PDV CLAIRE
Je recula, et il avança. Ce ne fut pas long avant que mon dos rencontre le mur. Je m'accroupi en pleurant, tenant mes jambes contre mon torse. Je détestait cette sensation. Le fait de se sentir faible, prisonnier, dominer. Il me faisait sentir de la sorte. J'étouffais dans le désespoir, dans la peur, la peine.
J'était assise dans le coin du mur, essayant de rester le plus loin possible de lui. Il me regarda longuement, de longue secondes qui semblait s'éterniser. Je pouvais sentir la chaleur qu'il dégageait. Mon corps semblait engourdi pas la peur, et lui semblait bouillonnant de chaleur. Je ne savais pas se qu'il allait arriver dans quelques secondes. Il s'avança vers moi, lentement, puis s'accroupi devant moi. Il sembla alors beaucoup plus grand, massif que quelques instants auparavant. Il mit ses grandes mains de chaque coté de mon visage, prenant le peu d'oxygène qui me restait. J'étouffais. De gros sanglots secouaient mon corps. J'attendais la fin, ma mort.
"Pourquoi pleures-tu?"
Sans son masque, je pouvais réellement décelé des émotions. Vraies ou fausses, elles étaient là, dans ses yeux. J'osa que le regarder seulement quelques secondes, beaucoup trop peureuse de l'affronter. Je garda la tête baissé, ne sachant pas pourquoi j'avais peur. C'était la chose logique que presque chaque être humain dans ma situation aurait fait, non?
Il prit mon menton entre ses longs doigts, et ne força à le regarder. Il ne semblait pas être en colère ou moindrement énervé, il semblait triste. Je décela rapidement un immense tristesse dans ses yeux qui semblait fatigué. Je fut attiré par cette tristesse, se manque de vie dans son regard. Nous nous fixâmes un moment sans rien dire. Le silence, parfois, est si réconfortant, si reposant.
Le temps s'arrêta, le monde se mit donc au ralentit. Il n'y avait que lui et moi sur cette planète. J'observa son beau visage. Certe, il était à coupé le souffle, un homme dont la beauté pourrait être un mythe, mais se qui m'attira le plus chez lui fut la cicatrice que recouvrait son oeil gauche jusqu'à son sourcil. Elle lui donnait quelque chose que bien des gens n'ont pas. Des histoires, du mystère, du vécu. Quels histoires, atroces ou merveilleuse, cachait cette simple cicatrice? Qu'avait-il traversé pour récolter ceci, encré sur sa peau à jamais?
Doucement, je leva ma main, et la mit sur sa joue gauche. Il ferma les yeux à mon toucher. Je leva les doigts délicatement vers le haut de son visage, et traça du bout du doigt sa cicatrice. Il frissonna encore plus. Je le sentait sous mon toucher, il devenait serein.
"Qu'est-il arrivé pour avoir cette cicatrice?"
À cet instant, j'oublia tout. Ma curiosité prit de dessus sur ma lucidité. Je voulais savoir. J'espérais aussi qu'il me révèle plus d'information sur la raison de mon enlèvement, pas exemple.
"Une vieille marque qui court dans ma famille. Ne t'inquiète pas, Claire."
Je le regarda, essayant de rester calme. Bordel, la façon dont il prononçait mon nom... Je fut plus intrigué encore, ne sachant plus pas où commencé. Une marque qui court dans sa famille? J'avais entendu des légendes étant petite sur se genre de chose. Qu'est ce que ça voulais dire? Je voulais en savoir plus. Peut être qu'en court de chemin je pourrais gagner sa confiance.
Je ne posa aucunes de questions de plus, effrayé de le mettre en colère. Nous nous fixâmes dans les yeux durant un instant, puis il baissa les sien plus bas, sur ma tenue. La nuisette de recouvrait pas grand chose et était très sexy. Je me sentis à cette instant honteuse. J'avais honte de moi, de me laisser regarder de la sorte. Je gigota pour essayer de capter son attention sur mon visage et non sur mon corps.
"Je savais que le rouge était ta couleur."
Son regard était insoutenable. Je ne savais pas quoi répondre, je ne savais pas quoi faire. Les larmes qui avaient séchés étaient maintenant de retour sur mes joues. Putain je détestais ce sentiment.
"Oh non Claire, ne pleure pas. Pourquoi pleures-tu? C'est ce que j'ai dit?"
Je ne répondis pas. On dirait qu'à cet instant précis, mon esprit se déconnecta de la réalité et de ma conscience. J'agissais sans pourvoir rien faire.
"Répond moi Claire. Je t'ai mis mal à l'aise, mon dieu je suis si stupide. Je.. Je vais me rattraper, tu verras. "
Il prit quelques mèches de mes cheveux qui recouvrait mon visage, et les balaya vers l'arrière. On aurait dit qu'il coiffait une poupé.
"Je veux voir Louis."
J'avais parler si faiblement que même moi eu de la difficulté à m'entendre.
"Quoi? Qu'à tu dis?"
"Je... Je veux voir Louis, je veux lui parler, qu'il me prenne dans ces bras."
"Mon ange, je suis là. Je peux te prendre dans mes bras, regarde!"Il me prit maladroitement, et m'attira de force sur ses genoux. Il semblait désorienté, et confu, mais il était beaucoup trop fort pour moi d'essayer de me débattre. Je pleura encore plus.
"Non, non... Non. Je veux Louis! Je t'en pris laisse moi partir! Je.. Je ne dirais absolument rien à personne. Je dirais que je me suis perdu en forêt, mais que vais bien! Je-"
"Je ne peut pas Claire. Tu n'as pas encore comprit que nous sommes des âmes soeurs? Nous sommes faites pour être ensemble! Comment ne le vois-tu pas?"(SALUUUT! Je suis désolé pour le retard massif, j'ai un peu le syndrome de la page blanche depuis quelques semaines, se qui rend l'écritures des mes deux romans plutôt difficile. J'aime beaucoup ce chapitre (je crois que c'est un de mes préféré jusqu'à présent!!) Malheureusement, je suis seulement à 150 mots environs sur le nouveaux chapitre de ma fiction: C'était lui. Je me creuse les méninges depuis plusieurs semaines pour essayer de l'avancer le plus rapidement possible. Bref soyez actif! Je vous remercie encore un fois! Xx)
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1856
FanfictionUne histoire vielle de 160 ans, un enlèvement, des poèmes et un triangle amoureux. Qu'ont-ils en commun?