Chapitre 2

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Narrateur : François

J'avais finis ma conversation, avec Nathalia, qui as d'ailleurs été exaspérante, vraiment quand j'aperçois la silhouette de Marie, j'était d'ailleurs très confus, que fait t'elle la? Plus personne du château ne venais la? A t- elle entendu ma conversation avec Nathalia? L'a t-elle par hasard aperçu?

-Marie?
-Oh Francois, avais t'elle répondu
-Que faites vous la?
-Oh..rien je me baladais, c'était mes appartement autrefois ici.
-Je suis au courant, plus personne ne viens ici.
-Je sais, c'est pourquoi je suis venue, et vous pourquoi êtes vous la?
-Je n'ai pas de compte à vous rendre, que je saches.
Elle ne répondit pas, j'ai vraiment du la blessée, je m'apprêtais à partir, quand je pris quand meme soins de lui demander si par hasard elle avait vue ou entendu quelqu'un ou quelque chose, elle avait l'air confuse et me répondit que non, je partie ensuite de ce pas me préparer pour le banquet.

Je suis maintenant prêt, je pense a Marie, je l'ai en quelque sorte agressé, il faut que j'aille m'excuser au prés d'elle, c'est que j'était énervé et en sa présence je perd en quelque sorte mes moyens, elle est si belle, douce et gentille, et très intelligente, peut être que Nathalia a raison, j'aurais pus continuer à la voir en cachette mais quand j'ai vue Marie, je n'avais guère envie de voir une autres femme qu'elle, mais je m'était promis que sa ne devait pas arriver, les décisions, que je prendrait vis à vis de Marie seront purement politique, dans l'intérêt de la France c'est comme sa que je dois agir et penser en tant que futur roi. Je ne tomberais pas amoureux d'elle.

Je suis avec mon père et ma mère, qui sont d'ailleurs entrain de se quereller pour une décision politique, concernant les protestant de France, ceux qui honnêtement ne m'intéressent franchement pas et pourtant sa devrait.

-François ?
-Ah, Sébastien, te voila, enfin!
-Et bien, je crois que je ne t'ai jamais vue aussi enthousiaste à l'idée de me voir? Qui y'a t'il?
-Arrête de faire l'idiot, je me demandais, sera tu la au banquet?
-Et bien si sa ne tenais que à moi non, mais ma mère, la favorite du roi, tient à ce je m'y rende.
-Bien, pourrais tu me rendre un service?
-D'accord.. De quoi s'agit t'il?
Je lui expliqua ce que j'avais derrière la tête, tout d'abord, il était tout à fait amuser mais accepta avec grand plaisir.

L'heure du banquer arrivée, le vin coulant à flot, le buffet de plus en plus remplit, la musiques, toutes ces femmes ravissantes courtiser par de nombreux nobles, mais en toute honnêteté, il me tardait de la voir, Marie, ma futur épouse.

Quand je l'aperçois, d'une beauté époustouflante, suivis de ces dames d'honneur, elle rit au éclat, souriante, saluant presque toute les personnes, présente. Je ne peux plus la quittait des yeux, quand elle s'avance vers moi.

-Puis je savoir pourquoi monsieur le prince n'arrête pas de me regarder.
-"Monsieur le prince" vous m'en direz des nouvelles, dis-je en ricanant
-Je ne plaisante pas, tout d'abord vous êtes gentille avec moi, ensuite vous m'agresser dans le château, puis vous me fixer, ce qui est d'ailleurs très "inapproprié". 

Je suis vraiment gêner de sa remarque et encore plus car c'était vrai.

-J'en suis vraiment désolé, et je tient à me faire pardonnée.
-J'accepte vos excuse, il vaux mieux redémarrer du bon pieds.
-Et je voudrait vous montrez quelque chose, tout de suite, derrière les écuries.
-Mais je ne peut pas quitter le banquet, il est organisée en mon honneur, que vont pensée les invitait?
-Ne vous inquiétait pas, Sébastien s'occupe de tout?
-Quoi mais..
Elle n'eut guère le temps de finir je lui pris la main, et m'empressa de sortir de la salle à ses côtés.

Arriver derrière les écuries, Marie est émerveiller, des dizaines de lucioles, scintillant dans la nuit, je me rappelle quand elle était petite, et qu'elle était venue ici, à la cour de France, elle les adorait.
-C'est une attention particulièrement touchante et attentionnée, merci beaucoup François.
-Et bien sa vous prouve à quelle point je tenait à me faire pardonner

Celle ci affiche un grand sourire, et me prend la main, j'hésite réellement à me séparer de son étreinte mais je ne veux pas que ce moment me sois enlever.
-J'ai passer la journée à vous maudire, et à vous détester, rigola t'elle
-Autant que sa? J'ai vraiment du être très désagréable
-Je vous voyais comme quelqu'un d'ingrats, et d'hautain
-Et c'est toujours le cas?
-Non, je vous rassure.
-Comment me voyais vous maintenant
-Pour l'instant, il faut déjà dire, que vous remonter dans mon estimes, et que vous êtes assez attentionnée, ceux qui est rare de nos jours.
-Attentionné? Vous dites, vous avez tout à fait raison.

Nous passons quelques heures, à nous racontez nos vies respectifs, mais pas en tant que François II, dauphin de France et Marie, reine d'Écosse mais plus comme François et Marie, j'ai appris que Marie adorait la littérature, et les promenades en cheval, qu'elle aimait les animaux, et la nature, et détestait tout le luxe qu'il y avais au châteaux, ce qui me fait particulièrement rire d'ailleurs.

-Je vous apprécie François
-Moi aussi, Marie
-En venant au château ma seule espérance était celle la, que nous nous entendions bien, comme nous allons nous marier, il vaux mieux vivre en meilleure thermes.
-Oui bien sûr, si nous nous marions.
-Comment sa si nous nous marions?
-Et bien peut être que sa ne sera pas le cas
-Que voulais dire par là?
-Que la France est fragile et que pour moi une alliance avec l'Ecosse la fragiliserais encore plus, d'autre pays plus puissant dans l'Europe, ont des reines a épousée
-Vous ne comptée pas m'épouser c'est sa?
-Non..Enfin si, je n'en sais rien
Marie était furieuse
-Et bien figurée vous que ce n'est à vous d'en décidée mais à votre père, j'ai besoin de ce mariage, et de cette alliance pour mon pays.
-Et moi j'ai besoin d'assurance pour la France, l'Angleterre veux vous faire la guerre, tout les protestants de votre pays, se rebellent et veulent un protestants sur le trône pas une catholique comme vous, que se passera t'il si nous nous marions? Des guerres de religions? Un peuples rebeller? L'Angleterre qui voudras sûrement prendre nos terres? C'est mon avis, je ne vous épouserais seulement si il m'en ai donner l'ordre, pour la France.

Marie est réellement furieuse, je comprenait mais je veux faire ce qu'il y'a de mieux pour la France et je ne tomberais pas amoureux d'elle, sa nuirais, a mes décisions politiques plus tard, si nous nous marions, et si je suis épris d'elle.
Son pays est fragile, et sa place sur le trône d'Ecosse est sincèrement remise en question, je dois épousez une reine et si elle ne l'ai plus elle ne vaux rien en France, j'ai d'ailleurs décider de prendre mes distances de peur que sa me nuisent.

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Bientôt la suite .
Xoxo
-S

Reign (Frary fiction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant