PDV CLAIRE
La première chose que je sentit était un mal de tête écrasant. La deuxième fut le bruit agaçant de goutes d'eau tombant au sol. Des pensées tourbillonnaient dans mon esprit, mais j'étais incapable de me concentré. Avais-je oublié de fermer les robinets de la salle de bain? Et finalement la troisième fut l'impression que quelque chose n'allait pas. Je n'étais pas chez moi, j'en étais sur. Je commença à gigoter sur se qui semblait être une chaise en bois. Mes poignets était attaché derrière mon dos. Mes jambes étaient attaché de chaque cote de la chaise, ne me permettant aucune chance de m'enfuir. Je voulut crier mais un bout de tissu était dans ma bouche.
Des bruits de pas se fit entendre au dessus de ma tête. Mes yeux étaient grand ouverts, mais je ne voyait absolument rien. Les pas se rapprochèrent. Je compta le nombre de marche de l'escalier. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit. Huit marches au total. La panique s'installa dans mon esprit et tous s'embruma. Une voix étonnamment rauque résonna et appela mon nom.
"Claire.. Claire."
Ma peur se dissipa peu à peu. Bordel, je n'était pas supposer être en confiance. Peut-être m'avait-il drogué? Mon dieu, et si c'était un délinquant sexuel? Ou un psychopathe à la recherche d'une nouvelle victime? Et puis la peur revint à la vitesse de l'éclair. Je tourna la tête rapidement, à la recherche d'une aide qui était probablement inexistante. Il y a avait une petite ampoule dans l'escalier. C'était la seule source de lumière dans cet endroit qui semblait si froid et macabre.
Je regarda l'homme devant moi, avec une peur indescriptible. La seule chose que j'eu le temps de remarquer fut ses cheveux. De folles boucles de couleur foncé entourait son visage. Il se pencha pour être à ma hauteur et murmura mon nom encore, puis, le trou noir.
PDV CLAIRE
Je me réveilla péniblement. Ma tête me fessait un mal de chien, et tout mon corps semblaient engourdi. J'était dans un grand lit à baldaquin noir, dans une immense chambre. À vrai dire, c'était tout de même beau. La pièce aurait paru invitante et surtout, imposante. Je regarda autour de moi, et je ne vis aucunes menottes, aucunes chaines ou aucunes cordes. Je n'étais pas attaché.
Mon coeur, qui battait à la chamade depuis le moment que je m'était réveiller dans cette étrange chambre, ne fit que s'accélérée. Je bondit littéralement du lit, se qui produisit un bruit sourd.
Boum!
Je gela sur place. Merde, et si il m'avait entendu? Me resta à cet endroit pour au moins 5 minutes, mais je n'entendis aucun bruit. Seulement le son de ma respiration saccadée. Je marcha sur la pointe des pieds jusqu'à la porte qui je tira d'un petit mouvement, sans forcé comme une malade. À ma plus grande surprise, elle s'ouvrit. Sans aucun problème même. Je regarda tout autour de moi, guettant le moindre mouvement d'un individu. Il n'y avait personne.Je descendit rapidement les escaliers et arriva dans une immense salle. Comme une salle de bal. C'était comme dans les films. Tout était si magnifique. Et se moment, je n'avait qu'une envie. M'asseoir pas terre et contemplé la vue qui était devant moi. L'architecture était une de mes plus grande passion. Mais j'était encore sensé, je devais partir de cet endroit. Je me remis à marcher rapidement, non, à courir, lorsque je sentais que j'avais froid. Peut être le stress m'étais-je dis.
Je baissa les yeux et vit que je n'étais plus habiller pareil. J'avais seulement une petite robe très légère, bleue et plutôt courte. Et oui, j'avais eu le temps de tout remarquer de mon accoutrement en 0.27 secondes. Je commença à courir encore plus vite que quelques seconde auparavant. Je crois que c'est à cet instant que je commença à pleurer. Savoir que quelqu'un, un homme m'avait quasiment vue nue me mettait dans une panique total. Je n'ai jamais vraiment été confiante avec mon corps. L'exposer, surtout inconsciente me dégoutais.
J'arriva dans se qui me sembla un immense salon avec des tonnes et des tonnes de livre. Encore une fois, j'étais subjugué par la beauté de l'endroit. Je crois que c'était un de mes rêve de voir autant de bouquins dans un même espace. Bien sur je ne m'attarda pas, malgré ma folle envie de lire chaque titre que comportait cette pièce. Je vis au fond, deux portes massives en bois foncé. Je me précipita vers celle ci, pour découvrir rapidement qu'elles étaient verrouillées. Je tirais sur les poignée désespérément. Je compris quelques secondes secondes plus tard que il m'était impossible de m'échapper.
Je glissa doucement sur le dos, accoté sur les portes. C'était peine perdu. J'attendais que le maniaque qui me gardait otage sorte de l'hombre ou je sais trop, mais rien ne se passa. Pas d'homme enragé à l'idée que je le quitte. Pas de maniaque qui voulut me tuer avec un couteau de boucher. Rien. Le silence total. On dirait qu'il n'y avait personne dans cette maison. Ou plutôt ce château.
Je ne savais pas quoi faire. Alors je restas à ma place initiale. Je ne savais pas combien de temps j'étais resté là, à pleurer sur mon sort. Je commença à entendre de petits bruits de tambour rapide, jusqu'à se qu'ils deviennent trop fort. Et puis, la voix surgit.
"Darkness, stirs and wakes imagination. Trust me, sense me, savor each sensation. Let your dream be free, let the dream come to reality. Have no fear, let your heart be light."
La voix provenait de partout. Elle semblait venir des murs de chaque pièce de cette maison. Elle était porteuse, grave et magnifique. Jamais je n'avait entendu quelqu'un chanter de la sorte. Le musique remplit ma tête, et je savais que c'était mon point faible. Et il le savait aussi. Une magnifique mélodie l'accompagnait, provenant d'un orgue. Et la voix continua.
"Trust me, savor this sweet darkness that you're into. Come and live. Whoever belive will live. Forever and for eternity. Young beautiful, naive thing. Beauty shall be sacred. Music will be heard, and you shall make my song come alive."
Je me leva enfin, infiniment attiré par cette voix si envoutante. Je tourna la tête dans tout les sens, essayant de trouver l'origine du son. Mais elle venait de partout. Je vis tout près de moi, un immense miroir encadrer de magnifique moulures noires. Je m'approcha. Quelque chose m'attirais vers l'objet. Une force invisible. Et puis, je le vis.
"Come to the me, angel of beauty. I am your angel of music. Come to your angel of music. See what I see, and together we could be free. Take my hand. Have trust in me. Trust your strange angel. Your angel of music."
Une grande main habillé d'un gant noir élégant sortit du miroir. L'homme paraissait immense. Imposant. Et sous son effet, je mis ma main dans la sienne, me laissant m'entrainer dans la noirceur.
(BONJOUR/BONSOIR et re bienvenu sur ma deuxième fiction. Je suis si désolé pour mon retard (si on peux appeller ça un retard..) mais j'avais complètement oublié son existence. J'ai fait beaucoup de changement dans la planification de l'histoire. Peut être que certaines et certains d'entre vous on pus voir une ressemblance avec le film : The phantom of the opera. Ce film est un cadeau de l'univers et certainement mon préféré. Bien sur je ne fais que m'en inspiré. Je suis très très fière de se chapitre et je l'aime BEAUCOUP! Alors je vous reparle prochainement je l'espère! Xx F)
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1856
FanfictionUne histoire vielle de 160 ans, un enlèvement, des poèmes et un triangle amoureux. Qu'ont-ils en commun?