-Et bien je vais finir par croire que tu ne peux plus te passer de moi. Je roule des yeux.
C'était encore ce même garçon qui se tenait à l'entrée de ma petite cabane les bras croisés. Il était toujours aussi attirant que quand nous étions sur le pont, mais ça jamais je ne lui avouerais. Il sourit légèrement en coin avant de s'approcher de moi.
Je sens mes battements de coeur s'accélérer et me sens comme paralysé quand il me frôle en attrapant la deuxième pair de gants qui était posés sur le sol et qu'il se rapproche de nouveau vers moi.
-Tes mouvements sont assez fort mais trop lent. Regarde, je te montre. Commence tout d'abord par de petit coup, n'envoi pas directement toute ta force où tu risquerais d'être trop vite épuisé.
Il se met en place et commence par donner des coups rapide mais moins fort que ceux que j'avais donner dès le début.
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Ses muscles se tendaient et je pouvais enfin voir à quel point il était musclé quand il enleva sa chemise pour se retrouver torse-nu. Tout mon corps frissonnait devant le sien. Il avait tout pour plaire, tout pour mériter une autre fille que moi. Aider une fille bien mieux que moi.
Je m'assois sur la petite chaise en bois installer dans un coin et le fixe. Coup droit, coup de pied. Il était vraiment concentré dans ce qu'il faisait et paraissait vraiment expert dans tout ces gestes, comme s'il contrôlait tout.
Encore en ce moment même je me sentais minable. Le voir avec autant de douceur mais de vivacité me donner envie d'être pareil. Être douce en étant tout de même assez courageuse pour me battre contre tout mes démons quotidien.
Quelques larmes commencent doucement à rouler le long de mes joues alors que je sens Edwin me fixait et se tendre face à moi. Je m'excuse doucement en essuyant d'un revers de manche mes yeux.
Sans que je n'ai le temps de comprendre quoi qui se passe, Edwin donna un énorme coup dans mon sac de box et celui-ci s'ouvre sous la force du coup.
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Il se tourne ensuite vers moi et me regarde de l'empathie remplissant son doux regard.
-Je ne veux pas te voir pleurer Azé, arrête pleurer.
Sans que je ne comprenne pourquoi, il me prit directement dans ses bras en commençant à faire des ronds dans mon dos.
