Chapitre 7 : La fin...

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Je vais vous passer 2 mois.
Alors tout le monde va bien sauf mon Baba, son état s'est aggravé. On a dû le transférer à l'hôpital. Il refuse de manger, et à du mal à respirer. Hakim est rentrer pour mon plus grand malheur. Mes frères font comme si je n'existais pas, je ne comprends vraiment pas pourquoi ils sont aussi méchants avec moi, j'irais demander à Soumaïl. Ah bah tiens il arrive.

- Soumaïl attends !
- Soumaïl : Qu'est-ce que tu veux toi encore ?
- Pourquoi vous êtes aussi méchant avec moi ? Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ? Ok je suis partie 6 ans mais je vous ai envoyé de l'argent pour que vous ne manquiez de rien je vous ai offert des voyages à travers le monde entier. Pourquoi ? Même Yemma et Baba ne m'en veulent pas eux.
- Soumaïl : Tu n'étais pas là quand Yemma souffrait de ton départ. Ton argent et tes voyages on s'en fou, on a pas besoin de toi pour vivre. Je regrette juste le jour de ton arrivée dans cette maison. On étais bien avant que tu débarque. Elle étais bien...

Et puis il est parti. Qui est cette fille dont- il parle ? Ils sont tous bizarre en ce moment. Même Yemma et Bader sont bizarre surtout depuis que j'ai entendue leur conversation.

- Yemma : Il faudrait lui dire la vérité un jour, on a pas le droit de cacher ça plus longtemps. Bader elle comprends pas pourquoi vous la détester comme ça.
- Bader : Non ! Elle n'a pas à savoir pourquoi ! Tu ne pouvais pas t'occuper de elle et de Samia en même temps. Il a fallut faire un choix, tu as fait le mauvais mais on ne peut plus revenir en arrière. Soumïa m'a parler de son voyage au Bled, elle ne doit pas y aller !

BOUUUUUM ! Et merde le vase.
Bader et Yemma se dirige vers la porte, ils m'ont vu.

Depuis ils sont tous bizarres, qui est cette Samia ? Pourquoi je ne dois pas aller au Bled ?
La sonnerie du téléphone me fais sortir de mes pensées.

- Hôpital Jean ferratus à l'appareil, venez le plus vite c'est au sujet de votre père.

Je ne lui répond même pas, embarque mes frères et ma mère dans la voiture et direction l'hôpital. L'ambiance est glaciale dans la voiture, on s'attend tous au pire.
On se dirige vers la chambre de notre père, il est allongé, tout blanc. Sa y'es c'est la fin...

- Baba : Entrez j'ai quelque chose à vous dire.

On s'assoit et on l'écoute attentivement les larmes au yeux.

- Baba : Mes fils, je suis fière de vous malgré les bêtises que vous faites. Je ne suis pas bête je sais très bien que vous ne travailler pas et que votre argent est sale. Mes enfants allez au charbon, salissez vous les mains et mariez vous. Arrêtez d'en vouloir à Soumïa, elle n'y est pour rien.
Ma fille, ne laisse plus ta mère seule nous ne t'en voulons pas mais tu nous as manquer. Nous sommes fière de ta carrière, mais trouve toi un travail stable tu as le bac alors arrête s'il te plait. Un jour tu sauras la vérité, mais sache que du plus profond de mon coeur je t'ai aimé, et je t'aimerais toujours.
Ya omri, approche. Je t'ai aimé depuis le jour où je t'ai vu tu m'a donner des enfants magnifiques, une vie remplie d'amour et de bonheur mais s'il te plais ne leur ment plus dit leur ça te soulageras. Je t'aime.

Il récita la chahade et s'en alla. Un noeud au coeur se fait ressentir, mes frères ont taper dans le mur et sont partis, ma mère est par terre en pleure.. Et moi, je ne réalise pas encore, j'ai mal mais je ne veut pas y croire, pas mon Baba. Pas l'homme de ma vie... J'ai tellement mal.

Paname accueille une mannequin : Difficile la vie de cité après la célébritéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant