5eme jour - vendredi - part 4

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Le doigt dans mes fesses commence un petit jeu de va et vient, se retirant presque complétement avant de rentrer se mettre à l'abri brusquement, profitant de chaque assaut pour s'enfoncer un peu plus profondément. J'entends le bruit d'un flacon que l'on ouvre et immédiatement après sens le lubrifiant couler généreusement entre mes fesses.
Inspiré par cette subite glissade plus facile mon Petit Seigneur entreprend de glisser un second doigt dans mon popotin. Il les fait tourner en moi, s'avance, recule, s'avance encore, en sort un, le ré-entre... De temps en temps une claque bruyante vient ponctuer le tout et je suis là, haletante, du foutre me dégoulinant du menton, à tendre les fesses autant que je le peux.
Je gémis et sens que le lubrifiant est totalement inutile à l'avant, la bite de mon amant glissant parfaitement contre mes parois vaginales sans ça.

Je ne fais plus grand grand chose depuis quelques minutes à part profiter de ce qu'il se passe derrière moi et même mes seins ont été délaissés. Je me cambre encore un peu plus, offrant une vue plongeante à ceux qui se trouvent derrière moi quand quelqu'un passe une serviette humide sur mon visage, en gommant les dernières traces de sperme. Je me redresse un peu pour le laisser faire, je referme même la bouche un moment mais un troisième doigt s'insérant dans mon intimité me la fait rouvrir dans un râle de satisfaction. A ce moment deux mains s'emparent de mes seins et se mettent à les triturer. Des glaçons commencent à dessiner des chemins sur mon corps, l'un est glissé dans ma chatte, contre mon clitoris, deux autres se retrouvent emprisonnés entre les doigts me labourant l'arrière train, d'autres encore passent sur mes seins, sont abandonnés sur mon dos, me chatouillent les cotés ou se fraient un chemin jusqu'à mes lèvres.

On me demande d'avancer de quelques pas et je m'exécute, ne m'arrêtant que quand mon nez se heurte à un postérieur tendu dans ma direction.
Supposant à juste titre qu'il n'est pas là par hasard je me mets à le lécher consciencieusement. J'explore d'abord la fesse droite, allégrement, longuement. J'embrasse et je lèche chaque centimètre carré de cette chair rebondie. Je m'attarde ensuite sur la raie la séparant de sa jumelle et je sens mon partenaire vibrer alors que ma langue décris un petit cercle autour de son petit trou.
Je pourrais y aller franco, il n'attend que ça, mais je choisis de d'abord m'éloigner, de lécher cette deuxième fesse un peu jalouse du traitement privilégié qu'à eu sa sœur par rapport à elle.
Dans mon dos j'entends l'homme me pilonnant grogner alors que sa cadence se ralenti. Encore quelques coups de reins et il s'affale sur mon dos, bloquant les doigts de son compère dans mon fondement. Ses mains remontent de mes hanches jusqu'à mes seins que les deux bouches lâchent pour lui laisser le champ libre. Il les presse fortement dans ses mains, fait rouler mes tétons entre ses doigts et les pince soudainement si fort qu'il m'arrache un cri.

– C'est bien, me dit-il. C'est bien.

Puis il se retire, m'embrassant tout de même une fesse avant d'aller se reposer plus loin.
J'entends le bruit d'un corps se laissant tomber sur le lit et je devine qu'il s'agit de lui.

L'autre homme derrière moi prend sa place. Je sens sa verge dure et longue contre mes fesses mais il se contente de la frotter un peu contre moi, préférant, pour l'instant, ne jouer que de ses doigts.
Le cul devant mon visage n'a pas bougé et je n'ai pas non plus cessé de l'embrasser mais je sais qu'il est grand temps de passer aux choses sérieuses, ça fait trop longtemps que je torture ce pauvre être.
D'un coup rapide je lape son entre fesses une première fois et je le sens frémir. Je recommence plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il recule imperceptiblement, se tendant vers moi en attente de plus que des léchouilles superficielles. Et là, alors qu'il est à point, je le pénètre une première fois du bout de la langue.
Il gémit et j'entreprends de l'explorer d'avantage. Je libère une de mes mains et pose mon index sur son anus. En appuyant à un rythme régulier je commence à lui faire ressentir des choses qui semblent lui plaire alors que sur mes joues se posent deux glands qui glissent vers ma bouche. Sans la décoller j'entreprends de les lécher tour à tour alors que mon doigt s'aventure de plus en plus profondément dans son nouvel ami.
Ce petit jeu dure plusieurs longues minutes, jusqu'à ce que l'homme à ma gauche n'éjacule en partie sur mon visage, en partie sur le cul et la bite de ses associés.

  				  		  			 						 				  	 		À vendrediOù les histoires vivent. Découvrez maintenant