Aujourd'hui, cela fait quatre ans que mon amie est diabétique. À l'époque, nous étions en cinquième quand on l'a diagnostiqué. Apprendre qu'elle n'allait plus pouvoir manger sans être obligée de s'injecter une dose d'insuline dans le bras ou dans la cuisse la dégoutait, elle qui avait horreur des piqûres. Aujourd'hui ça va mieux, mais elle déteste toujours se piquer.
