PDV CLAIRE
Je couru dans les escaliers, ne perdant pas aucunes secondes. Après avoir lu la lettre, je me dépêcha à regarder la pile de vêtement posée sur le lit. Malheureusement, aucun de ceux-ci ne recouvraient mon corps. Ils étaient tous plus sexy les un que les autres. Je resta donc dans la nuisette que je portai auparavant et parti à la couse.
Sans grand étonnement, la porte d'entré était verrouillé. J'alla vers les fenetres, et essaya de les ouvrir. À chacunes, je vis un petit mot collé sur la vitre.
"Ne t'inquiete pas, elles sont toutes bien verouillées."
"Pourquoi t'entêtes-tu?"
"Tu es su têtues. Si sa peut te faire plaisir, tu peux allez toutes les vérifié."
"J'aime que tu n'abandonnes pas. C'est une qualité que j'apprécie beaucoup chez toi."Je les vérifia toutes, mais sans succès. Je me dirigea alors vers la cuisine, me disant que je réessayerai la prochaine fois. Mon ventre me criais famine. Sur la table à manger, je retrouva un bol, mes céréales préférés, et un autre petit mot.
"Bon appétit."
Dans un élan soudain de rage, je jeta le bol par terre, se qui fit une grande détonation dans toute la maison. Il éclata en plusieurs morceau très coupant. Je le regarda s'étendre au sol, et pensa que je pourrais garder un morceau pour me protégé. L'idée était stupide. Aucun morceau n'était assez gros pour me défendre. Je soupira, me demandant comment j'allais nettoyer. Mes yeux remarquèrent un balais simple, dans le coin de la pièce. Je marcha prudemment vers l'objet, et vit encore un mot.
"Ramasse bien ton dégât. Je ne voudrais pas que tu te coupe avec les morceau de porcelaine."
Mon dieu. Il avait tout prévu. Il savait que j'allais être furieuse, parce qu'il me connait trop bien. Je retourna à contre coeur vers la cuisine et ramassa le tout assez rapidement.
Je sortit de la cuisine, espérant que je ne laisse aucun morceaux et que je me blesse. J'arriva dans le salon et vit ce que j'avais vu la dernière fois. Des tonnes de livres, et encore plus de livres. À cet instant, je me croyais au paradis. Il ne manquait plus que Louis. À cette pensé, mon estomac se tordu, et mon coeur se brisa. Je savais que je devais rester forte, mais c'était bien plus facile à dire que de le faire. Je m'empêcha de verser une seule larme, car je savais que je le verrais bientôt. Je le savais et j'en était convaincu.
J'essaya de me changer les idées, c'était bien facile avec touts ces bouquins. Je m'avançais plus proche pour bien les voir, les inspecter. Il y en avait tellement, je devais me mettre sur la pointe des pieds, et j'était encore trop petite pour touts le atteindre. Je regarda chaque titres que je pouvais atteindre. Il possédait vraiment de tout. Du Stephan King au Virginia Wolf, en passant par du Rupi Kaur, et bien sur du Edgar Allan Poe.
J'examina les livres durant deux heures environ. Étonnement, je n'avais pas envie de lire, pour l'instant, je savais que si je commençais, il serait impossible pour moi d'arrêter. Je me rappela de la salle que j'avais vu, et me dirigea vers celle-ci. En entrant, je fus encore une fois émerveillée. Le lieux était si beau. Je n'avais qu'une envie à cet instant, me coucher par terre et admirer. Alors je le fis. Je ne m'inquiétais aucunement de la saleté que pouvais avoir les planchers, car ceux-ci brillaient de propreté. Je m'allongea, et je me sentis instantanément sereine. Bizarrement, j'ai toujours aimé me coucher par terre. J'aime bien la simplicité de cette acte. C'est en fait de cette façon dont j'ai rencontré Louis. Je souris, repensant à cette nuit folle.
Même le plafond pouvais être considéré comme une oeuvre d'art. Les lieux respiraient le calme. Le silence régnait. Et à vrai dire, je me sentait si bien, si légère.
J'ouvris doucement les yeux, et sourit. J'avais encore la magnifique vue devant moi. Je vis que j'était recouverte d'une jeté, et un oreillé était posé sous ma tête. Je fronça instantanément les sourcils. Je n'avais pas ça avant de m'être endormi. Le tout fut accompagné d'un enveloppe bleue et d'un ruban noir.
"Tu es si belle lorsque tu dors. Tu as l'air si sereine. Magnifique. H "
Je frissonna, imaginant un malade me regarder dormir, et penser que je suis un bonbon. Il fallait bien se douter qu'il m'avait équiper pour mon sommeil, même dans cette pièce. Je pris la lettre et alla la placer entre deux livres d'un étagère qui semblait très vielle et instable. J'avais inséré chaque lettre et mot reçu entre ces deux livres inconnu. J'aurais tout plein de preuves matériels pour les enquêteurs.
Un petit bouquin à la couverture rouge attira mon attention. Je ne l'avais jamais remarqué auparavant. Il semblait étrange. J'avais se sentiment qui viens de l'intérieur. Comme si quelque chose me disait que ce simple bouquin cachait quelque chose. Je tira dessus, mais il ne bougea pas. Je tira plus fort, et mis un de mes doigt sur un genre de bouton, sous le livre. Je n'eu pas le temps de me posé aucune question que je le pressa. La bibliothèque tourna sur elle-même, pour être en angle de 130 degré, laissant la place à quelqu'un.
"Mon dieu."
Je souffla, ne sachant pas si je devais faire comme si je n'avais rien vu, ou faire confiance à ma nature extrêmement curieuse. La deuxième option était bien plus intrigante. D'un pas décidé, je m'avança vers l'inconnu. Je ne vis aucune lumière en entrant dans se qui semblait être une couloir étroit. Je n'aime pas être dans un endroit étroit, ça me donne la chair de poule. Je marcha alors plus vite et finis par déboucher sur se qui semble être une chambre noir.
Seul une faible lumière rouge illuminait le lieux. Mes yeux, n'étant pas habituer à cet éclairage, pris du temps avant de déceler les objets de cette pièce. Je vis de long fils accrocher qui parcourait la pièce. Des photos étaient accroché sur ceux-ci. Un bureau était placé en face de mur à ma gauche. Je m'approcha, et vis des centaines de photos sur le mur.
Moi me rendant au cégep, moi couché sur le canapé du salon, moi me baignant dans la piscine, moi qui dormait dans ma chambre. Moi sur le balcon de ma chambre, moi qui enlevait mon chandail, moi caressant mon chien. Plusieurs autre photos, des carte qui indiquait mes horaires de cour, des cartes de la ville dans laquelle j'habitait, plusieurs arbres généalogique de mes deux parents, et plus encore étaient éparpillé dans toute la pièce.
J'était horrifié, mon coeur battait fort, ma respiration était saccadé, et j'avais si chaud. Je devais sortit d'ici. Ce malade m'avait espionné, photographié et recherché. Regardant une partie de ma vie devant mes yeux, je reculais doucement me disant que je devais rêver, mais ne rêvais pas. Je me cogna sur quelque chose. Je cria et me retourna paniqué. L'homme se tenait derrière moi, mais sans masque cette fois. J'était prise au piège.
"Tu n'aurais jamais du voir ça."
(SALUT/ALLO!! Plus long chapitre de cette fiction, malgré qu'il soit ennuyé vers le début. Ooouuuuu j'avais hâte par contre de l'écrire! Donner moi vos impressions, aimer! Je ne sais pas lorsque je vais publier un nouveau chapitre de C'était lui, car je ne l'ai pas encore commencé.. (Oups) J'ai en se moment le syndrome de la page blanche pour cette fiction. Je fais de mon mieux mais c'est difficile. Bref, à la prochaine! Xx)
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1856
FanfictionUne histoire vielle de 160 ans, un enlèvement, des poèmes et un triangle amoureux. Qu'ont-ils en commun?