Voilà quatre jour que mon patron n'est pas revenue, quatre jour de tranquillité et plus un seul dossiers n'apparaît sur mon bureau. J'arrive à voir le bureau d'Adèle mais elle est en congé maternité. En revanche, David lui est revenue de vacances. Il m'a rapporté plein de cadeaux insignifiants. Mais ca lui fait plaisir de me les offrir alors je lui souris (Je ne vais quand même pas lui dire que ces choses qu'il a payé ne me font ni chaud ni froid !)
D'un seul coup, je vis une grande personne debout, j'eu un discret sursaut. C'était Aaron. Il me lança du bout du couloir un sourire charmeur...très charmeur. Je retire ce que j'ai dit, il est plutôt beau comme type...très beau.
Une employer courut vers lui et lui demanda ce qu'il avait eu, il lui répondit qu'une petite grippe c'était abattue sur lui. Mon œil ! Il a juste fait comme tout les patrons, c'est à dire, prendre quatres jours juste comme ça pour dire de prendre le soleil sans ce soucier du travail. Il rentra dans son bureau en me lançant un regard et le même frisson que la dernière fois me traversa le corps.Trois semaines passèrent et se fut trois semaines ÉPOUVANTABLES! On n'arrêtés pas une seule seconde de se disputer lui et moi pour des petites choses qui ne valent même pas une dispute ! Il est peut être beau mais qu'est ce qu'il peut être de mauvaise humeur!
Le premier lundi du mois suivant, Aaron fut en retard de deux heures. Quelque chose ne vas pas. Il est peut être entre la vie et la mort en ce moment précis, ou peut être est-il tout simplement mort?
Mes questions allées avoir leurs réponses car le voici enfin qui arrive. Mais il est bizarre. Il tien sa mallette de la main droite alors que d'habitude il la porte de la main gauche, et il ne plis pas son bras gauche. Pour comprendre je me lanca d'un bon de ma chaise et lui bloqua. le passage. Il ne me regardé pas, il fixé la porte de son bureau. Tout à coup je vis une goutte de sang glisser de sa manche pour finir sa route au bout de son petit doigt et pour ce laisser tombée sur la moquette grise. Il était blessé au bras. Je commence alors à tâter du bout de mes doigts son bras. Arriver au niveau de son coude, il se recula de moi de quelques centimetres en laissant échapper un juron à peine perceptible. Je lui pris sa mallette des mains sans le brusquer et l'emmena dans son bureau. Je posa sa mallette sur son bureau et en ressortis pour revenir aussitôt avec une petite trousse à rayures roses et blanches. Je ferma la porte à clés et m'avança d'une chaise que je prie pour m'asseoir en face d'Aaron:"- Je vais vous soigner. Lançais-je timidement, Vous saignez.
-Ne vous donnez pas ce mal, Louise. Je suis assez grand pour me débrouiller seul.
-C'est pour cela que vous ne faites rien?" Lui demandais-je en évitant son regard.
Il ne me répondit pas et c'était mieux comme ça, je ne voulais pas m'énerver sur lui alors que je devais le soigner.
"- Je peux?" Lui demandais-je en pointant du doigt le premier bouton de sa chemise. Il hocha la tête en signe d'approbation. Je lui enleva sa veste le plus délicatement possible et je fit de même pour sa chemise tacher de sang au niveau du coude et de l'avant bras. Il paraissait avoir mal à la tête car il se la tené par la main droite. Une plaie assé profonde commençant du coude et finissant au milieu de l'avant bras saignée. Si je ne faisais rien, la blessure aller s'infecter. J'ouvris alors ma trousse et en sortit une petite bouteille de désinfectant. Je versa un peu du contenue de la bouteille et entendit un gloussement de la part de Aaron. Il se cramponné durement à sa chaise et je sentait qu'il me regarder comme si j'avais commis un meurtre. Je lui dis alors <désolé> avec un petit sourire et il relâcha un peu sa chaise. Puis je commença à recoudre la plaie. Il commença alors à me poser une questions :
"- Où avez-vous appris à recoudre ?
- J'ai appris par moi même. Lui répondis-je. Mon père était un homme qui avait un don pour s'attirer des ennuis. Alors chaque soir, je le ramacé à la petite cuillère. Je le soignée,je le reconfortée. Et aussi je le...
Il me coupa la parole en rapprochant subitement son visage du mien et me murmura:
- Pourquoi vous ne me reconfortez pas, moi?"
Cette fois-ci, je ne pouvais pas éviter ses yeux et cela me perturbée beaucoup. Il sait très bien comment faire pour me déstabiliser. Il glissa sa main droite dans mon coup et il ce rapproché de plus en plus de moi. La porte s'ouvrit brusquement et nous tournions tout deux nos tête vers la personne qui ce présenté devant nous. Monsieur Châteauleroy. Le meilleur client de Boattex.
"- Désolé si je m'impose mais il faut réellement que je parle à votre patron! Nous dit-il sur un ton très joyeux. Vous êtes ?
Je me retira de l'emprise de Aaron, me leva et pris mes affaires.
- Louise Balliet, monsieur." Lui répondis-je
Il me sourie puis quand je voulu prendre la petite bouteille de désinfectant,j'aperçu quelque chose qui me bloqua littéralement. Une énorme cicatrice était sur l'abdomen de Aaron. Je la fixa et un éclair me traversa l'esprit. Je reconnue tout de suite cette cicatrice. C'était celle que j'avais faites au chefs des Calibres 9. Je pourrais la reconnaître entre milles. Ce serai donc lui le chef des...non. Je n'arrivée pas à y croire.Je sortit de la pièce le plus rapidement et alla massoir a mon bureau.J'étais choquée.
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Game Over
ActionUne jeune femme qui a deux apparences va devoir contrarié sont avenir professionnel pour avancer dans le monde de la nuit. Mais elle apprend que son patron ne lui dit pas tout non plus mais celui ci tombé fou amoureux d'elle...... comment vont-ils a...