[1] ZEÏNA - POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE

13.

" Elle t'a rendu fou d'elle, elle t'a brûlé les ailles"

WISSEM

Depuis, elle me casse les couilles à m'appeler, je veux plus jamais voir sa gueule, et dire que j'ai aimé ce genre de meuf ça me dégoûte.

Elle comprend pas que j'ai des choses à faire en plus ce fils de p*te de Lyes qui est dans la salle blanche, ses hommes peuvent venir à n'importe quel moment.

Arda - Oh l'enflure ton téléphone sonne

- laisse sonner

Arda - c'est une femelle c'est ça

- eh asy me parle même pas de cette salope.

Arda - Bref, je vais m'occupe de Lyes, tu viens

- la flemme w'Allah

Arda - Azy.

Il monte à l'étage pour commence son jeu de torture mdr, quand mon téléphone se remets à sonner encore une fois, et bien sûr c'est Madame Casse les couilles, je finis pas répondre.

- Y'a quoi que tu comprend pas en " je veux plus te voir"

Alia - putain, Wissem, j'suis dans la rue j'ai besoin de toi

- mais je m'en bats les couilles c'est ton problème mon frère

Alia - tu peux pas me laisser comme ça.

- Eh débrouille toi, va faire la pute je sais pas moi.

Alia - tu me prends pour une pute ou c'est comment ?

- je te prends pour Alia c'est tout

Alia - Sérieux, j'ai besoin de toi.

- Putain tu casse les couilles Alia !

Même si elle a fait des choses au passé, je peux pas la laisser comme une miskina dans la rue, ça se fait pas et en plus de ça, je l'aime toujours, putain nique sa mère l'amour.

- t'es où ?

- je sais pas dans les rues des champs élysées

- c'est bon j'arrive.

Je prend ma veste.

- EEEEEEEH ARDA JE VAIS SORTIR JE REVIENS.

Arda - Vaasy

Je sors de la maison, et je monte dans ma Mercedes. Pour chercher l'autre conne.

****

Ça fait 15 min que j'attends la devant l'Arc de Triomphe, et cette conne est toujours pas là. Je l'appelle elle réponds pas, j'étais prêt à partir quand je vois une bimbo arrive vers moi et biensur que c'est

Madame Alia.

J'ouvre la porte pour qu'elle rentre, elle me regarde mais ne rentre pas

- quoi ?

Alia - ben mes valises.

- ben t'as des mains non ?

Alia - pf, ben ouvre le coffre.

Je descend de la voiture et j'ouvre le coffre, elle mets se valise, puis je ferme le coffre et nous montons dans la voiture.

Alia - il faut ambiancer un peu ici, il y'a un silence de ouf

- touche même pas à ma voiture

Alia - Azy tu casse les couilles, je mets sur mon téléphone.

- ouais et tu ferme ta gueule.

**

En arrivant à la villa, je lui montre sa chambre et je la présente à Arda, Assad comprend pas pourquoi je l'ai ramené, moi même je comprend pas.

Ce soir j'arrive pas à trouver le sommeil, je décide de descendre, manger quelque chose, j'avais grave faim. Quand madame descend en mode petite nuisette noir.

- qu'est-ce tu fais ici toi ?

Alia - j'arrivais pas à dormir

- ah d'accord, mais bouge

Elle s'approche de moi, tout en jouant de ses atouts, si ça continue cet histoire va finir mal.

Alia - pourquoi bougerais-je ?

Elle s'approchait de plus en plus de mes lèvres, elle sais que ça me rends fou ça. Puis nique sa mère, je la prend par la taille et je l'embrasse sans arrêt, tout en touchant son corps, la pression montait d'un coup. Je la prends et on monte jusqu'à ma chambre.

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