Bismileh
Salem Aleykoum Desoler pour le retard
Putain si j'avais su, je me serais préparer à ce qui allait arriver...
Je marche jusqu'au parking de la cité quand je vois une voiture me faire des appels de phare
Je me dirige vers vers la voiture et jvois Nassim adossé contre la portière avant donc je me met face à lui en croisant les bras et je commence à inspecter de haut en bas tendit que lui faisait la même avec moi.
Nassim c'edt pas Brad Pitt ou Johnny Deep, mais il y a ce petit truc qui vous fait fondre, sa manière de marché, de parler. Les expressions de son visage qui vous font fondre, ses yeux noirs Profond qui me transperce, il m'a rendue folle, folle de lui.
- Nassim : Monte.
On se pose tous les deux dans la voiture. Il avait les yeux rivés sur le bâtiment.
– Nassim : déjà je voulais m'excuser pour tout à l'heure, J'aurais jamais dû te dire des trucs comme ça...
– Moi : c'est oublié...
– Nassim : camelia, faut qu'on stoppe tout que c'est possible
Il relève les yeux vers moi. Je le savais, je savais qu'il allait se passer ça...
- Nassim : donne-moi ton téléphone.
Il fouille dans mon téléphone pour faire je ne sais pas quoi et me le rendre.
– Nassim : oublie moi, efface moi de ta vie, de tes pensées... Je suis pas un type bien pour toi. Je
– Moi : non non t'as pas le droit de lui faire sa Nassim, t'es sérieux dans ce que tu me dit ?
Mes yeux inondé de larmes, je me mord la lèvre inférieur et les retiens. Mon cœur accélère, et j'essaye de le regarder dans les yeux mais il fuit mon regard, il n'assume pas, ils préfèrent fuir.
- Nassim :... Je suis pas prêt à me poser, je suis dans un salut merdier, je, Hassoul ... Je vais essayer de me faire discret, je vais tout faire pour plus que tu me croises, je veux que tu m'oublier, que tu construis ta vie avec quelqu'un qui pourra t'aider.
– Moi : M, mais Nassim, qui me dit que c'est pas toi qui pourra ?
– Nassim : parce que je le sais...
Je me suis enfoncé au fond du siège en train de pleurer, lui avait ses mains sur sa tête posée sur le volant.
– Moi : en fait tu l'as fait exprès c'est ça ! Tout ce que tu voulais ce me faire souffrir !
– Nassim : dis pas n'importe quoi !
– Moi : si ! Sayais, j'ai compris ton manège, t'as profité de ma faiblesse, t'as profité de moi, tout ce qui t'intéressait c'était de jouer avec moi ! Et moi comme une conne je me suis attaché à toi. Tu me regardes enfin ! T'es yeux sont humides, jte comprend pas ! Pourquoi tu fait ça si sa te rend mal , pourquoi ?!
– Nassim : Ferme ta gueule ! Ne dis jamais que je joue avec toi t'as compris !
– Moi : .... (J'me suis mise à pleurer)
– Nassim : Je te merite pas, je merite encore moins tes larmes... J'ai tout fais de travers avec toi depuis le début. À partir de maintenant je redeviendrais simplement ton... Cousin...
J'ai même pas répondu que je suis sortie en furie de la voiture et je suis monté chez Sofia. Quand j'ai ouvert elle m'a accueillie avec un bête de sourire mais quand elle a vu mon visage décomposé elle a accourut dans mes bras.
J'ai fini le reste de la soirée à pleurer, à me répéter sans cesse que si je ne serais pas partie de chez lui la dernière fois on serait sûrement encore ensemble ... 😔😔😔
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Pendant 1 mois je faisais aller-retour entre la maison et le travail. 1 mois que je souffrais de son absence, de son visage. 1 mois qu'il me manque et pourtant , il habite dans mon bloc. Ses paroles se répétaient en boucle dans ma tête, les soirs je pleurais mon mal être, je me détruisais petit à petit. C'est là que je me suis mise à comprendre le sens de cette phrase « C'est quand on perd quelqu'un qu'on se rend compte à quel point on y tient. »
J'essais de me relever, de me dire que je vais l'oublier mais j'arrive pas, j'arrive pas à le sortir de ma tête. Je me suis rendu compte que je n'éprouvais pas qu'un simple attachement, je me suis rendu compte que ce que j'éprouve pour Nassim c'est bien plus fort, plus dangereux. Je suis tombé amoureuse de Nassim... Aimer ?! C'est donc ça aimé ?! Souffrir et se détruire. Je me hais déprouver ça, je me hais d'avoir développer ça ! Je le hais tout simplement ....
