Chapitre 5

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Dans ma mustang Shelby blanche à deux rayure bleu au dessus, je parcourais les rues de la Nouvelle-Orléans pour trouver l'exposition de ce Klaus Mikaelson.

A première vue ce n'était pas l'événement le plus important de la journée parce que je ne trouvais aucune indication pour y aller.

C'est seulement à quelque rues de ça demeure que je puis trouver un panneau indiquant de tournée à droite et de parcourir encore 500 mètres avant d'arrivée.

Leur porte d'entrée à leur cour ressemblais qu'à une simple porte en bois. On ne remarque pas leur bâtisse depuis la rue. C'est plutôt intelligent car personne ne peut ce douter qu'une famille puissante ce logent derrière cette porte.

Je sortis de ma voiture et redressa ma robe noir à une brettelle assortis à mes escarpins noir à la semelle rouge d'une grande marque de chaussures parisienne.

Une fois arrivée, je remarqua que la façade de leur villa était bien mise en valeur pour l'occasion. Une chose est sûr, d'après ce que je vois les moyens des Mikaelson étaient loin d'être faibles.

Ils vivaient dans le luxe tout en restant simple.

L'exposition ce dressait sur toute la cour et les œuvres ce mariaient bien à la décoration ancienne de leur villa. Tout était planifier dans la plus grande classe, du plus grand tableau au plus petit objet.

Ils avaient même prévus un buffet avec des cocktails.

Je commença à regarder les œuvres quand un peu de bruit m'intrigua. Ce n'était rien, juste deux amis qui venait de ce retrouver après un certains temps d'absence à mon avis. Ils partirent ce rafraîchir au buffet tout en parlant de leurs aventures passer.

Je recommença ma ronde quand un tableau du plus belle effet me stoppa. Dessus on pouvait clairement apercevoir la Nouvelle-Orléans dans la nuit, avec au ciel une grande pleine Lune et quelque nuage par dessus. Devant ce tableau je n'avait pas de mot. On aurait dis qu'un loup-garou avait dessiner cette œuvre et qu'il était en rage au moment de peindre.

Étant complètement hypnotisée par ce tableau, je n'avais point remarquer la présence d'un homme à côté de moi. Il était plus grand que moi malgré mes escarpins. Ces cheveux était d'un brun foncé et il était vêtu d'un costume noir avec une chemise blanche et d'une cravate noir. Il paraissait sûr de lui.

- Ce tableau évoque la Nouvelle-Orléans dans ces états les plus sombres, dit-il.

- C'est cela qui donne un côté ténébreux au tableau, dis-je avec un petit sourire en coin.

Cette homme semblait intelligent et sensible à l'art. Il me regarda comme si il était surpris qu'un fille comme moi pouvait sortir des mots sombre et être intelligente en même temps.

- Excusé moi, à qui ai-je l'honneur en ce moment même ? Me demande-t-il.

- Je m'appelle Angéla Anderson et je vous retourne la question ?

- Enchanté, je me nomme Elija Mikaelson.

Je n'y crois pas. J'ai vraiment une bonne étoile en ce moment. Il fallait que une des premières personnes à qui je parlerait soit un membre de la famille Mikaelson. Je dois pas passer cette chance.

- Oh... , ne seriez vous pas un membre de la célèbre famille Mikaelson ? Demandai-je avec un peu d'ironie dans le son de ma voix.

- Je ne dirais pas célèbre mais plutôt problématique, me dit-il comme si la simple évocation de son nom de famille était désespérant pour lui.

- Je ne pense pas que votre famille soit si désespérante voyons.

- Et bien ma chère, ça se voit que vous êtes nouvelle en ville. Puis je suis sûr que votre famille est moins problématique que la mienne.

- Ohh .... pour le peux que je m'en souvienne, ils étaient plutôt sympathique mais restaient beaucoup dans leurs traditions. Il valait mieux pour vous de ne pas les décevoir.

- Était ? Me demande-t-il intriguer.

- Oui ils sont morts étant jeune.

- Oh je suis terriblement conçut. Je vous pris de m'excuser pour cette maladresse, dit-il attristé.

- Ce n'est rien, on apprend à vivre avec ça avec le temps.

C'est vrai que cette douleur c'est estomper avec le temps. Être éternelle à des avantages comme des inconvénients. C'est la loi de la nature. Avec c'est papotages je n'avais pas remarquer que l'un de ces frères et soeurs était ce fameux peintre de cette exposition.

- Que suis-je bête ! Je viens juste de remarquer que le peintre de cette exposition n'est qu'autre que votre frère, Klaus Mikaelson.

- C'est exact, Niklaus exprime ces sentiments dans l'art. Je pense que c'est la seule chose qui puissent le faire s'exprimer.

- Pourquoi l'appeler vous Niklaus ?

- Car son vrai nom est ainsi. Mais voudriez vous peut-être le rencontré ?

- Ce serai avec joie, dis-je avec un grand sourire.

- Par contre je préfère vous prévenir, mon frère et moi sommes en désaccord en ce moment même. Donc je vous prierait de bien vouloir m'excuser d'avance si la discussion part dans tout les sens.

- Oh mais ce n'est rien.

Il me tendit son bras et je mis accrocha. On partit droit devant le buffet où j'avais remarquer ces deux hommes en plaine retrouvailles. Très vite je remarqua qu'on se dirigeait vers eux.
Ça y ait, je vais rencontrer cet homme célèbre pour ces horreurs.
L'un de ces deux homme sera peut-être la réponse a ma question.

Qui est Esther Mikaelson ?

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