Chapitre 8

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J'étais dans le camion avec Eleana je lui tenais la mains je pouvais sentir qu'elle respirer mais très doucement!
Nous arrivâmes à l'hôpital. Les médecins m'empêchèrent de la voir il me demandaient d'attendre dans la salle d'attente ce que je fis. Mais chaque seconde qui passait faisait grandir mon inquiétude. Chaque secondes j'étais à 2 doigts d'exploser et de tout casser. 3 h plus tard une infirmière vient me voir me disant que son état était critique mais stable et que je pouvais aller la voir.
J'entrais dans la chambre et l'assis sur une chaise à côté de son lit je pris sa main, elle était glacée. Si je n'avais pas toute cette fierté j'aurais pleuré.
Je veux pouvoir la reprendre dans mes bras. Pouvoir entendre son rire tellement contagieux qu'on ne peut s'empêcher de se taper un fou rire. De pouvoir la voir dormir si paisiblement, de repasser des journées comme j'en ai vécu une avec elle hier. Elle me manque tellement. Elle me fait changer je m'en aperçois mais sans elle plus rien n'est possible. Je préfère me disputer avec elle parce qu'elle s'est tapée un gars la veille plutôt que de la voir comme ça allongée avec des habits d'hôpitaux le visage palle ses si beaux yeux bleu vert recouvert par ses paupières. Entendre le son bip sortir des machines qui la tiennent en vie. Les infirmières qui passent toutes les heures pour voir si son état ne s'est pas amélioré et d'entendre que rien ne se passe

Le meilleur ami de mon frère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant