Chapitre 23

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Je viens de me rendre compte que je n'avais jamais mis le dernier chapitre alors qu'il était finis depuis 2 ans ! Heureusement que quelqu'un me l'a dis j'étais sur de l'avoir publié! Donc désolé!!!


Point de vue de Jesse


J'arpente les couloirsde l'hôpital à la recherche de Marc. Je ne sais pas où il peut setrouver. Il n'est pas à la cafétéria ni dans la chambred'Allissia. Où est ce qu'il a bien pu passer ? Je le trouvedehors, sur un banc en pleine conversation téléphonique. Il a l'airheureux, joyeux. Il fait de grand geste pour expliquer ces propos.Geste que son correspondant ne voit pas et ça me fait sourire. Jeveux garder cette image en tête. Une fois qu'il a raccroché, je merapproche de lui et m'assoie à ses côtés. Il me regarde heureux etparle de la greffe d'Allissia. Parfois être son meilleur ami çacraint parce que là, je ne sais pas quel bazars je vais provoqué enlui.


8 heures plus tôt :


J'arrive très tôt lematin à l'hôpital. Marc y est déjà ce que je ne trouve pasétonnant. Ce qui l'est par contre c'est son sourire. Allissia estréveillé ? Je cours vers lui pour avoir des nouvelles. C'estlà qu'il me l'annonce. Hier soir, Allissia à eue une greffe decoeur. Elle n'est pas encore réveiller il faut attendre. Je le sertdans mes bras et fonce dans sa chambre vide. Où est elle ? Jedemande à une infirmière qui me dit qu'elle a été emmené pourdes examens, des analyses ou je ne sais plus trop quoi. Je m'en tapecomplètement. Elle a eue une greffe. Elle va vivre. C'est tout cequi compte pour moi. J'appelle mon père qui visiblement était aucourant mais n'a pas jugé utile de m'en parlé... bon et biend'accord... il est vraiment tête en l'air parfois mais il estadorable avec nous. Surtout avec Allissia. Quand je les voit dans lamême pièce, je vois briller dans ses yeux la fierté, la douceur,l'amour qu'il lui porte. Il ne nous regarde jamais ainsi. Enfin pastotalement. Il y a un truc chez Allissia qui le rends différent. Probablement le fait qu'il vient de la rencontrer et qu'elle est fragile. Il doit être plus vigilant qu'avec nous. Jevais me prendre un chocolat chaud tranquillement en attendant qu'illa ramène dans sa chambre.


7 heures plus tôt :


Un crissement ce faitentendre dans le couloir de l'hôpital et là je le vois. Son lit,sa perfusion. Je me lève et entre dans la chambre à la suite dulit. Ses yeux sont toujours fermé. Ça me fait un petit peu peur tout ça. C'est encore nouveau pour moi et je ne suis pas franchement habitué à voir des gens inconscient entre la vie et la mort à l'hôpital. Je prend sa main. Chris estoptimiste. Je devrais lui faire confiance. Il a la confianced'Allissia, de sa mère, de Marc (quand il s'agit de sa maladie) maissurtout d'Allissia. J'ai l'impression que pour elle il est le frèreque pendant des années elle n'a pas eue. Maintenant je suis làalors il a pas intérêt à déconné. Son frère c'est moi !Bon et colin mais surtout MOI. Je m'amuse à écrire dans sa mainavec les doigts : Salut jolie brunette c'est Jesse, ton frère.Dis ça te dirais de te réveiller qu'on ailles se manger une glace ?Je garde sa main dans la mienne tout heureux. Je l'adore tellement et je suis tellement content qu'on se soit rencontré et qu'on est découvert notre lien de parenté. Et tout ça grâce à Marc.


5 heures plus tôt :


Les effets de l'anesthésie se sont dissipé mais elle n'est toujours pas réveillé. Sa mère etnotre père son avec elle. Je les ai laissé seuls parce quel'ambiance me m'était très très mal à l'aise. Ils se regardent àpeine et parle de temps à autre mais on les sent gêné. En même temps ils n'auraient jamais du se revoir mais Allissia est née. Pourtant il a fallu des année à mon père pour l'apprendre. Je me demande si il lui en veut? Sa mère meregarde souvent bizarrement. Je sais à quoi elle doit penser. Mamère. En effet Allissia et moi avons été conçu au même momentmais la mère d'Allissia à été le coup d'un soir. Ma mère à étél'amour de sa vie. Peut être que si il s'était rencontré avant ou dans d'autre circonstance mon père n'aurait pas finit avec ma mère. Je sors de l'hôpital à la recherche d'uncadeau. J'arrive au centre commerciale mais ne sait pas où aller.Réfléchissons. Qu'est ce qu'elle aime ? Les vêtements ?Mauvaise idée je ne connais pas sa taille. Une carte cadeau ?Non ça lui imposerai le magasin. Bon et bien je vais appelé lessecours. Ça fait des jours que j'attends une bonne excuse pourl'appeler. Voilà ma chance. Allez Elora... décroche...

Dans le corps de l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant