~ Chapitre 21 ~

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PDV Jackson:

Ça fait une semaine que les Crips sont arrivé et ça fait une semaine que ma sœur est une vraie machine à tuer, elle s'est entraîner plus de 13 heures par jour depuis qu'ils sont arrivés. Ça fait également une semaine qu'elle n'est pas allez au lycée, mais le pire dans tout ça, c'est qu'en une semaine, elle à énormément changé, physiquement et psychologiquement. Physiquement, Léa était assez fine et n'avais que très peu de formes même si elle était jolie, maintenant, elle est musclée, et elle à beaucoup plus de formes, elle est bien plus belle mais elle ne parle plus autant qu'avant, en vérité, elle ne parle qu'à Alice et Liam, même à moi elle ne parle plus, comme si elle savait quelque chose. Bon, on est lundi, il est 8 heures et on va tous au lycée sauf Léa, évidemment. Elle, elle est déjà dans la salle d'entraînement et à mon avis, on ne la verra pas avant 21 heures ce soir. Nous partons tous vers nos véhicule, direction le lycée.

PDV Léa:

Ça fait une semaine que je ne suis pas allez en cours, que je n'ai parlé à personne hormis Alice et Liam, une semaine que je fait des crises à répétition. Mes crises de colère ont recommencer depuis que les Crips sont au lycée, c'est pour ça que je me suis autant entraîner,je veux être prête en cas d'attaque. Aujourd'hui, j'ai décidé d'allez en cours, il faut bien que j'y aille de toute façon. J'attends que tout le monde sois parti pour remonter dans ma chambre, je suis lever depuis 6 heure et je réfléchis sur le faite d'allez en cours ou pas depuis que je suis lever. Je remonte dans ma chambre, vais dans mon dressing et choisi des habilles pour ma journée, je prend un short rouge avec des petits strass, un débardeur gris, une veste avec les manches déchirées noir délavés avec des clous au dessus des poches, je prends mes sous-vêtements et file dans la douche rapidement, je m'habille, fait mes soins et tout le reste. Je met des bracelets, un bordeaux, et les autres noirs et gris. J'avais mis mon vernis noir hier soir. Je me maquille simplement, de far à paupière marrons et doré, un traits assez fin de eye liner ainsi qu'un rouge à lèvre rouge sang. J'enfile rapidement mes bottines noir, je les lasses autour de mes chevilles, je met mes boucles d'oreilles en croix et je descend vite au garage après avoir pris mon sac et mes clé de moto. Je monte sur ma moto et regarde l'heure, il me reste 10 minutes pour arrivé au lycée avant que ça sonne, je sais déjà que c'est mort donc je ne me presse pas, de toute façon, je serai en retard. Je roule quand même vite, j'arrive 14 minutes après la sonnerie. Je ne prend pas la peine d'allez voir la CPE, je vais directement en cours, je toque à la porte et je n'attend pas que le prof réponde, je rentre directement et sans m'en rendre compte, je dit:

"- Et merde, on a maths, si j'avais su, je serai resté chez moi.

- Mlle Woodley, je ferai l'impasse sur votre entrée fracassante, donc j'exige une raison sur ce retard !?

- Et bah, vos exigences, vous pouvez vous les mettre la où vous savez. Je suis pas venue pour me faire emmerder, simplement pour être pénard avec le proviseur. Donc vous faites votre cours et vous faites comme ci j'était pas là." Je répond et je vais à ma place dans le fond de la classe.
Tout les élèves me regardait, les gars avec désir et les filles essayaient de me faire peur du regard, je leur lançais un petit regard mignon, vous comprendrez que mes regards mignon sont de gentils regard bien noirs.

#Eclipse jusqu'à la sonnerie du midi#

Enfin la dernière heure à sonné, je cours presque pour sortir de ce cours de névrosé autrement appelé philosophie et me dirige vers mon casier. Je pose mes livres et tout quand je sens une présence derrière moi, et je sais qui sais. Donc je me retourne et je devrai être médium car c'est bien à cette... personne que je pensais, c'est pas vraiment une personne a mes yeux mais bon..
Je l'interroge du regard mais elle est tellement conne qu'elle ne comprends pas, je formule donc mes penser par une phrase pour qu'elle comprenne un peu mieux :
"- Que t'arrive t-il encore ?

- Ho rien, je me demandais juste où tu était pendant cette semaine ?

- Tu peux me dire en quoi ça te regarde ?

- Et bien je m'inquiétais c'est tout. Me répond t-elle en souriant tellement faussement que j'ai eu envie de vomir.

- Et bien tant mieux pour toi, mais même si tu disparaissait je ne m'inquiéterais jamais pour toi, j'en serai même très heureuse. Moi je répond sans lui sourire comme elle l'a fait mais plutôt je lui lance un regard tellement froid et noir qu'elle a baisser les yeux, mais ça n'a duré que quelque seconde, malheureusement.

- Sérieusement, je pense comme toi, on est pas si différente que ça finalement. Mais en vrai, tu te remettais de ta perte de territoire ?

- Ecoute moi bien sale chienne en chaleur, même étant mourante tu ne martyrisera pas ces gens, parce que toi tu obtient peut-être le respect en les frappant et en les humiliant mais, quand on est civilisé, on attend d'avoir une bonne raison pour frapper quelqu'un, même quand on le déteste. Je te donne un exemple, moi je me retient de t'étrangler et de te découper en petits morceaux parce que je n'ai pas de raisons sur pour le faire, mais dès que j'aurai confirmation, tu ne va pas vivre bien longtemps, et ma vengeance sera assouvie." Dis-je d'un ton glacial, elle a baisser les yeux et je suis partie car je n'en pouvais plus de voir sa sale gueule de pute en chaleur. Sérieusement, Georgina à du soucis à ce faire, elle a une concurrente coriace !
Je me dirige vers le self car c'est l'heure de manger, en arrivant je retrouve ma cher amie à notre place et tout les autres sont en train de ce battre avec ces trois cons pour avoir notre table. Je demande donc au gens de devant moi si je peux passer avant eux car il y a un problème avec les trois cons et ils acceptent car ils ne les aiment pas non plus, je les remercie et me dépêche, arrivé près de mes amis, je pose mon plateau sur la table et pousse les deux dindes jusqu'au bout du banc et dit aux autres de s'installer et de poser les  plateau des autres au sol. Les autres me sourient, je répond à leur sourire avec un clin d'oeil puis je mange. Les trois autres sont parti je ne sais où.
A la fin de notre repas, quand tout le monde à fini, on se lève pour allez fumer notre clope. En sortant je retrouve les trois Crips, sauf qu'ils sont en train de martyriser un pauvre garçon, je décide donc d'y allez et les autres me suivent puisqu'ils ont vu aussi.
Jack, mon cher frère, se tient bien évidemment à mes côtés mais je lui en veux toujours de ne pas vouloir me dire ce que la putes à avoir avec la morts de mes parents.
J'arrive au centre du cercle que tout les autres ont former, toujours avec mes amis à mes côtés. La pute à donc arrêter de frapper le garçon et ce dirige vers moi, elle à en plus, un sourire niais sur le visage, je vous assure qu'il va vite changer. Elle se positionne devant moi et me dit:
" Alors, on viens joué les héroïne ?
- Évidemment, il faut bien que quelqu'un défende ces pauvres gens qui n'ont rien demander. Surtout quand des salope dans ton genre les emmerdes !
- Hooou, tu veux te battre à sa place peut-être ?
- Et bien, avec grand plaisir ! "
Elle a essayé de me coller une droite, que j'ai récupérer au vol. J'ai tourné gentillement son poignet, et je crois même que je l'ai un peu cassé...
En plus, elle hurle dans mes oreilles avec sa voix de pute, bordel. Ses deux potes se sont ramener mais ils ont été récupérer par mes amis, sauf que l'autre pute n'a pas encore eu assez puisqu'elle ouvre encore sa bouche :
"- Tu va regretter ce que tu viens de faire, tout comme t'es parents ont regrettés ce qu'ils ont fait.
- Moi je vais rien regretter du tout, par contre, toi tu va t'en vouloir de les avoir tués, et crois moi, je n'aurai pas besoins d'armes pour me venger, moi je ne suis pas lâche.
- Nous sommes loins d'être lâche, tu peux me croire.
- Ha oui ? Et bien, pour nous, ne pas être lâche, c'est être capable de ce battre même avec un poignet cassé. "

Elle a donc essayé de me frappé mais je l'esquive et lui fait une balaillette, elle se relève et prend de l'élan pour faire je ne sais quoi, je me retourne légèrement et vois que mon frère met ses mains en position, je me retourne et cour, je prend mon impulsion dans les mains de mon frère et fait un salto arrière en passant au dessus de la chère Tina. Elle s'est arrêté net et regarde autour d'elle.
Je m'approche et lui tapote l'épaule, elle se retourne et je lui colle une droite magnifique, encore un craquement, son nez cette fois ci. Mon frère me sourie, oui car quand j'ai sauté, je l'ai entendu me murmurer "détruit la", et ça m'a donner encore plus envie de l'éclater. Je lui crache à la figure et dit:
"- Je t'avais prévenu barbie, rassure toi, l'année viens de commencer. " et je part la tête haute. Tout les autres s'écarte devant notre passage, j'entends même des merci.

J'en ai marre qu'on se foute de ma gueule, j'ai décidé de demander la vérité à mon frère a propos de Tina et ses petits toutous. Une chose est sur, je ne lâcherai pas l'affaire avant d'avoir eu les réponses à mes questions.

Mon bad boy.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant