Game Over

Chap. 5~La révélation de Louise

J'étais dans tout mes états. C'est donc pour cela qu'il n'était pas venu au bureau ? C'était pour ce remettre de sa blessure? Et la plaie que je viens de soigner ? Est-ce dû à un combat de la veille ? C'est vrai que quand j'y repense, je ne lui est pas demandé pourquoi il était blessé...
Tout à coup, la porte de son bureau s'ouvrit et monsieur Châteauleroy sortit en premier en criant les bras au ciel, Aaron fut le deuxième à sortir, toujours torse nu. Il n'avait même pas pris la peine de se rhabiller. Aaron essayé de faire comprendre quelque chose à monsieur Châteauleroy. Mais je ne cherchee pas à savoir de quoi il s'agissait, je fixée le peu de nuage que je pouvais apercevoir par la fenêtre qui ce trouvé devant moi. J'entendis Aaron dire doucement mon nom. Mais je ne réagi pas. Puis, Mr Châteauleroy me dis aussi mon nom mais avec un peu plus de fermeté. Je ne réagis toujours pas jusqu'à ce que Aaron vint poser sa main sur ma joue et me demanda :

"- Qu'en pensez-vous Louise?
- De quoi? A la seconde qui suivit, je regretta le manque de douceur dans ma question
- Vous pensez que c'est moi ou Mr Châteauleroy qui a raison au niveau du délai de construction de son yacht ? Moi je pense qu'il est IMPOSSIBLE de construire le plus gros yacht que l'on puisse faire en un mois. Dit-il avec fureur en détournant son regard vers son client. Peut être que un mois supplé...

Je lui coupe la parole tout en ramassant mes affaires et en transférant un ficher sur ma tablette :
- La question ne se pose pas, si le client veut son yacht en un mois; il aura son yacht dans un mois." Je partie presque en courant me réfugier dans la salle de repos. La salle de repos est l'endroit où tout les employés peuvent dormir, rêvasser , parler de tout et de rien avec leurs collègues. Plusieurs canapés, fauteuils en "coquille d'oeuf" et hamacs y sont installés. Je m'affale dans une coquille d'oeuf et allume ma tablette. Je commença à travailler, mais je n'arrivé pas à me concentrer. David entra dans la salle et ferma la porte. Nous étions seul dans la salle. Il se mit dans le hamac en face de moi. Je laisse échapper un long soupir qui failli se transformer en sanglot.

"- David, je dois te dire quelque chose d'important. Mais tu dois me promettre de ne jamais le dire à quiconque!
- Louise. Me dit-il avec beaucoup de compation. Tu me connais. J'hoche la tête pour lui répondre oui, Et donc tu sais très bien que je suis une tombe.

- La nuit, je me transforme. Je ne suis plus Louise Balliet mais la panther. Il existe dans cette ville, un regroupement de personne qu'on appelle les abonnés. Et les abonnés sont inscrits à la Permission. Et ces abonnés, sont tous sans exception des meurtriers. Et j'en fais parti. Mais nous, les abonnés, avons des ennemis qui sont contre la Permission. Ce sont des antis-permis. Et il y a un mois, j'ai fait un combat avec un clan d'antis-permis. Les calibres 9. Ce sont les pires antis-permis que l'histoire de la Permission n'est jamais connue. Et au chef de ce clan, j'ai fait une énorme blessure à son abdomen. Et quand j'ai soigné la plaie du patron à l'instant, j'ai vue la cicatrice de la blessure que j'avais faite au chef des Calibres 9. Et je suis sûre que c'est lui car cette blessure est reconnaissable entre mille. Du coup, en tant qu' abonnée; je suis obligé de dire à mon chef où est leur zone. Mais ça fait un mois que j'essaye et que je n'arrive pas à dire où il se trouve!

Une larme coula le long de ma joue et termina sont chemin sur ma tablette éteinte. David me regarda avec de grand yeux et il posa doucement sa main sur sa bouche qui était ouverte.

- Je comprend parfaitement que tu as peur de moi maintenant mais... Il me coupa la parole et sauta de son hamac pour venir près de moi. Il avait un large sourire.

- Mais Louise c'est trop bien! C'est comme dans les films! Oh Louise c'est génial ce que tu me dis!

Je ne répondit que au bout d'un certain temps.

- Oui mais tu sais, c'est pas tout à fait comme dans les films hein. Il y a pleins d'inconvénients....

Il retourna dans son hamac et regarda le plafond.

- Tu veux que te dise Louise, tu ai tombée amoureuse de ce type là. Mais tu ne veux pas te l'avouer.

- Quoi?!? Mais pas du tout!"

Je parti en courant et je repris ma place à mon bureau. David fit la même chose et ne cessé de rigolé. Après quelques secondes, Aaron sorti de son bureau. Il me pris la main et commença une phrase qu'il ne pût finir:
"- Louise, écoutez je voudrez m'excuser pour la question que je vous ai posé, c'est vraie vous aviez raison, la question ne se po...

- MAIS QUAND EST-CE QUE VOUS ALLEZ ME LAISSER TRAVAILLÉ TRANQUILLEMENT ? ! Puis je répartis. Encore.

- Mais Louise!

David lança un regard à Aaron qui en disé long sur ses pensées.