An impossible love

Partie 23

4 novembre, 8h00 : Loren

- Loren debout ! Tu va être en retard aller ! - Me cria mon frère dans les oreilles -

- Loren ? Ça va Loren ? - Me demanda-t-il inquiet -

Ma mère monta les escaliers ne comprenant pas pourquoi mon frère criait.

- Cam' ! Que ce passe t-il ici ? - Demanda-t-elle -

- C'est Loren, elle veut pas se réveiller et elle a les yeux rouges !

- Ma chérie, ça va ? Tu as pleurer ?

Je m'étais redresser, j'étais assise sur mon lit, les yeux ouvert, fixant mon téléphone sur mon bureau.

- Loren ?! - Me redemanda ma mère -

Je tomba dans ses bras, toujours les yeux ouvert fixant mon téléphone sans réagir.

- Cameron va à l'école, j'amène ta sœur chez le médecin.

Ma mère me mit ma veste et mes chaussures ( j'étais encore en pyjama ) et m'emmena dans la voiture, je pris mon téléphone avec moi ne voulant pas le lâcher des mains.

- Alors mademoiselle Dallas, que vous arrive-t-il ? - Me demanda le médecin-

Je fixais mon téléphone entre mes mains sans regarder ni ma mère ni le docteur.

- Qu'est ce qu'elle a docteur ? C'est grave ? - Demanda ma mère inquiète -

- Oh je ne pense pas, on voit bien à ses yeux qu'elle a pleuré toute la nuit. A-t-elle perdu un être chère récemment ? 

- Non, ma famille va très bien, ses amis aussi ! Son père est revenu il y a quelques jours, sa faisait un bout de temps qu'elle ne la pas vu vous pensez que sa pourrais être sa ?

- Peut être, enfin bref ses yeux son bien irrité je vous fais une ordonnance pour un médicament et je l'interdit d'aller au lycée durant les 3 prochains jours, le temps qu'elle se remette du choque qu'elle a pu subir.

Ma mère me ramena chez nous et resta avec moi toute la journée, je ne parlais pas, toujours le téléphone entre les mains.

- Loren, chérie dit moi se qui ne va pas s'il te plait. C'est Hayes c'est sa ? - Me questionna ma mère -

Quand j'entendis le nom Hayes je me retourna vers ma mère et me mis à pleurer, tout sa me rappelais trop Ian. Elle me prit dans ses bras me caressant mes longs cheveux blonds.

Mon père rentra du travail, il avait été prévenu par ma mère et il avait pris sa fin d'après-midi.

- Loren ! Ma puce sa va ? - Me demanda-t-il-

- Un chagrin d'amour...voila tout, son premier...- Lui répondit ma mère -

Ils me prirent tout les deux dans leurs bras en me faisant un câlin. Je resta sans rien dire le restant de l'après-midi, toujours le téléphone en main...