La lumière ne perçait pas les membranes en mouvement. Elle était même absorbée révélant ainsi toute la noirceur des tissus en mouvement. Ils appartenaient a un petit oiseau qui, au premier abord, ressemblait à un papillon. Cet oiseau vivait avec plusieurs de ses semblables. Tout seul il était faible mais lorsqu'ils étaient en groupe, ils pouvaient faire des ravages et déchaîner les éléments.
D'ailleurs, pour pouvoir montrer de leurs pouvoirs ils devaient être contrôlés par une force qui pouvaient les manier. En ce moment ces petites créatures étaient contrôlés par un homme : celui-ci avait les yeux rouges. Ses cheveux, de la même couleur que les oiseaux qu'il contrôlait, était retenu par une natte. Ses vêtements eux aussi était noirs : le sarouel qu'il portait ainsi que le haut qui ne couvrait que la moitié du torse faisaient honneur à la couleur de ces oiseaux. Les seules touches de couleur que l'on pouvait voir était le blanc de son écharpe que l'homme portait tout le temps ainsi que les bijoux dorés qu'il portait aux poignets et au cou.
Le nombre de ces oiseaux augmentait de temps a autre. Ils ne savaient pas comment cela pouvait être possible et ils se contentaient d'obéir à cet homme qui les menait à la baguette, au sens premier du terme. Un jour, on leur donna un nom : maintenant ces oiseaux étaient connus sous le nom rukh. On les désigna ensuite comme faisant partie intégrante du cycle de la vie : ces petites créatures représentaient l'essence vitale du monde dans lequel ils vivaient. Ils étaient alors l'incarnation du destin qui guide chaque personne.
Pourtant, ils semblerait que ces rukhs de couleur noire ne soient pas... De véritables rukhs. Pour la plupart des personnes ces rukhs signifiaient qu'un personne tombait dans la dépravation : la haine et la colère étaient et sont tellement fortes et présentes dans le corps de quelqu'un que cette personne a alors envie de renverser le destin afin de pouvoir changer celui-ci. Si rien ne changeait cela pouvait entraîner la mort de la personne. C'est pourquoi on fuyait les personnes qui pouvaient contrôler ses étranges créatures : car on disait qu'il était tombé du côté du mal.
Une autre personne avait clamé haut et fort que celui qui maniait les rukhs noirs prenait la mauvaise direction. Ceux-ci, de ce qu'ils ressentaient, en vinrent à la conclusion que cet être était de la même nature que celui que les contrôlait. On pouvait dire que c'était un enfant, il avait les yeux bleus et les cheveux, de la même couleur, étaient eux aussi regroupés en une natte. Il portait également un sarouel mais de couleur blanche et son haut avait la couleur d'un ciel sans nuages. A ces côtés, volaient leurs congénères. A une différence près : ceux-ci étaient blancs. Les rayons du soleil se reflétaient sur leurs membranes et ainsi, ces rukhs illuminaient toute personne se trouvant à côté de ses créatures.
Plusieurs fois, le maître des rukhs noirs affrontait celui qui pouvait contrôler les rukhs blancs. Durant les affrontements, ces petits oiseaux se rendirent compte d'une chose : ces deux personnes qui savaient ordonner aux rukhs était de force égale bien que les connaissances de chacun soit différentes. Celui qui maniait les rukhs blancs avait plus d'une fois déstabilisé le maître des rukhs noirs et pourtant cela se finissait toujours par un match nul.
En somme, la force de ces étranges oiseaux n'était pas à prendre a la légère : ensemble ils pouvaient faire des miracles et étaient la représentation d'une force naturelle dans le monde où il vivaient. Ils menaient le cycle de la vie et par leurs simples vision on pouvait lors voir de quel côté avait basculé le destin.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Voilà les gens j'espère qu ce petit texte vous a plus et j'essaierai d'en faire un autre avant le fin du mois.
Ceri : Pourquoi la-dessus ?
Moi : Pour une amie qui va se reconnaître
VOUS LISEZ
Petits OS à croquer
Fiction généraleCeci est un petit recueil d'OS qui seront écris au fur et à des humeurs qui me passeront sous le nez. Je pense les publier une fois par moi à moins que je sois prises d'une inspiration soudaine ou alors du syndrome de la page blanche. J'essaierai de...