Tout sauf "Illa"

Je suis la cigale (et aussi la fourmi).

L'été, temps des cerises. Même si chez moi, on ne mange pas de cerises.

Après le bac, je reviendrai en force et cet été sera sûrement utilisé à bon escient pour passer des longues heures à écrire. Mais comme je veux quand même me fixer un planning, je vais vous faire le détail de tout ce que je publierai cet été. Alors, à moi de voir si je serai fourmi et parviendra à tout gérer ou si mon âme de cigale reprendra le dessus.

1 - Jefferson's world, second semestre (début juillet).

Pour des raisons de bonne conduite, je ne ferai aucun résumé, par respect pour les lecteurs qui n'auraient pas terminé le premier semestre. (C'est une manière respectueuse de dire que j'ai la flemme de vous expliquer ce qui va leur arriver.)  

2 - Dans les bras d'Apollon (mi-juillet)

"L'amitié peut se transformer en fraternité, la fraternité peut muer en quelque chose de bien plus fort, un lien au-delà du réel, un partage qui défierait les lois de la biologie.

Pacôme et Hyacinthe sont inséparables depuis qu'ils sont nés, poussés par deux mères, amies depuis le lycée qui ont juré de ne jamais s'éloigner. Pacôme sait tout de Hyacinthe, et Hyacinthe connait les aspects les plus négligeables de Pacôme.

Et pourtant, à l'aube de leurs dix-huit ans, les deux amis se cachent mutuellement leur secret le plus intime, celui qu'ils seraient censés partager parmi tout le reste."

3 - Les mains d'un cygne (août)

"Le hasard faisant bien les choses, Aimée retrouve son ancien voisin et meilleur ami d'enfance, Ruben, à quelques centaines de kilomètres de chez elle.

Ruben, c'était ce garçon avec qui elle avait tout partagé, de la cabane secrète au fond du jardin aux premières histoires salaces de collégiens, c'était ce garçon musicien qui faisait chavirer les cœurs, c'était cette personne avec qui l'amitié était si forte qu'on se disait que rien ne pourrait les séparer.

Mais en deux ans, des choses arrivent, et ces choses changent les gens. Ruben n'est plus tellement le garçon qu'elle avait connu. Il ne cache pas de lourds secrets, il n'a pas subitement changé de bord, il n'a pas non plus perdu la mémoire.

Il est toujours Ruben.

Avec un sens en moins."

Et bien évidemment, je ne lâcherais pas mon petit Eliott et continuerais Le sens de sa vie. Et ne vous inquiétez pas non plus pour moi, je ne vais pas passer mon été devant mon ordinateur, j'ai déjà de l'avance pour ces histoires !