Les couleurs dansaient au rythme régulier du soleil qui semblait s'endormir pour laisser places aux ondes gracieusement courbées.
Ces nuances de cette aurore se reflétaient dans l'océan noirci par la nuit. Les diamants du ciel étincelaient aussi brillamment que des bijoux d'une mariée.
Le froid de l'hiver éternel vernissait de ces couches de glace épaisse, le seul morceau de terre qu'il restait de ce milieu magique.
Cet idylle pourtant si loin de la grisâtre vie des hommes meurt et va mourir dans la liquéfaction de ce blanc sublime et dans l'évaporation de milles teintes de courbes dansantes.
À tous nos paradis perdus.
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Mes textes
RastgeleNe sachant réellement pas comment m'exprimer, je rédige mes ressentis dans ces écrits.