1856

Chapitre 2

PDV CLAIRE
Je marchais pour me rendre au cégep. J'avais toujours ce sentiment étrange d'être regarder. Épié. Je sentais des yeux sur moi. Je m'arrêta une minute en regardant partout pour voir si quelqu'un me suivait, mais rien. Personne en vue. J'essayais de ne pas m'en faire, de me dire que ce n'était que mon imagination mais je savais bien que c'était réel. Je commençais à marcher plus vite et même à jogger car je commençais réellement à avoir peur. Je m'arrêta car je n'avais plus de souffle. J'avais oublié de respirer durant ma course. Tout à coup, une main ce mit sur ma bouche et une autre sur ma taille. Je fus enveloppé de bras forts et ensuite, mon dos fut projeté sur un mur de brique. Je lâcha un gémissement de douleur. La personne me mit, sur le visage, un mouchoir. Oh non. Je me débattais du mieux que je pouvais et pendant, je pouvais entendre quelqu'un parler, d'une voix rauque:
"Je rêvais de faire ça depuis si longtemps Claire. Je t'ai enfin trouver." Ca n'a pas été long avant que je plonge dans la noirceur et que la voix me dise:
"Bonne nuit chérie."

Je me réveilla en sueur, dans mon lit. J'étais tellement soulagé de me réveiller dans ma maison. Louis à du voir que je m'étais endormis et il est venu me couché. Je regarda mon cadran. 3:00 pile. Comme à chaque fois. Ce n'étais pas la première fois que je fessais un rêve dans le genre mais celui là, il semblait si réel. Les cauchemar durais depuis environ 7 mois. Presque chaque nuit, je me réveillais en sueur. C'étais presque devenu une habitude. Parfois, je restais éveiller jusqu'à 7:30.

J'essaya de me calmer. J'étais inquiète de ces rêves. Moi et mes parents sommes même allés voir des spécialistes car parfois, j'arrivait dans leur chambre en panique et en pleurant. On m'avait dis que cela pouvait être des terreurs nocturnes mais quelque chose me disait qu'ils se trompait. Je ferma ma lampe de chevet et me tourna sur le côté. J'avais une vue sur mon balcon. Je le regardais lorsque quelque chose attira mon attention. Il y avait du mouvement. Je me suis dis que c'étais un écureuil mais c'étais beaucoup trop grand. C'étais une personne. Un homme très grand. Il se tenait debout sur le balcon. Il se retourna vers moi. J'étais terrifié. Pétrifié. J'avais la gorge sèche, j'étais incapable de produire un son. L'homme tourna la poignée des portes et entra dans ma chambre. Je ne pouvais pas voir son visage mais avec la lumière de la lune, je distinguait ses cheveux long et bouclé. Je voyais seulement ses yeux. Des yeux verts perçant. Il s'approcha de mon lit, lentement, pour faire durer le supplice. Je commença à crier. J'avais retrouvé la voix.

Je me réveilla en sueur. Tout cela étais un rêve. Je me leva de mon lit et regarda partout dans ma chambre. Il n'y avait personne. Je m'assis sur mon lit et commença à pleurer. Je pris mon oreillé mais je sentis quelque chose se froisser. Je regarda de plus près et vis une lettre. Une lettre dans une enveloppe noire et un ruban bleu. Ce n'étais pas là avant. Je l'aurais remarquer. Je pris l'enveloppe et l'ouvra tout doucement. Mes mains tremblaient. Je lus la lettre et mon sang se glaça à chaque mot.

"Un rêve est une réalité parallèle à nous. Vrai ou faux? Demain, je t'attendrai. -H"

C'étais la première fois que la lettre étais signé. Je ne connais aucun H... Que voulait-t'il dire dans sa lettre? J'avais rêver ou c'étais un flashback de se qui c'est réellement passé? J'avais peur de la suite. J'avais peur de demain.