville ou le père de mon amour avait été transféré. Sauf qu'un soir, deux individus m'ont attaqués. Deux Creepys nouveaux dans le quartier. L'un deux avait commencé à me scarifiée le visage lorsque le deuxième m'avais reconnu. Ce fus à mon tour de reconnaitre celui qui venait de me dévisager. Des larmes avaient roulés le long de mes joues et j'avais dis son nom à voix haute. Ils avaient prit peur et s'étaient enfuit. Celui que j'avais aimée avait faillit me tuer. Sa gentillesse et son insouciance avaient disparus pour toujours. Alors un sentiment plus fort que l'amour avait prit place dans mon cœur. Ce sentiment s'était la Haine avec un grand H. Je me suis alors jurer de tuer se monstre qui m'avais pris celui que j'aimais. Voilà comment je suis devenue une chasseuse de Creepypasta. Uniquement pour tuer celui qui m'avais trahis ainsi que son frère et tout ceux qui m'en empêcherais.Gurō se réveilla doucement, me sortant de mes sombres souvenirs. Il posa ses grands yeux sur moi avant de sauter sur mon épaule. Il se frotta à ma joue et je souris doucement. Je me leva et décida de me changer. Alors que je regardais la foret plongée dans mes pensées, la porte de ma chambre s'ouvrit. Je me retourna et quelqu'un me serra fort contre lui. Je reconnue tout de suite Sally et me surpris à rire légèrement.

Démence (CreepyPasta Tome 1) [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant