Chronique de la vie d'une ado

Chapitre 15

Bonjour à tous !! Me revoilà ! Je m'excuse cela fait très longtemps que je n'ai pas publié de chapitre, je manque de temps !
La scène du flashback pourra en choquer certains, je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez ! Bonne lecture ♡ !!

J'éteignis le jet d'eau et repensais à ce flash-back. Maintenant j'avais presque la certitude de l'avoir fait et ce qui m'effrayait le plus c'est que j'avais du le faire avec les deux en même temps...

Un sentiment de malaise arrivait et tout mon corps fut remplit d'un certain dégoût. Un dégoût de moi-même, je me dégoûtais.
Etais-je accro au sexe au point de coucher avec le premier venu ?
Je repense aux quelques années au paravant, j'étais sage. Mon premier copain datait de l'année dernière, juste avant que je rencontre Hugo. C'est d'ailleurs à partir de notre rencontre que j'ai changé. Je ne sais pas ce qui a bien pu se passer de si spécial entre nous mais je sens que je suis différente à présent.

Je sorti de la salle de bain, décidée à rentrer chez moi. Victoire était assise sur son lit en m'attendant, elle semblait préoccupée par quelque chose.

Moi : Vic ! Qu'est ce qu'il y a ? Je sens que tu as quelque chose à me dire.

Victoire me regarda d'un air désolé, je compris donc qu'elle ne me le révélerai pas tout de suite.
Dans ces cas là, je préfère la laisser et attendre qu'elle me le dise par elle-même plutôt que de la forcer à le faire.

Moi : il est déjà tard, je vais rentrer chez moi. Merci pour tout encore une fois ! T'es la meilleure !

Victoire : tu es comme chez toi içi, tu viens quand tu veux, répondit-elle en souriant.

Moi : appelle moi ce soir. Tchao !!

Sur ces paroles, je parti de chez elle. J'attendais le bus depuis déjà 15 minutes, je tombais de fatigue et il n'y avait aucune place assise à l'arrêt. Mes jambes commençaient à flancher. Au loin j'entendis résonner mon prénom. Je voyais Thomas, le garçon que j'avais rencontré en début d'année, celui qui cherchait la pharmacie, il arrivait vers moi.

Thomas : ça va Julia ? T'es un peu pâle. Me dit-il en m'accordant un sourire.

Moi : mes jambes ne me tiennent plus mais sinon très bien et toi ? Tu prends le bus ? Lui répondis-je, en essayant de faire sortir le peu d'énergie qu'il me restait.

Thomas : j'ai pas l'impression que tu sois très bien, monte sur mon dos en attendant pour te reposer.

Moment légèrement gênant. Je ne supporte pas me sentir aussi faible devant les autres, j'ai l'impression de leur exposer toutes mes failles.
Malgré mes nombreux refus, Thomas m'attrapa sans mon contentement et me percha sur son dos. Dans un dernier élan de courage, j'ai tenté de lui demandé de me reposer au sol sans succès.

Moi : non non ne t'en fais pas, je suis trop lourde. S'il te plait ...

Ma voix se faisait de plus en plus faible. Je n'étais plus capable de distinguer ses dernières paroles. Je m'endormi sur son dos, qui, je dois l'avouer est extrêmement confortable.

[...]

Je sentis une légère secousse sur mes épaules, ce qui me fis ouvrir les yeux. Thomas en était la cause. Nous étions dans le bus, lui assit à une place et moi sur ses genoux, adossée contre la vitre.

Thomas : on est arrivés ma belle.

!! Ma belle ?!! Je me sentis rougir ...