chapitre 3

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Flashback

PDV EXTÉRIEUR

C'étais la nuit. La jeune femme sortit sur le perron de sa maison. Elle avait une vue sur l'ensemble de la cour. Seulement la lune l'éclairait. Elle s'assit dans les marches et ferma les yeux, savourant la brise chaude du mois du juillet. Elle avait passé une journée difficile et chargé en émotions. Elle se laissa bercer par le son du vent et de sa respiration régulière. Ses angoisses disparaissaient peu à peu et elle se sentit plus légère. Elle avait l'habitude de faire sa lorsqu'elle ne se sentait pas bien. Elle prit une grande bouffé d'air chaud et rentra à l'intérieur de la maison.

Tapis dans l'ombre, le jeune l'homme la regardait. Il regardait chacun des ses mouvements et il commençait à connaitre ses habitudes. Il fut surpris de la voir partir si tôt, car habituellement, elle restait un bon 20 minutes. Après quelques minutes, la jeune femme fit à nouveaux son apparition sur le perron. Elle tenait un gros livre dans ses mains. Le jeune homme, qui étais quand même loin de la fille, avait de la difficulté à lire le titre. Il pu voir le nom Poe, écrit dans un magnifique lettrage doré, sur la couverture.

Il n'en croyait pas ses yeux. Comment le connaissait t'elle? Rare était les personne de leur âge qui connaissait ce génie de la poésie. Le garçon l'affectionnait particulièrement.Il fut si surpris qu'il fit un mouvement brusque, se qui fit craquer une branche qui étais sous son pied. La jeune femme releva la tête et regarda partout dans la cour, mais ne vit pas la source du bruit. Il fesait probablement trop sombre. Le jeune homme fut soulagé qu'elle ne le découvre pas. Elle parcourra l'épais livre avant d'arriver presque complètement à la fin du recueil, et elle se mit à lire à voix haute.


"Il y a mainte et mainte année, dans un royaume près de la mer, vivait une jeune fille, que vous pouvez connaitre par son nom d'Annabel Lee, et cette jeune fille ne vivait avec aucune autre pensé que d'aimer et d'être aimée de moi."

Elle s'arrêta un instant,analysant le texte si romantique et repris sa lecture.

"J'étais un enfant, et elle était un enfant, dans ce royaume près de la mer; mais nous nous aimions d'un amour qui étais plus que de l'amour,- moi et mon Annabel Lee; d'un amour que les séraphins ailés des Cieux convoitaient à elle et à moi. Et ce fut la raison qu'il y a longtemps,- un vent souffla d'un nuage, glaçant ma belle Annabel Lee.-"

Le vent avait commencé à se lever, tout doucement. L'homme étais envoûte par la femme qui pensait lire, seule dans le noir de la nuit mais en fait, elle lisait pour lui.

"De sorte que ses proches de haute lignée vinrent et me l'enlevèrent, pour l'enfermer dans un sépulcre, en ce royaume près de la mer. Les anges pas à moitié si heureux aux cieux, vinrent, nous enviant, elle et moi. Oui! ce fut  la raison, comme tout les hommes le savent dans ce royaume près de la mer, pourquoi le vent sortit du nuage de la nuit, glaçant et tuant mon Annabel Lee."

Il pensa que c'étais l'un des plus beaux poèmes jamais écrit, lu par la femme qu'il désirait le plus, même si elle ne le connaissait pas et qu'il ne l'épiait que depuis quelques jours. Depuis qu'elle lui avait foncé dedans en sortant de ce petit café, qu'elle leva ses magnifiques yeux bleus et qu'elle l'avait regardé, il savait qu'il la voulait.

"Car la lune ne rayonne sans m'apporter des songes de la belle Annabel Lee; et les étoiles jamais ne se lèvent que je ne sente les yeux brillants de la belle Annabel Lee; et ainsi, toute l'heure de nuit, je repose à côté de ma chérie,- de ma chérie,- ma vie et mon épouse, dans ce sépulcre près de la mer, dans sa tombe près de la bruyante mer." 

À chaque mots qu'elle prononçait, il murmurait ceux-ci. C'étais un poème qu'il avait appris par cœur, faute de maintes fois qu'il l'avait lu, encore et encore.

"Mais pour notre amour, il étais plus fort de tout un monde que l'amour de ceux plus âgés que nous;- de plusieurs de tout un monde plus sage que nous,- et ni les anges là-haut dans les cieux,- ni les démons sous la mer, ne peuvent jamais disjoindre mon âme de la très belle Annabel Lee."

Elle finit de lire le poème, un peu sous le choc de la découverte d'un pareil poème. Elle réalisa que lire se genre de lecture étais si meilleure lue à voix haute. Elle feuilleta le recueille et lut plusieurs autres poème, tous si romantiques et magnifiques, mais le garçon ne l'écoutais plus. Il n'arrivait plus à se concentrer. Il avait finalement trouvé son Annabel Lee.

1856 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant