Petits OS à croquer

Un travail récompensé...

Le soleil éblouissait les visages souriants de ces adolescents. Tous réunis sur un bout de verdure, ils fêtaient leurs victoire. Un travail progressif, rempli d'embûches et long les avait accaparés pendant une dizaines d'années. En ce jour ensoleillé, leur dur labeur avait payé: aujourd'hui ils étaient enfin récompensés. Mais cela ouvrait aussi la porte vers un monde inconnu bien que ces personnes aient quelques connaissances sur ce qui les attendait. Ils s'embarquaient dans une nouvelle aventure bien plus périlleuse que la précédente mais aussi bien plus courte.
Mais la préoccupation de ces jeunes gens n'était pas le futur mais l'instant présent. En cet instant, ils ne pensaient qu'à faire la fête. Se moquant gentiment les uns des autres, s'amusant comme des personnes de leurs âges ils se vidaient la tête et profitaient de ce moment qui était à eux. Tout semblait leur sourire tant ce moment de pur bonheur les réjouissaient, réunis tous ensemble pour pouvoir profiter d'un pur instant de repos, les beau jours qui s'annonçaient ne pouvaient que leurs faire encore plus plaisir à ces personnes remplis de vie et d'idées pour le futur.
Il n'y avait qu'une seule ombre au tableau: l'inévitable séparation qui les attendait tous. C'est pourquoi ils voulaient absolument profiter de ce moment jusqu'au bout. Pouvoir se souvenir des moments passés avec les personnes que l'on apprécie, les graver au plus profond de soi pour pouvoir ensuite se souvenir et se les remémorer plus tard comme étant de bons moments... Fêter cette victoire était aussi une des motivations pour pouvoir se réunir, peut être même la plus importante de toutes. Ces instants de pur joie étaient les plus importantes dans l'instant présent.
Quelques minutes plus tard, les jeunes gens se levèrent l'un ayant un ballon a la main. Deux d'entre eux préférèrent restés prostrés sur les serviettes, à profiter du soleil qui courait sur ces peaux et du vent qui soufflait doucement dans leurs cheveux. Le ballon  fut mit à terre et un pied shoota dedans le projetant sur l'herbe verte. Celui-ci glissa sur la surface avant d'être arrêté par un tas de vêtements informes posés en vrac. Il fut suivi très rapidement par un autre coup de pied et le ballon repartit pour une nouvelle traversée. On voyait ces adolescents souriant courir après le ballon s'envoyant quelques blagues et cette image pouvait réchauffer n'importe quel cœur. Mais l'appel de l'eau fut le plus fort et après une partie de balle toutes ces personnes u grand complet allèrent au bord du lac en contrebas. Un petit ponton menait a des toboggans d'où l'on pouvait entendre certains cris.
Entraînes par deux d'entre eux, le petit groupe se dirigea vers ces installations. Ils voyaient plusieurs personnes descendre ces toboggans et cette vision poussa les plus  téméraires à grimper les escaliers. Quelque uns, lors de la descente, se mirent à hurler mais l'entrée dans l'eau fut la même pour chacun: le saut provoqua plusieurs gerbes d'eau qui éclaboussèrent ceux restés au bord du bassin. Le soleil brillait et bientôt l'heure de partir sonna : tous se dirigèrent vers un arrêt de bus où, quelques instants plus tard, un car se présenta. Tous le monde monta à l'intérieur et après le trajet vint le moment de se dire au revoir.
Les étreintes et les bises furent chaleureuses et pleines de promesses. Le petit groupe se dilua au compte goutte et les suggestions de fêtes se firent aussitôt. Certains partirent en voitures, d'autres à pied, en bus ou encore en train... Mais ce qui est sûr c'est que cette journée restera dans leurs mémoires un bon bout de temps. Les inquiétudes pouvaient ressortir et la peur de l'inconnu   pouvait ressortir à son tour car cette journée était maintenant considéré comme du passé et le futurs n'attendait que ces jeunes bacheliers.

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Moi : salut les gens! Non je ne suis pas morte...
???: Encore heureux 
Moi: t'es qui toi ?
???: Enfin tu ne m reconnais pas! C'est moi Ceri!!
Moi: Ah oui c'est vrai. Elle est où du coup Xira ?
Ceri: Elle est partie en vacances. Elle m'a dit qu'elle ne voulait plus voir ta figure 
Moi:............................................................  Sans commentaire