Chapitre 17

317 15 19
                                    


Point de vue d'Allissia :

L'adresse est indiqué sur mon portable. En sortant de l'établissement, je vois rapidement Marc. J'aurais aimé qu'il m'accompagne mais pour le moment je ne veut pas le voir. Les message que Mélanie m'a montré mon suffit. Il a eue des petites distractions pendant que je me faisait un sang d'encre pour lui. Ensuite il me reproche une phrase que je lui ai dit 8 jours avant puis il m'embrasse pour ensuite me parler comme un chien. Je prend le train qui m'emmène en dehors de la ville jusqu'à la petite ville de mon père. On s'est beaucoup parlé en message depuis. Il est drôle, gentil et très curieux aussi. Il a tout de suite voulu savoir qui était le « charmant garçon qui veillait sur moi ». Je lui ai bien sur dit la vérité. Un ami dont je suis très proche mais sans aucune relation ambiguë.

Arrivé à la gare je prend un bus qui m'amène dans une sorte de petite résidence. C'est rapide j'ai mis 27min en enchaînant tout les transports. Je suis les numéro des maisons pour trouvé le numéro 14. Stop j'y suis. Une jolie maison trône devant moi. Elle est mignonne. Je marche lentement en espérant ne pas m'être trompé. Je toque doucement mais suis soulagé de voir mon père ouvrir la porte.

- Allissia ! Entre ! J'avais hâte que tu arrives ! Tout le monde est à la maison et à hâte de faire ta connaissance.

- Ah bon ? ... c'est gentil...

- Viens !

Je le suis dans un petit salon magnifique. Décoré avec goût. Une femme est assise sur le canapé avec un ordinateur portable et des écouteurs. Mon père va la voir et lui fait signe de se retourner. Lorsqu'elle me voit elle fait un immense sourire et retire ses écouteur pour venir vers moi. Elle se penche et me fait la bise tout en parlant.

- Tu dois être Allissia ! Je m'appelle Pauline, ravie de te rencontré ! Francis tu ne m'avais pas dis que ta fille était aussi jolie !

- Merci madame...

- Appelle moi Pauline ma puce ! Viens t'asseoir.

Je vais m'asseoir sur le canapé toute tendue. Je me sens un peu mal à l'aise ici. Comme si j'était en train de m'incrusté dans une famille qui n'est pas la mienne et en quelque sorte c'est le cas. Mon père me dit qu'il va chercher les enfants. Il revient quelques minutes plus tard avec un petit garçon dans les bras et une petite fille cacher derrière ses jambes. Elle se rapproche doucement de moi et s'assoie à côté. Elle me fixe un long moment avant de regarder sa mère.

- Elle est petite.

Je rigole à la phrase de l'enfant. En effet la nature m'a fait petite mais c'est pas la peine de le faire remarqué. Elle est trop mignonne et ressemble énormément à sa mère. Pauline est une femme assez grande aux cheveux blond et aux yeux vert. Elle est assez fine mais avec quelques rondeur néanmoins. Elle a comme sa fille des joues rondes. Marilyn a le visage et les cheveux de sa mère mais les yeux de son père bleue.

- Je m'appelle Allissia. Toi c'est Marilyn c'est ça ?

Elle hoche frénétiquement la tête. Le petit garçon âgé de huit ans lui ressemble à mon père mais à les cheveux de sa mère. Il est trop mignon. J'ai envie de le serré dans mes bras. Il pose le petit par terre et il s'aggrippe au jambes de mon... notre père. Ce dernier tente de le persuadé de me parler mais le petit ne l'entend pas de cet avis. A 8 ans il semble très timide.

- Bon... il s'appelle Colin.

Il renonce donc mais s'écarte de lui pour aller vers une pièce à la recherche de l'aîné de la famille. Celui qui a eue la même situation de conception que moi mais qui a été le chanceux. Il sort donc avec un grand sourire. Il a du le trouver. Le garçon entre et je me lève rapidement.

Dans le corps de l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant