Chapitre 10 : Si semblable

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PDV Aimée

Me voilà de nouveau réveillé, cette fois si je ne lutterai pas pour tenter de me rendormir, c'est peine perdue. Je regarde le plafond blanc, bien trop parfait et pur, sans aucunes imperfections, allonger toute droite dans se lit bien trop grand pour moi seule. Je me redresse sur mes coudes et allume la petite lampe de chevet, me hisse sur mes faibles jambes et sors de ma chambre froide pour rentrer à l'intérieur de celle de mon petit frére Thomas. Je le vis allonger sur le ventre et enmitouflé dans sa couette, j'aperçue ses petits yeux endormis me regarder grâce à la lumière qui passait sous son volet.

Thomas : Hey...Chuchota-t-il.

Moi : Je trouve plus le sommeil. Murmurai-je me tenant maladroitement près de son matelas.

Il tapota à coté de lui en sur élevent les draps pour que je puisse m'y glisser. Je m'éxecuta et m'allongea de nouveau fasse à son plafond, fuiyant son regard pesant sur moi. Après un court instant de silence je pris la parole:

Moi : J'avais vu que tu avais déposé un plateau repas hier soir mais j'avais pas faim, excuse moi.

Je le sentis bouger, mal à l'aise et sûrement gêné.

Moi : Tu sais se qui me fait le plus de mal dans tout ça !? C'est que c'est dans ces moments là que j'ai besoin de ma mère pour qu'elle s'assure que je mange et cela à chaque repas. Qu'elle vienne frapper à ma porte pour savoir si je vais bien, si j'ai passé une bonne journée, demander mes résultat et tenter de soutirer des informations intimes que malgré tout je ne lui aurait pas donner pas. Elle ne sait rien de moi, de la musique que j'écoute, à toutes les choses inutiles que j'aime collectionner dans les bocaux sur mes étagères. Elle ne se préoccupe pas de mes peurs et de mes angoisses. Je ne peux tout simplement pas prétendre qu'elle soit ma mère.

C'est lorsque qu'il essuyait les larmes qui coulaient sur mes joues que je remarqua mes pleurs. C'est une accumulation de pleins de choses qui me rendent aussi émotive, sûrement dû à ce qu'il c'est passé la veille, le fait d'avoir confier le dossier à Tris, le mot dans mon casier et la sensation d'être constamment suivie.

Nous cessions de parler, un silence agréable et calme se présentais. Je me rendormie profondément comme libéré de se qui me tracassait et m'empêchait de dormir alors que Thomas c'était déjà lever et préparé pour partir au collège me laissant dormir dans sa chambre. De toute façon lui comme moi savons pertinemment que notre mère ne fera aucun scandale si je rate une journée de lycée. C'est à peine si elle remarquera ma présence.

PDV Tris

Le froid du casier sur lequel je m'appuyai me fis frissonner, je resserra ma queue de cheval qui n'en était désormais plus une et quitta les vestiaires de sport en soufflant un bon coup, pour relâcher tout mes muscles et inspira, prenant une grande bouffée d'air frais. Je partis alors vers mon prochain cours qui s'appelle : « Maths » vous savez, ou plutôt « Cours ennuyeux ». Aimée n'est pas venu en cours aujourd'hui je l'aurais vu sinon, comme à son habitude assise dans le coin du gymnase avec un ballon à la main pendant que les autres cours, saute, tire de toutes leurs forces pour le simple et bon plaisir de notre cher Coach. Je marchais lentement dans le couloir bruyant, sans aucune motivation, n'ayant pas mon amie à mes cotés, son bouquin à la main , répondant vaguement à mes questions mais pourtant toujours à l'écoute. Une fois en passant devant l'alignement des casier j'ai entendue Lucy, vous savez la fille à problème, prétendre qu'Aimée était inutile et que si elle disparaissait personne ne la remarquerai et bien cette pétasse à tort, elle ne sait même pas de qui elle parle car Aimée est indispensable autant pour moi que pour Nash que je vois d'ailleurs nerveux et déprimé sur notre table habituelle. Je le rejoins et m'assis en face de lui en ébouriffant ses cheveux au passage.

Two Girls, Two Powers, One LinkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant