5eme jour - vendredi - part 3

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D'un coup je respire plus fort, mes bras sont arrachés à leur activité pour faire passer les bretelles et en un instant je me retrouve seins nus sans n'avoir plus aucun contact avec personne.
Fort heureusement cette situation ne dure pas. Deux doigts taquins se mettent à titiller leur extrémités, les faisant encore durcir d'avantage.
Deux autres mains se posent sur mes hanches et deux pouces se glissent dans l'élastique de ma culotte.
– Il est temps de tout nous montrer, maintenant, jolie coquine. assène une voix en tirant d'un coup sec vers le bas. Une petite tape sur ma cheville droite, que je lève, puis une autre sur la gauche, que je lève aussi, et ça y est, me voila entièrement nue. Si on omet bien sur le bandeau qui me couvre toujours les yeux.

Je sens qu'une chose à changé. L'air est soudainement plus lourd, comme chargé d'un max de testostérones en folie.
On me fait avancer de quelques pas et je rentre en collision avec un homme visiblement aussi nu que moi. Sa main se pose sur ma nuque et il attire mon visage vers son torse. Il s'agit de mon poilu il me semble. Je me met aussitôt à embrasser et lécher ses pectoraux, ses tétons. Il en profite pour glisser sa seconde main sur mon sein et pincer le mien. J'étouffe un râle en collant ma peau à lui mais il me pince encore. Je pose mes mains sur ses hanches, le caresse tout en l'explorant de ma bouche. Sa main sur ma nuque se fait plus lourde, il me pousse à descendre. Ce que je fais sans me faire prier. Je décris une sorte de zigzag sur son ventre, m'attarde rapidement sur son nombril et rencontre sa toison qui me chatouille le nez. Sa main a lâché mon sein et s'est portée, comme sa jumelle, sur ma nuque. Il ne sert pas mais cette position me donne une impression de soumission extrême.
A genoux devant lui, les mains posées sur ses fesses et après plusieurs coups de langues tout autour de mon objectif, je le prends enfin en bouche. Ses mains se resserrent un peu sur mon cou mais il les relâchent rapidement.
Plus surprenant, au moment de l'engouffrer, deux bouches se posent sur mes seins et entreprennent de les siphonner.
Alors que leurs langues jouent avec mes tétons la mienne s'amuse avec le pénis de leur ami. Mes mains sont retirés de ses fesses et posées sur deux autres verges en érections. J'entreprends de les masturber tout en dodelinant de la croupe quand un doigt se pose sur ma vulve généreusement offerte. Je ne m'en dandine que plus mais, comme pour me faire rester tranquille, une main s »abat sur mon postérieur.

CLAC.

Je sursaute et raffermi l'emprise de ma bouche en serrant les lèvres.
Le doigt explore toujours mon intimité et me fait vibrer à mesure qu'il rencontre mes points sensibles. Ce qui n'est pas pour déplaire aux trois hommes dont je m'occupe attentivement si j'en crois leurs râles et soubresauts.
La main se retire, m'écarte davantage les jambes et appuie sur mon dos, me faisant ainsi me cambrer un peu plus.
Je sais ce qui va suivre et tache d'être aussi appliquée que possible dans mon ouvrage mais je ne peux m'empêcher de me libérer la bouche pour râler quand mon assaillant arrière me pénètre ou moment précis ou il abat sa main sur mes fesses pour la seconde fois.
Mon poilu en profite pour me lâcher et se retirer. Mes mains se retrouvent subitement vide aussi et un de mes seins est échangé, passant d'une bouche à l'autre.
Je laisse quelques secondes à tout se petit monde pour changer de place, gémissant toujours sous les fessées répétées quand une main se pose à l'arrière de mon crane.
Je sens que celui ci sera extrêmement dominateur. Sachant où il m'emmène j'ouvre la bouche et c'est sans autre forme de procès qu'il m'enfonce son engin dans ma gorge. De ses deux mains il m'enserre la tête et m'impose un rythme rapide. Mes seins sont à nouveau suçotés par deux bouches avides, ma main gauche a rejoint une verge en attente et s'efforce de lui donner le sourire alors que ma main droite se retrouve à caresser le torse de l'homme qui me domine de toute sa hauteur.
Le sixième larron est manquant. Je me demande s'il se masturbe en nous regardant quand je comprends qu'il se trouve lui aussi derrière moi. Alors que l'homme qui me pilonne a une main sur ma hanche et fait s'abattre régulièrement l'autre sur ma partie rebondie, je sens subitement deux mains agripper mes fesses alors que cesse les fessées. Elles les écartent allégrement et, alors que l'homme dans ma bouche commence à bouger de plus en plus vite, maintenant mon visage en place avec de plus en plus de force et de conviction, je sens une chose glacée se poser sur mon petit trou, ce qui a pour effet de le contracter au maximum.

Le glaçon entreprend alors une petite danse tout autours de lui. Il est promené sur les bords reçoit quelques pressions, commence à fondre et aide à la lubrification. Et, alors qu'un liquide amère se répand sur ma langue, que l'homme aux mains enserrées contre mon crane m'attire au plus prés de lui et me martelant de :

– Oh oui. Avale. Avale tout. Aaah. Avale, salope ! le petit glaçon, aidé par un doigt le suivant à la trace, se fraie un chemin. Enfoncé d'un coup d'index il se retrouve en moi où je le sens me mordre par sa froideur et lentement fondre. Le doigt l'ayant propulsé s'étant retrouvé emprisonné d'un centimètre dans mon anus il se met à y bouger, décrivant de petits cercles et pénétrant toujours plus loin, m'arrachant quelques cris alors que, de ma bouche dégoulinante de sperme, se retire le premier homme que j'ai fait jouir.

  				  		  			 						 				  	 		À vendrediOù les histoires vivent. Découvrez maintenant